Intentionnalité

partie intitulée Du regard comme objet petit a, que Lacan développe cette question, en différenciant l'œil et le regard, la schize du sujet se trouvant entre ces deux termes. Ainsi pour l'auteur, dans le regard il n’y a pas que l’œil, mais l’ « intentionnalité totale ». Comme dans le stade du miroir, la dimension du regard est toujours composée de trois éléments, l’observateur, l’objet, un tiers. On différencie, pour ainsi dire, trois types de regards: * Le réel, qui est le plus proche de ce que

processus complexe et multiforme qui vise la construction d'une professionnalité individuelle ou collective » et qui « s'alimente et se nourrit du croisement de trois projets institutionnel, collectif et personnel » (p. 147). Autrement dit, deux intentionnalités sont reconnues à la professionnalisation : le « projet des autres sur soi », et celui de « soi sur soi » (p. 148). Par conséquence, un décalage entre ces projets donne naissance aux « tensions identitaires » et donc aux « stratégies identitaires

devait appeler art que la production par la liberté, c’est-à-dire par un libre arbitre. ». C’est ce qui distingue une œuvre d’art d’un effet de la nature. L’art est donc intentionnel. Mais dans ce cas, que devient la finalité sans fin ? Cette intentionnalité ne doit pas être le caractère dominant de l’œuvre (sinon, on porte un jugement de connaissance et non un jugement esthétique : l’œuvre d’art n’est pas l’application d’une techné pour Kant car c’est un jugement de type cognitif qu’on porte ainsi

contenu de conscience à une réalité objective. Le conscient, et la prise de conscience, sont formés entre l'énergie psychique de l'inconscient, par les excitations du système nerveux. On voit que l’analyse de la prise de conscience implique une intentionnalité, une synthèse et une volonté de cohérence avec la réalité. L'intentionnalité de la conscience se résume en une phrase, « L’autre est le médiateur entre moi et moimême ». Selon Sartre, la conscience n’est pas entièrement transparente à elle-même

On vient ainsi de voir le lien entre être et pensée, entre je suis ce que je me pense et c’est ce retour sur soi que Husserl nomme « intentionnalité ». Méditations cartésiennes, II. En effet, la conscience porte forcément sur un objet qu’elle « vise ». J’ai conscience de moi signifie que je me détache de moi-même, pour me contempler, « Le mot intentionnalité ne signifie rien d'autre que cette particularité foncière et générale qu'a la conscience d'être conscience de quelque chose, de porter, en

mon passé : il n’est pourtant pas moi. Ce que je projette d’être est bien mon attente, ce n’est pourtant pas moi encore. Le sujet est tout entier orienté par des souvenirs ou des projets. Ainsi, la conscience est d’abord projet, visée du monde, intentionnalité. Avant toute réflexion ou tout retour sur soi, être conscient, c'est être présent au monde, désirant, oeuvrant et s’anticipant soi même. La conscience est toujours au-delà d’elle-même (ce qui fait dire à Sartre que l’homme est entre l’Etre et

Littérature et théorie, intentionnalité, décontextualisation, communication. Conférence du séminaire de littérature comparée de l’Université de La Sorbonne Nouvelle, textes réunis par Jean Bessière. Paris, Editions Champion, 1998. Imaginaires de l’Autre. Khatibi et la mémoire littéraire, ouvrage collectif, L’Harmattan 1987. Psychanalyse et texte littéraire au Maghreb. Sous la direction de Charles Bonn et Yves Baumstiler. L’Harmattan 1991 - Littérature et théorie. Intentionnalité, décontextualisation

unilatérale. L'énonciation se définit comme une intention ou une visée du monde et son objectif n’est d’autre que de devenir l'énoncé-discours. 1. 2. L'énonciation et son sujet Comme il nous le montre par le mot « acte individuel » ou « intentionnalité », E. Benveniste introduit dans la théorie d'énonciation la subjectivité. C’est par le sujet utilisant les systèmes de la signification que les virtualités sont prises en charge et, dans la mesure où les énoncés discursifs et textuels sont tous

Communication et langage La communication non verbale Qu’est ce que la communication? Il semble clair que le langage est une vraie communication: il y a une intentionnalité, un transfert d’information et un avantage pour l’émetteur Mais même la communication verbale ne véhicule pas uniquement des informations intentionnelles… elle peut traduire les émotions, l’origine géographique, sociale etc.. Communication et signalisation sont difficiles différencier… diffi il à diffé i La communication

conscience ne peut donc exister qu'en présence d'objets transcendants, en tant qu'elle trouve son existence dans son mouvement de saisie vers l'extérieur, vers les objets. C'est cette relation active de la conscience aux objets que Husserl nomme intentionnalité. Ce mouvement est donc une relation transcendantale, puisqu'elle vise les objets qui lui sont extérieurs. Ces propos mettent clairement à mal l'approche de l'immanence, puisqu'ils désubstantialisent la conscience en l'érigeant en un mouvement