Il Est Meilleur De Subir L Injustice Que De La Commettre

rationalistes de la morale Les premiers psychologues à s’être intéressés à la morale, Jean Piaget puis Lawrence Kohlberg (1969), fortement influencés par la philosophie d’Emmanuel Kant (1785-2005), considéraient que la raison* est notre meilleur juge, bien meilleur que notre sensibilité qui décide selon nos goûts et nos préférences et qui peut amener à des conduites injustes. Pour illustrer la pensée de ces auteurs, prenons le dilemme de Heinz utilisé par Kohlberg pour tester le développement moral

Maintenant il vit tranquillement avec sa famille, même s’il a perdu ses deux fils à la guerre. Il offre ses terres à la mission catholique et a une fois à la nouvelle religion. Il est aimé du village de Doum et de sa famille qui l’assiste dans les meilleurs moments comme dans les pires, ainsi qu’il en est lorsqu’il a été maltraité par les policiers blancs. Il y a sa femme Kerala, qui souffre pour ses fils perdus, mais aussi elle est toujours inquiète lorsque les blancs appellent son mari. Engamba le

Maintenant il vit tranquillement avec sa famille, même s'il a perdu ses deux fils à la guerre. Il offre ses terres à la mission catholique et a une fois à la nouvelle religion. Il est aimé du village de Doum et de sa famille qui l'assiste dans les meilleurs moments comme dans les pires, ainsi qu'il en est lorsqu'il a été maltraité par les policiers blancs. Il y a sa femme Kelara, qui souffre pour ses fils perdus, mais aussi elle est toujours inquiète lorsque les blancs appellent son mari. Engamba le

est toujours la meilleure » → exemple en économie, les grosses entreprises disposent les moyens pr investir et éliminer les concurrents. → bonheur égoïste ss considération pr les autres...2 _Pas de démocratie, seulement élite. « Mieux vaut commettre que subir l'injustice ». _Absence de lois civiques, inventées par les faibles pr se protéger → prétendu égoïsme. | _ ….Ou résister : tempérance. Qd on désire c'est qu'on manque de qqch → désir = souffrance. Etat de désir = état impatience

Faut-il critiquer la démocratie? Introduction Il est de bon ton aujourd'hui, dans notre société, de tenir pour acquis que la démocratie est sinon le meilleur, du moins, le moins pire des régimes politiques qu'aient pu inventer les hommes. Pourtant, je pouvais commencer à problématiser la question de deux façons. D'abord, en constatant cet étonnant paradoxe, que la philosophie politique telle que Platon l'a fondé au IVème siècle avant J-C repose sur les bases d'une critique radicale de la démocratie

peut-on nuire par la justice si justice = bien ? [335d] Critique de l’ironie socratique en [337a] = juste = intérêt du pouvoir/gouvernement [339a] = ou juste = intérêt des plus faibles ? [342 e] —} on blâme l’injustice par crainte de la subir et non de la commettre [344c] - [348a] réflexions sur la vertu et le vice : Position de Socrate : juste = vertu / injuste = vice Position de Thrasymaque : juste = ingénuité d’une bonne nature/ injuste = discernement judicieux, sagesse - « le

découlent. Mais il existe 2 manières de subir un dommage ce qui justifie 2 catégories de victimes : -On peut tout d’ab subir directement le dommage du fait d’une atteinte portée à son propre patrimoine ou sa propre pers. On parle alors de victime directe. C’est elle qui subit personnellement le fait dommageable principal dt il va découler pour elle des préjudices. -Mais on peut également subir un préjudice par contrecoup du fait

pour penser, une heure ou deux, à autre chose. Pour nous distraire, nous émouvoir. » Et rien de tel que le rire pour cela ! Des chercheurs - très sérieux - recommandent de rire dix-huit minutes par- jour: ce serait la meilleure cure antistress, le meilleur moyen de stimuler nos défenses immunitaires ... Le théâtre est l'endroit idéal pour libérer le rire sans arrière-pensée. [1.1. Invraisemblances et rythme étourdissant] Les personnages des farces de Molière sont tellement stéréotypés, caricaturaux

donc nuisible à soi-même : « il est toujours préférable de subir une injustice que de la commettre ». Le mal issu du plaisir est causé par l’ignorance et non par vice. Il n’y a donc pas de contrôle des plaisirs puisque ceux-ci sont déjà éthiquement corrects du point de vue du sujet. La solution se trouve plutôt dans la promotion de « l’intellectualisme morale », d’une connaissance qui influencerait nos plaisirs pour les rendre meilleurs sans les entraver. Cependant cette conception se fonde sur

aux agitations de la liberté, ou le prophète d’une nouvelle et divine loi, rejeté par une cité indocile, et « ils seraient sans péchés » ceux auxquels il a été envoyé, s’il ne leur avait parlé, car les voici rejetés au pire pour avoir refusé le meilleur ; autant d’exemples pour montrer que le bien, dès qu’il est conquérant, missionnaire, qu’il descend des morales des moralistes dans l’histoire des hommes, voici qu’il donne au mal des chances supplémentaires : ainsi Socrate ou Jeanne d’Arc devenant