Inconvénients Délocalisation Thailande

revenir aux chiffres concernant la firme multinationale Lego qui ont été la base de notre recherche, le choix de produire en Europe a fait l’objet d’une stratégie réfléchie. En effet, cette firme est connue pour sa qualité de ses produits, or la délocalisation effectuée et qui à licencier massivement n’a pas porté ses fruits. Les forts couts de transport, la perte de qualité et d’organisation n’ont pas compensé les faibles couts de la main d’œuvre. Lego décide donc de relocaliser les opérations stratégiques

Des flux touristiques : Entre 1950 et 1990, la population mondiale double, mais les flux touristiques sont multipliés par 14. Six grandes destinations : Méditerranée (25 % des touristes mondiaux), Caraïbes, Sud-Est asiatique – particulièrement la Thaïlande -, Europe Occidentale et Centrale, Nord-Est des Etats-Unis, et Californie. En 2010, on prévoit que les flux touristiques internationaux correspondront à 1 milliard personnes par an. - Des flux migratoires : 90 % pour raisons économiques, 10 % pour

liés aux activités visées ci-dessus. En outre, l'entrée en zone franche d'exportation est spécialement interdite aux déchets dangereux, ainsi qu'à toutes substances, déchets ou non, pouvant présenter une incommodité, une insalubrité ou tout autre inconvénient similaire pour la santé, la faune, la flore et les ressources en eau ainsi que d'une manière générale pour le voisinage et la qualité de la vie. La liste des services fixée par arrêté conjoint du ministre chargé du commerce, de l'industrie et de

commerce international. A. Les grandes évolutions du commerce international. Doc.1 et doc.2 p70 ; doc.3 et doc.4 p.71 B. Les déterminants des échanges internationaux et de la spécialisation. Doc.2 p72 ; doc.3 et doc.4 p.73 C. Les avantages et inconvénients du commerce international. Doc.1 et doc.2 p.74 ; doc.3 et doc.4 p.75 ; doc.1 p.76 ; doc.3 et doc.4 p.77 D. Taux de change et commerce international. Doc.4 p.99 ; doc.2 p.100 ; doc.3 p.101 ; doc.2 p.102 ; doc.3 p.103 II. La mondialisation de la

cinq à dix fois plus faible.  Délocalisation et nouveau modèle économique : le cas du secteur textile-habillement La revue de l'IRES Gilbert Ammar et Nathalie Roux Le secteur du textile-habillement a été marqué dans les années 2000 par d'importantes mutations. La mondialisation a abouti à un redéploiement international des firmes à la recherche de nouvelles sources de compétitivité. Le secteur a ainsi été confronté à de nombreuses vagues de délocalisations qui ont conduit à un effondrement

le matériel demandé est toujours productible. Les acheteurs permettent aux vendeurs particuliers d’écouler leur ancien matériel et peuvent ainsi en acheter du neuf auprès de la marque. Finalement cette tactique marketing a des avantages et des inconvénients, mais elle génère du marché. LE POUVOIR DE NÉGOCIATION DES FOURNISSEURS Neil Pryde possède ses propres usines de fabrication, il faut néanmoins trouver les matières premières : tissus, carbone, etc… Les fournisseurs approvisionnent les usines

flexibilité Nouvelles formes de crise dans la sphère économique avec affaiblissement de l’Etat providence et systèmes de protection sociale. L’Etat n’est plus qu’un système d’amortissement des incertitudes apportées par l’économie libérale – emploi, délocalisations, fusions-acquisitions, précarité contrat de travail avec nouvelles exigences de mobilité, flexibilité, productivité ; impuissance de l’Etat à garantir contre tous ces nouveaux risques engendrent crises sociales récurrentes. Cf malaise social

les accords euro-méditerranéens poursuivent le même objectif. La récente vague d’accords préférentiels est peut-être (du moins en partie) une réponse institutionnelle à la situation nouvelle résultant des progrès de la délocalisation. En ce sens, les ACPr sont des accords qui améliorent l’efficience, et non des accords qui encouragent le « chacun pour soi » (détournement des échanges). une intégration arbitrages. profonde peut nécessiter des Une intégration

industrialisation rapide et une très forte augmentation de leur part des exportations de produits manufacturés et des investissements, tandis que les pays avancés se sont préoccupés de plus en plus de la désindustrialisation résultant de la délocalisation et de l’externalisation des capacités de production et des emplois. Alors que le XIXe siècle a été marqué par la « grande divergence », nous assistons maintenant à la « grande convergence », avec le rattrapage rapide des pays occidentaux

encore tout à fait le cas mais on peut dire quand même que progressivement c’est quand même une monnaie qui devient de plus en plus crédit et dont la légitimité s’accroît à travers le monde. Tendance à devenir une monnaie d’échange elle aussi. Inconvénients : • Le système monétaire international (SMI) repose sur trois devises : Dollar, Euro, Yen mais 65 % des réserves de change officielles sont en dollar contre 15 % en euro Incontestablement la zone euro est une zone qui est large donc elle