Interjection

superlatif dans ses répliques à propos de sa situation : « retiré tout seul dans ce bois » (l.962-963), « je suis dans la plus grande nécessité du monde » (l.974-975). Il dit qu'il n'a rien, qu'il est seul, afin de susciter la pitié. →Il utilise des interjections (« hélas » l.974, « Ah ! » l.983) qui sont des plaintes, des lamentations. →Il est très pieux : il préfère « mourir de faim » plutôt que de pêcher : pour lui, Dieu est au-dessus de tout, même au-dessus de sa propre vie (c'est le contraire de Dom

Anna Coupeau, donc Nana = diminutif de Anna, mais cela est connoté : on est dans ce que les linguistes appellent le babil enfantin. En français il y a une interjection : na ! Quand quelqu’un affirme quelque chose en terminant par na, cela renvoi à l’enfant qui veut s’affirmer. Cela est important d’associer le prénom de Nana à cette interjection car cela exprime son caractère infantile, c’est une enfant. Zola nous donne des indices pour nous faire comprendre que son personnage n’a pas toutes les facultés

avec le jeu sur le pronom personnel : « on » : « on le dit », « on a tort » et avec le changement d’énonciation de la 2ème personne du singulier « tu » à celle du pluriel : « vous » est omniprésent. Il y a aussi le comique de répétition avec les interjections : « zeste » et « crac ». Le comique de geste est aussi présent : les coups donnés à Bazile « si jamais volée de bois vert appliquée sur une échine a dûment redressé la moelle épinière à quelqu’un » cette phrase relève aussi du comique de caractère

Sodome et Gomorrhe, deux villes détruites par le soufre et le feu à cause de leur dépravation.2) Vermeilles:rouge foncé.3) Sénat : ici rassemblement.4) Piaule = piaille5) Soho ; quartier mal famé de Londres (l’équivalent de Pigalle à Paris)6) interjections reprenant probablement «  how » en anglais.Dans sa première version connue, le sonnet publié sous le titre Sonnet boiteuxdans Jadis et Naguère terminait une séquence de sonnets consacrés aux quatre saisons,Mon almanach pour 1874. HiverAh! vraiment

parler" ; dramatisation par les hyperboles : « la toucha vivement car […] elle demeura ravie de tant détonnment qu’elle ne put longtemps proférer une seule parole » Emphase toute particulière sur la dernière parole : exclamation, interjection, interpellation + didascalie hyperbolique "comme par admiration" 2) Un monologue introspectif "je" sur les 12 premières lignes. Puis, quand le discours s’enflamme ("relevant la voix")=> 2e personne, interpellations qui marquent

inspire au lecteur des émotions tristes et fortes devant une situation inhumaine (→ compassion). * Lyrisme * Champ lexical de l’affectivité, de la souffrance, du désespoir voire de la mort * Phrases exclamatives et interrogatives, interjections * Figures d’amplification (hyperboles), métaphores, comparaisons * Ellipses narratives Registre comique * Le registre comique peut avoir plusieurs fonctions : - il vise à faire rire et à divertir, - il peut dédramatiser une situation

foudre nous a relaté un portrait allusif de Manon et la métamorphose de DG en un amant candide, à présent la fatalité se traduiera par le regard du N et la fatalité qui pèse sur les 2 amants. II- La fatalité a)regard du N l.1 : Hélas = interjection. jugement du N, commente la fatalité des amants. l.1 : que ne le marquai-je un jour plus tot ! =sentiment de culpabilité, eprimé avec solennité l.5 : pas d’autre motif que la curiosité = excuses, insistant sur la pureté de sa vie antérieur

symbolisent l’Afrique éternelle («Fixez vos yeux immuables») face aux bouleversements historiques auxquels le poète est confronté («Voici que meurt l’Afrique des empires. Il prend la forme d’une prière (champ lexical, impératif, phrases exclamatives, interjections) faite au nom de tout un peuple (passage du « je » au « nous ») contre les préjugés (« Ils nous disent les hommes du coton du café et de l’huile./Ils nous disent les hommes de la mort. ») et en faveur d’une renaissance du peuple noir et de sa réinscription

provoque la terreur, l’effroi, mais aussi la pitié. Les différents thèmes sont : -L’autorité de Dieu ou une autre autorité supérieure -Le devoir -La mort Les procédés sont : -Figures d’insistance -Ponctuation affective : exclamations, interjections, interrogations, apostrophe, -Champ lexical du sacrifice et de la mort, de la fatalité/du destin et du désespoir, du devoir, de la faute, de l’impuissance, des passions destructrices (haine, amour, jalousie...), des sentiments héroïques, de la

chrétiens. Homme respectueux, polie Inférieur à DJ. Réponse de DJ d’un air étonné. Péché de DJ : refus de la charité. Refus de cette proposition par le Pauvre : Il vit dans la forêt et prit pour tous les autres. DJ répond avec méchanceté : Interjection « Eh ! », Impératif «  Prie-le » Supériorité de DJ. Sganarelle : Pas de reproche à son maître. DJ s’en va et revient. II/ Inutilité de la prière. DJ cherche l’affrontement en posant des questions « Quelle est ton occupation parmi ces arbres