Intentionnalité

Les colonisateurs français à Tunis ne pensaient pas autre chose quand ils édifiaient une ville orthogonale, aux vastes avenues et aux immeubles en hauteur à côté de la Médina reléguées au rang de cloaque barbare. Ces oppositions qui associent intentionnalité et rationalité reposent largement sur des préjugés et des oublis de l’histoire des sociétés (ainsi l’urbanisme de l’Afrique du nord a-t-il été marqué par la cadastration romaine, par les implantations planifiées de mosquées, de caravansérails

train de mal fonctionner, on ne sait pas si c'est par raisons génétiques, par une sorte de défaut intrinsèque, ou par une série de facteurs externes, environnementaux. En ayant éliminé, dans cette vision strictement naturaliste, toute liberté et intentionnalité de l'être humain, il ne reste aucune explication de ce défaut de fonctionnement si ce n’est la nécessité forte des lois de la nature. De là découlent une sorte de sourd désespoir et la vision négative et tragique de l'être humain qui devient l'animal

saisir), notamment par la préhension volontaire découlant de la coordination oculo-manuelle. Il y a aussi un début de causalité à ce stade car l'enfant se rend compte que certaines actions provoquent certains effets. Il y a donc l’apparition d’une intentionnalité en vue d’un but précis (observation n°7). D’où l’incessant jeu de construction/démolition. Puis, l’enfant répète les résultats en faisant varier les facteurs. Pour atteindre un but prémédité, il expérimente, invente de nouveaux modes d’actions

indiquée a le mérite de mettre en lumière le fait que la structure ontologique de l’œuvre d’art suppose la présence d’une subjectivité et d’une intentionnalité. Cela même sans qu’elles soient nécessairement exprimées, par le seul fait que la découverte d’une nouvelle structure implique qu’elle soit indiquée, ce qui présuppose cette subjectivité et cette intentionnalité, incorporée dans l’œuvre. L’intérêt de cette notion est d’historiciser de manière interne et non contingente la notion de structure.

pauvreté, la famille recomposée,…favorise la négligence. * 3 notions qui renvoi à la négligence : -passive d’omissions -> Les parents laissent l’enfant livré a lui-même (ils sont incapables ou refuse d’aider leurs enfants.) -intentionnalité -> Les parents feront de la négligence consciemment, d’autre seront bête et ne seront même pas ce qu’ils font. -notion de chronicité ou d’intensité  -> Cela durera depuis un certain temps et ca touchera toujours plusieurs aspect

responsable du mal, a conduit à une perpétuelle mortification. Le concept inventé par Augustin d’Hippone sera approfondi par Thomas d’Aquin qui retiendra d’Aristote, la notion de libre arbitre associant la volonté (spontanéité) et la raison (intentionnalité), et fondant la responsabilité de l’individu devant les lois morales, pénales et divines. Pour Thomas d’Aquin, c’est la volonté, plus que la raison qui joue le rôle moteur. Ceci a façonné la culture chrétienne, dominée par la conviction de la

pas se limiter à leur partenaire électif et changer les modes de groupement. ( cf annexe 3 ) • mettre en place des règles simples pendant le jeu pour permettre à chacun de jouer et d'avoir la même place au sein du groupe. • construire une intentionnalité dans l'action, se prendre en charge, faire ses choix et les mettre en application. Les attentes : CRITERE D'EVALUATION • L'enfant doit passer d'une compréhension simple du jeu et d'un but commun à une coopération efficace et à des échanges réels

Intermittent (alternance entre paroles, silences) Il y a un début et une fin Continu (la communication non verbale est inévitable Clarté +/- sujette à une mauvaise interprétation Très ambigu. Dépend de la personne, du contexte, de la culture, etc. Intentionnalité Généralement délibéré Souvent involontaire Le non verbal c’est : Inévitable Exprime les attitudes et émotions Module le verbal (l’assiste) Fonctions de la communication non verbale (réitération, substitution, accentuation, régulation, contradiction

joue dans tout acte artistique de danser à partir duquel se crée une relation intersubjective spécifique. Pour résumer, nous avons schématiquement discerné trois modalités ‘’d’élaboration’’ d’un geste. Chacune d’entre elles correspond à des intentionnalités différentes 39 : faire ou agir, symboliser et communiquer selon des modes différents. Etant entendu, si l’on s’en réfère aux écrits de J Greimas, que chacune de ces modalités peuvent interférer et emprunter leurs figures gestuelles aux autres

des comportements à la recherche d’une réaction qui a été envoyée » Abraham NOSNIK.Antonio Hernandez Mendo et Oscar Garay Plaza définissent la communication comme « un processus d’interaction sociale de nature verbale ou non verbale, avec une intentionnalité de transmission et pouvant influencer, avec et sans intention, le comportement des personnes qui couvrent ladite émission ».Aux vues de toutes ces définitions, nous pouvons donc dire que la communication est un échange d’information entre deux