Indivision Et Copropriété

Sinon, entre les époux , il y a également une solidarité ménagère, mais cela est réglé par le régime matrimoniale.  La jurisprudence vise les loyers, les charges de copropriété, les dépenses alimentaires, le chauffage, l’éclairage, les frais de scolarité, les frais médicaux, et l’assurance vieillesse ou maladie. Ainsi que les dettes fiscales (impôt sur le revenu et le revenu immobilière). Tout cela rentre dans la solidarité

atteintes à la propriété. 248 III.6. Loi n° 66-025 du 19 Décembre 1966 tendant à assurer la mise en culture des terres à vocation agricole. 249 III.7. Décret n° 50-1631 du 27 Décembre 1950 portant règlement du statut de la copropriété des immeubles divisés par appartement à Madagascar et dépendances. 254 LIVRE IV : CADASTRE ET IMMATRICULATION IV.1. Loi n° 67-029 du 18 Décembre 1967 (Voir I. Domaine privé national) art.77 et art.81 de la loi domaniale. 263

proviennent en général de libéralité, de donation ou de legs. Ces biens permettent d’accomplir quelque chose. La fondation n’a pas de sociétaire mais simplement un conseil d’administration qui va gérer les biens. 2ème hypothèse : le syndicat de copropriété qui est une masse de biens ; généralement, un immeuble dont les différents propriétaires sont rassemblés pour prendre une décision. 3ème hypothèse : SICAV (société d’investissement à capital variable), les fonds communs de placement (FCP) qui sont

l’autonomie du patrimoine social, il convient de l’apprécier par ruptures aux associés et vis-à-vis des tiers. - associés et autonomie du patrimoine social : La société, pers morale, est titulaire du patrimoine social. Les associés ne st pas copropriétés des biens qui ont été apportés. Ils ne st titulaires que de droit sociaux comportant des droits pécuniaires (droit aux bénéfices) et extra pécuniaires (droit d’accès aux assemblées). Ces droits sociaux st toujours de nature mobilière, même si la

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires

choisi ; 5° Les biens ou portions de biens acquis au moyen de deniers reçus par donation ou succession ; 6° Les portions de biens acquises à titre de licitation de tout ou partie d'un bien dont l'un des partenaires était propriétaire au sein d'une indivision successorale ou par suite d'une donation. L'emploi de deniers tels que définis aux 4° et 5° fait l'objet d'une mention dans l'acte d'acquisition. A défaut, le bien est réputé indivis par moitié et ne donne lieu qu'à une créance entre partenaires