Intentionnalité

celui-ci étant limité, voire inadéquat. Le caractère mimétique des oeuvres, violemment critiqué par Platon en tant que tromperie à l'égard de la raison, devient au contraire la possibilité de mettre en ordre des données sensibles détachées de toute intentionnalité : ce que Kant appel le « désintérêt ». La notion de génie, soit la « disposition innée de l’esprit par laquelle la nature donne les règles à l’art », caractérise la création artistique : l’artiste n’imite plus la nature, mais se découvre, à travers

(Kant "concept subsume le divers du sensible"). Le concept s'entend au sein d'un dialectique entre le singulier et le général ou encore si l'on carctérise la connaissance comme l'activité d'intentionnalité assimilatrice, deux modalités de cette intentionnalité, l'une qui vise le concrte tel qu'il est, de façon immédiate et l'autre de façon médiate à travers les déterminations de l'esprit. L'extension d'un concept, ce sont les membres auxquels le concept s’applique. La compréhension d'un concept, ce

national). Ces analyses aristotéliciennes ont été fondamentales pour l’élaboration scolastique du concept de libre arbitre. Les théologiens chrétiens retiendront d’Aristote la notion de libre comme associant la volonté (spontanéité) et la raison (intentionnalité), et comme fondant la responsabilité de l’individu devant les lois morales, pénales et divines. La scolastique définit traditionnellement le liberum arbitrium comme « facultas voluntatis et rationis » (faculté de la volonté et la raison : cf

bien aux autres et à mépriser mon propre intérêt. Limites au cogito cartésien : - Conscience esseulée sans rapport à autrui. - Toute conscience est consciente de quelque chose d’après Husserl. La conscience de l’homme vise un objet, une intentionnalité. - La conscience de soi d’après Descartes ferait de l’Hô un être condamné à la liberté, CAD condamné à choisir ce qu’il est ou sera. L’emploi du « je » introduit une distance entre « moi » et « moi-même » que Descartes semble effacé. Problématiques :

institution du primaire à l’université. Elle repose sur l’apprentissage des connaissances et des compétences validées par une reconnaissance officielle d’acquis, par exemple un diplôme. Aussi, l’éducation formelle fait également référence à une intentionnalité éducative clairement annoncée et repose sur des programmes officiels. La limite peut être floue. En effet, dans notre cas, les élèves sont en situation d’apprentissage sur des compétences figurants dans les écrits scolaires officiels (les programmes

Plan Introduction 1. La conduite d’un projet culturel, de la réflexion à l’action 1.1 Une association loi 1901 1.2 Intentionnalités et objectifs du projet 1.3 L’importance des plannings 1.4 Trouver des financements 2. Les outils de communication mis en place lors de l’organisation de l’évènement 2.1 Le plan de communication 2.2 Les relations presses 2.3 Communiquer par le web 2.3.1 Le site web de l’évènement 2.3.2 La création d’un site 2.3.3 Le référencement du site 2.3.4 Le référencement du festival

les trois exemples de relation conscience-objet que nous venons d’analyser : dans chacun des cas étudiés, il n’y a conscience que si elle se rapporte à un objet, dont pourtant elle se distingue. C’est cette double exigence que Husserl nomme « intentionnalité », et que nous nous proposons d’examiner à présent. Ce que nous vivons quotidiennement, c'est la certitude d'être des mondes, des unités fermées les unes aux autres. Nous faisons à tout moment l'expérience de l'hétérogénéité de notre conscience

l’attention et une instabilité psychomotrice : hyperactivité. Les critères pour parler d’instabilité : - Age (on peut parler d’instabilité vers 3/4 ans) - Temporalité : fréquence et persistance sans qui l’y ait des modifications. - Intentionnalité : enfant qui ne bouge pas dans le but d’une activité, il bouge sans but. Concept de THADA : on parle d’inattention, d’impulsivité et d’hyperactivité anormale par rapport au niveau de développement. Pour appréhender ces troubles il faut les

lui, c'est l'imitation qui domine. Pour P.-M. Baudonnière, la distinction entre mimétisme et imitation est liée à trois caractéristiques humaines : - La sélectivité : Le mimétisme est instinctif tandis que l'imitation suppose une intentionnalité, éventuellement non consciente. Par voie de conséquence, l'imitation est sélective : «on n'imite pas n'importe qui, n'importe quoi, n'importe quand, ni n'importe où ». - La conscience de soi et d’autrui : l'imitation exprime la conscience

représenter ou l’exprimer. A la suite notamment de Husserl, la philosophie moderne insiste sur le caractère ouvert de la conscience : « toute conscience est conscience de quelque chose ». Les phénoménologues (Husserl, Merleau-Ponty) nomment « intentionnalité » cette structure d’ouverture de la conscience : nous avons besoin de l’autre pour accéder à nous-mêmes. « L’autre est le médiateur entre moi et moi-même » (Sartre). La psychanalyse confirme ce point de vue. La conscience n’est pas entièrement