Implantation Rayon Bio

d’affaires 49 3.2. Compte de résultat prévisionnel des 3 premiers exercices 49 3.3. Trésorerie 49 4. Conclusion volet 3 50 Synthèse et conclusion 56 Sources 57 Annexes 58 Annexe 1 Questionnaire Annexe 1 Grilles chrisopee Annexe 3 Implantation en 3D de la surface de vente Annexe 4 La carte Annexe 5 Packaging Annexe 6 Hygiène et sécurité Annexe 7 Droit d’exploitation, aspect legal Préambule Toutes les études le prouvent et les constats les plus simples le démontrent au quotidien

journée, cinq mille deux cents clients ont dépensé en moyenne vingt-huit francs, soit trois fois plus que dans un supermarché classique ! Clients et journalistes sont impressionnés par la démesure apparente de cette usine à vendre : quinze mètres de rayon boucherie, dix mètres pour la crèmerie, douze caisses enregistreuses, un snack au cœur du magasin, près de vingt mille articles… Surtout, ils découvrent un endroit magique où « la représentation qui s’y donne avec la participation active de la clientèle

alimentaire et non alimentaire complémentaire qui s’adaptent en fonction de la localisation du point de vente : Rural, urbain… Réputé pour la qualité de ses rayons traditionnelle (Boucherie, charcuterie, poissonnerie…) L’enseigne s’appuie également sur une offre attractive en libre-service de produit de grande consommation (Hygiène beauté, bio, produit régionaux…) • Intermarché contact, 500 à 1 200 m2 de proximité : L’approche des mousquetaires est ici celle d’une place de marché : Une offre concentrée

3ème année Marketing et Gestion des Entreprises. Idrac Nantes Nutella Livre Produit 2010 Sommaire Introduction I- Le groupe Ferrero a- Un produit / une Succès Story b- Innover pour grandir c- Une implantation réussie en France d- Une présence sur la scène internationale e- Les clés du succès : une mission, des valeurs, des engagements f- L’activité II- L’analyse SWOT de l’entreprise Ferrero III- La pâte à tartiner Nutella a- Historique b- Le Nutella en quelques chiffres c- Le Nutella

caloriques. D’ailleurs, le groupe communique parfois en ce sens (Tic-Tac : « Beaucoup de fraicheur et seulement 2 calories », Kinder Bueno : « Le plaisir au cœur léger »). * Le bio et le commerce équitable : un phénomène croissant. Certains consommateurs se sentent davantage concernés par le commerce équitable, « les produits bio » et l’« achat responsable ». D’ailleurs, les ONG, les associations ou les groupes de consommateurs ont de plus en plus d’impacts dans le secteur. * Les habitudes alimentaires

suivante : le directeur du magasin, le responsable des ressources humaines, le management team (administratif, logistique, vente, services, communication et aménagement). Des responsables des différentes familles de produits sont présents dans chacun des rayons et sont assistés par des collaborateurs. Les magasins sont divisés en trois zones distinctes : • L'exposition, où tous les meubles sont présentés au sein de pièces entièrement reconstitués pour donner de l'inspiration • Le Libre service

possible). Des prix beaucoup plus bas (pour favoriser une forte rotation des produits) grâce à une marge de 13 à 15 % (contre 40 à 50 % généralement) ce qui lui a permit de vendre plus et donc de gagner plus. Un assortiment très étendu avec plusieurs rayons. Du service à la clientèle. La pratique de la réclame (affiches en magasin, animations, catalogues…). C’est un réel succès et donc la concurrence se développe aussi : Printemps (1864), La Samaritaine (1869), Les Galeries Lafayette (1894)… On peut

• Des prix beaucoup plus bas (pour favoriser une forte rotation des produits) grâce à une marge de 13 à 15 % (contre 40 à 50 % généralement) ce qui lui a permit de vendre plus et donc de gagner plus. • Un assortiment très étendu avec plusieurs rayons. • Du service à la clientèle. • La pratique de la réclame (affiches en magasin, animations, catalogues…). C’est un réel succès et donc la concurrence se développe aussi : Printemps (1864), La Samaritaine (1869), Les Galeries Lafayette (1894)… On

Ségala, observe la direction des 120 magasins. Carrefour fait une analyse comparable : le bœuf d’origine française à 85 F le kilo est moins coté que le bœuf issu de la « filière qualité » de la marque qui est pourtant proposé à 95 F le kilo. Le bœuf bio est à 138 F le kilo mais sa consommation s’est accrue de manière significative indique l’enseigne. » Voici ce qu’on pouvait lire dans un journal parisien il y a quelques jours2 en commentaire de la crise de la « vache folle ». On observe en effet, que

• Des prix beaucoup plus bas (pour favoriser une forte rotation des produits) grâce à une marge de 13 à 15 % (contre 40 à 50 % généralement) ce qui lui a permit de vendre plus et donc de gagner plus. • Un assortiment très étendu avec plusieurs rayons. • Du service à la clientèle. • La pratique de la réclame (affiches en magasin, animations, catalogues…). C’est un réel succès et donc la concurrence se développe aussi : Printemps (1864), La Samaritaine (1869), Les Galeries Lafayette (1894)…