Interjection

dominant de Bérenger est ici la honte (« j'ai trop honte », « comme j'ai mauvaise conscience », « J'ai eu tort »). Le monologue exprime la douleur de Bérenger, qui est d'abord douleur d'être lui-même. Ponctuation expressive : phrases exclamatives, interjections (« hélas ! », « ah ! »), répétitions désespérées (« jamais, jamais »). Nous avons vu que Bérenger était un être définitivement seul. Cependant tout son discours est marqué par une évolution, depuis la tentation de la métamorphose jusqu’au désir

« cueillies »  rappelle le « i » de « vie » : la vie est éphémère éphémère : « vespre » « demain » « en peu de temps » « soudain » « tost »  la vie est courte « vers 9 & 10 » : répétition «le temps s’en va » 2x et « le temps » 3x et « Las ! »  interjection tragique  rien n’arrête le temps, c’est bien le thème du Carpe Diem Le futur : « je vous envoie »  futur proche, renvoie à « demain » « tost » et « cherront » « périront » « seront étendus »  futur II/ Les sentiments du poète à travers le

distance. Don Louis juge la vie de son fils mais Dom juan n’en a rien a faire. II) Mise en accusation de Dom Juan. « Et le credit de mes amis » -> « Ah quel bassesses » l.174 Don Louis fait une mise en accusation de Dom Juan Commence par une interjection « Ah » l.174 par une ponctuation expressive « ! » et par une question oratoire l.175-176. Il remet alors en cause Dom Juan et il l’interpelle. Il essaye de lui faire honte « ne rougissais point » l.175 Don Louis exclus sont fils de la famille

au code noir -Au depart le texte emploie les pronoms personels «je et tu», et passe ensuite a la marque du pluriel avec «nous», qui englobe le gouvernement de Surinam et tout les esclaves. -Candide a de la compassion qu'il exprime par des interjections comme «hélas; mon dieu» accompagné de nombreux point d'exclamation qui marque un sentiment de pitié de la part de celui ci. -Par ailleurs, nous pouvons relever le vocabulaire péjoratif qu’utilise Voltaire, par exemple «état horrible» ou «cette

(de « Toutefois je songe à ma maîtresse : » à la fin)I. Matamore = homme vantard qui va s’inventer un personnage (héros) = joue le rôle d’un homme courage joue l’indignation · exclamatives et interrogative « Mon armée ? », « Ah »· double interjection « ah ! » + double insulte « poltron », « traître »· accorde à Clindor des défauts qu’il possède se veut en colère · allitération en R (consonne dure) puis se met en valeur · métonymie du bras (= courage) · démonstratif « ce », donne

le défi « La voilà » En donnant sa main à la Statue, DJ semble accepter son destin. Il est dans un combat perpétuel avec Dieu. Il veut l’affronter. On retrouve ici le DJ conquérant, arrogant avec sa fierté. C.L’opposition entre S et DJ Interjection « O Ciel, Ah Monsieur » Impératif : « Jetez-vous, voyez-vous » S essaie en vain de prévenir DJ de la mort funèbre qui l’attend, il essaie donc de lui faire prendre conscience des risques encourus. III.Une fin de comédie ? A.Sganarelle :

rythme de l'échange, 2 paragraphes : A chaque fois il y a une question des bretons et la réponse de l'Ingénu (Religion + Baptême) Style particulier de chaque personnages : Le lecteur imagine une mise en scène (Les 2 femmes = Ton sensible [Interjections + Répétitions] L'ingénu = Ferme) II/ La satire d'un microcosme La satire du zèle de la convertion Curiosité déplacée et indiscrète des bretons envers l'Ingénu → Ce n'est pas un soucis de s'informer (« Impitoyable » ;

charlotte, Dom Juan, va exprimer ces sentiment grâce à de nombreux procedes Tout dabord, Dom Juan va commencer par une approche de façon très sûr de lui afin de montrer son assurance avec les femmes. En effet, on note l’utilisation de « Ah ! » interjection ayant pour but d’attirer l’attention du destinataire sur lui et sur ce qu’il va dire ; c’est une façon d’accentuer ses propos qui sont : « ...la belle personne, et que ses yeux sont pénétrants ! ». De plus, des que charlotte essaye de prendre la

sauver une âme perdue pendant que « les anciens » procèdent déjà à des discussions funéraires concernant le corps de l’enfant. En effet, Victor Hugo, en décrivant des détails lugubres du corps de l’enfant nous montre par des exclamations et des interjections la tristesse de l’aïeule. En expliquant que la scène se passe la nuit, Victor Hugo mortifie encore plus cet instant ce qui rend la nuit hostile et funèbre. Au vers 17, le vers commence par un nom : Fusil. Cette écriture dénonce encore une fois

de la destruction des valeurs de Camille : -l’enumération de questions de rhétoriques l 1 à l3 reflètent la colère et l’indignation de perdican face à la manipulation dont camille a été l’objet. - la présence de l’ironie avec l’antiphrase et l interjection « eh bien ! camille, ces femmes t ont bien parlé ; elles t ont mise dans le vrai chemin » condamne avec force l hypocrisie des religieuses. -avec l’hyperbole « savent elles que c’est un crime…. » et l’énumération de phrases exclamatives « ah