Indignation

Messieurs les pairs. C'est avec tristesse, indignation et émotion que je m'adresse a vous aujourd'hui. Vous me pardonnerez si, devant l'urgence de la situation dont je voudrais vous faire part, je perturbe quelque peu le programme et les questions que nous devions aborder lors de cette séance . Sur la route qui me séparait de cette assemblée, j'ai été témoin d'une scène qui m'a profondément indigné. Oui, j'ai bien dit indigné. Indigné que, dans ce si beau pays qu'est le notre, tant d'injustices

du quotidien, ils restent tout de même très différents. Balzac montre dans cet extrait le petit jeu auquel se prête Antoinette en faisant impatienter son amant. On peut voir le désir violent qu’éprouve Armand envers elle : « je veux » marque son indignation et lui ordonne sans lui laisser aucune échappatoire. Mais Antoinette reste inflexible et semble toujours polie « respectez-moi je vous prie » alors qu’Armand commence a la tutoyer soudainement  « Si tu disais vrai hier, sois a moi, ma chère Antoinette »

n’en veux point » dans cette même réplique elle dit deux fois je n’en veux point donc répétition de plus elle le rejette. Dans les didascalies elle commence à s’énerver. Même si elle est parfois troublée au début de la scène, elle monte vite son indignation par exemple p 94 réplique 1 de Suzanne « effrayée » de plus dans sa deuxième réplique elle est dit « en colère ». Conclusion : Ces deux grandes parties qui ne sont pas similaires, se trouvent dans cette scène très équivalent et se récupère au

présentée avec des rapprochements faussement logiques. Le poète nous évoque tout d'abord les injustices : ‹‹ d'autres meurent qui ne savent pas pourquoi ›› ; ‹‹ d'autres n'auront pas le sommeil et l'abri ››. Ces abus font ressentir une certaine indignation chez le poète, qui se manifeste sous une forme d'empathie pour les opprimés, comme le prouve le texte ‹‹ Qui vous frappe me frappe ››. Le poète se met ainsi à la place de ‹‹ vous ››. Les rapprochements logiques sont présentés à la fin de l'extrait

du "gamin fée". Gavroche entre dans la légende par ce recours du lexique du merveilleux où "les balles" personnifiées [courent]. Dans le poème, la grand-mere s'exprime à l'aide d'une ponctuation excessive abondante qui souligne sa détresse, son indignation, son désespoir. Ces longs passages du style direct contratent avec le silence des autres témoins de la scène, le narrateur et ses compagnons "tremblent devant ce deuil que l'on ne se console pas". Le registre pathétique est créé autant par la solicitation

intellectuelles et sociales - « et qui ferait d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » B) Rejet du travail des enfants, l’auteur s’insurge - Registre polémique : l’auteur prend parti, il dénonce, il se révolte 3) Objectif du poème, indignation de l’auteur, et usage des sentiments A) incompatibilité des enfants et du travail, dénonciation de l’exploitation - « travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre » -> métaphore monstre - « ils ne comprennent rien à leur destin, hélas

Maréchale. Succession de questions rhétoriques ( l18 à 26 et l33 à 35) qui ne laisse pas à l’abbé le temps de réagir et l’utilisation de phrases exclamatives (l.32) « Mais voilà une plaisante raison ! » et « Quoi ! » nous le confirme et montre son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes. L’anaphore « N’est-ce pas assez » (l.22 et l.24) met en relief les arguments de la maréchale et donne un rythme à la phrase. L’euphémisme « je lui aurais fais voir du pays » (l.18) nous montre que

". Entrée en matière du poème violente dans son rejet par invectives : " va-t-en " (trois fois). Indignation par images fortes, violentes, mais aussi passages plus abstraits. C. Passage à l'abstraction. Désastre l.8 - Façon de s'exprimer philosophique (l. 24) - Métaphore : échouage, sentiment général, échec. (l.15 à 16) > > Poème mobilise toutes les ressources possible pour exprimer son indignation : images, lexique trivial, constats concrets, réflexions abstraites, métaphore, métonymie. A travers

Harpagon s'adresse dans ce passage et le serviteur se permet d'interrompre son maitre en prenant la défense des chevaux. Cette réaction inhabituelle soulève l'étonnement du spectateur et provoque son rire. Dès la 1ere réplique, Maitre Jacques par son indignation- ligne 5:  « vos chevaux ma foi...de marcher »- fait rire car il considère ses chevaux comme des personnes qu'il chéri. Le rire nait aussi du déséquilibre dans la comparaison éloquente de Maitre Jacques pour ses chevaux et les réponses sèches et

macédoine de légume. La satire a un double but : faire rire et critiquer. Il y a donc une idée de mélange (comique et sérieux). Il s’agit de corriger les mœurs en souriant. La satire est à son apogée au XVIIe siècle car il y a une volonté, une indignation. Le Tartuffe : plaire et instruire Mélange de comique et de sérieux que l’on retrouve dans les 3 fils principaux de l’intrigue : ▪ L’amour des 2 jeunes gens ▪ L’amour de Tartuffe pour Elmire ▪ Les menées (entreprises) de Tartuffe