Impôt à taux unique

de 20 à 10% pour les signataires de LOA ...) amplement examiné la question de l’efficacité dans la première partie, et même si nous y reviendrons au cours des développements qui suivent, ceux-ci seront surtout consacrés à montrer combien la réforme fiscale a raté aussi ses objectifs de simplicité et d’équité. Avant d’entrer dans le détail de chaque impôt, on peut cependant commencer par quelques appréciations générales, observées au niveau du système fiscal, dans son ensemble. Celui-ci a-t-il été

d’ajustement structurel des années 80, la réforme fiscale engagée à partir de 1984 a été profondément marquée par ses principes, ses objectifs, et même ses «recettes». En pratique, cette réforme a abouti à l’institution de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA, 1986), l’impôt sur les sociétés (IS, 1988) et l’impôt général sur le revenu (IGR, 1990). Comme on l’a vu dans la première partie de cette étude, c’est ce triptyque qui représente à lui seul aujourd’hui près des trois-quarts des recettes

Les limites à l’efficacité des politiques économiques |   I-              Les limites de la politique budgétaire   A/ Quels sont les coûts liés au financement de la politique budgétaire ?   Pour financer une politique budgétaire de relance, l’État peut recourir soit à l’emprunt – ce qui conduit à une augmentation de la dette publique –, soit à la hausse des impôts. Ces deux sources de financement comportent des limites.   1. L’emprunt, source d’effet d’éviction   Le recours à l’emprunt

Directeur Général des Impôts Le bilan d’activité de la Direction Générale des Impôts (D.G.I) pour l’année 2002 a été caractérisé par les actions relatives à la poursuite du processus d’harmonisation et de simplification de la législation fiscale, à l’organisation des structures, à la mobilisation des recettes, à la consolidation du système d’information et à la rationalisation de la gestion des ressources humaines et matérielles. S’appuyant sur ses ressources humaines appelées à améliorer la qualité

et actionnaire d’une SAS unipersonnelle au capital de 100 000 Euros divisé en 1000 actions de 100 Euros chacune, qu’il a crée en 1981. Monsieur DURUPTY est aujourd’hui âgé de 62 ans et envisage de céder ladite société en gardant le statut de salarié pendant un certain temps en procédant ainsi qu’il suit : - soit par une cession du fonds de commerce et de l’immeuble appartenant à la SAS suivie de sa liquidation; - soit par la cession de la totalité des titres de la SAS. Le bilan de la SAS au

I. la définition du droit fiscal L’impôt c’est à la fois de la technique et du droit que la science fiscale doit permettre de résoudre. La fiscalité pour nous est une matière juridique et c’est une branche du droit public, parce que cela concerne les relations entre l’Etat et les particuliers. Cependant les techniques juridiques utilisées sont très souvent des techniques de droit privé. Par ex, lorsqu’on parle de droit des successions, on a acquitté des droits d’enregistrement et on fait référence

compte courant ou postal. Monopole : structure de marché, caractérisée par le présence d'un vendeur unique. Moyennisation/polarisation : la moyennisation est un processus de constitution d'une vaste classe moyenne, réduisant les positions extrêmes dans la stratification sociale et rapprochant ainsi les niveaux de vie et les modes de vie. Cette vision de l'évolution de la structure sociale s'oppose a la polarisation qui décrit la constitution de pôles séparés dans la société, reflets d'inégalités

Europe et mondialisation A) L'intégration européenne Problématique : Comment expliquer la marche vers l'intégration européenne (1) et (2) ? Comment l'Europe s'est-elle dotée d'une monnaie unique et quelles sont les défis de la zone Euro (3) ? 1) L'intégration régionale Cf doc 2 page 364 Doc a L' Union Européenne (UE) est une zone d'intégration économique au même titre que les autres zones régionales (ALENA, MERCOSUR, …) Cependant, l'UE, à la différence des autres zones

CHEIKH ANTA DIOP - D A K A R - FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUES D.E.S.S de Droit des Affaires 1995 - 1996 Option : Banques DE QUELQUES ASPECTS DE LA FISCALITE DES OPERATIONS BANCAIRES AU SENEGAL Mémoire présenté par : Mme Aminata FALL NIANG Sous la Direction de : Monsieur Pape Alassane NDIR, ExpertFiscal. Président de la Section fiscale de l'Ordre National des Experts et Evaluateurs Agréés du Sénégal (ONEEAS) - chargé de travaux dirigés à la Faculté des Sciences

contrer ces fluctuations économiques, et pour finir nous énoncerons des exemples précis de politiques conjoncturelles mises en place dans les situations de crises. I. LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES Sur le long terme, la production a fortement augmenté mais cette progression a été marquée par des fluctuations économiques. Une fluctuation économique est un mouvement d’expansion ou de récession. Une expansion est une augmentation du produit intérieur brut (PIB) sur une courte période. Une récession est