Interjection

jours- allusion à la relation avec le « Palotin Giron » (avec allusion aux pratiques solitaires de Giron…)-Vocabulaire vulgaire vient côtoyer celui de la tragédie : grosse bourrique , gros polichinelle / nombreuses onomatopées ( pif paf pan) + interjections- accumulation des aventures, qui s’enchaînent sans connecteurs . - motif de la grotte est repris des drames romantiques ( Hernani) et ici tourné en dérision ; c'est le faux lieu du secret et de solitude ici.Conclusion : à rédiger en classe

caves de Lille. De plus, on remarque qu'il utilise le registre lyrique pour accentuer l'utilisation partielle du registre pathétique. Il utilise donc la 1ère personne du singulier, fait preuve d'une ponctuation excessive accompagnée de nombreuses interjections comme « Hé mon Dieu ; « ah » ; « eh bien » ce qui met en évidence son implication et son dévouement dans le situation qu'il cherche à défendre. Il nous partage ses sentiments et ceux du peuple dans le but d'accentuer l'effet de compassion qu'il

à Robinson. c) Identification avec le personnage de Robinson. Avant de s'identifier à Robinson, il passe par plusieurs douleurs : « le cou brisé ; la nuque qui me fait mal ; j'ai faim, très faim » Je suis collé au flanc de Robinson « Ah !  » interjection « clic clac » onomatopée Il est dans un état second, il n'est plus lui même. Conclusion : La fiction comble l'ennuie, elle entraîne l'enfant dans un état second. Il s'identifie totalement à Robinson. La réalité est métamorphosé par la fiction

mise à l’écart du poète Tournure impersonnelle : « Il pleure dans mon cœur » « il pleut » « c’est » La musicalité du poème Le chant de la pluie Répétition son « i »  son de la pluie Répétition son « l »  larmes qui tombent comme la pluie Interjections « Ô bruit » « Ô le chant »  désignent son de la pluie, « bruit » qui devient un « chant » apaisant Entre douceur et agressivité Oppositions :  Interrogation et exclamation : « Quoi ! Nulle trahison ?... »  Amour et haine : « Sans amour et sans

par la phrase interrogative « avez-vous bien été reçus ? » (doute sur l’accueil)  2) Une scène dynamique  Scène vive, rapide  - Succession des répliques courtes  - Entrée : mise en scène gestuelle : verbes de mouvement, préposition de lieu  - Interjection « eh ! » « ah ! »  - Ponctuation : jeu de question-réponse, exclamations  3) Une réflexion sur le mariage  Caricature de la conception sociale du mariage  Arlequin présente le mariage comme un contrat.  - termes renvoyant au mariage  - Arlequin

la reine, champ lexical de l'offense ("insulter", "insolemment"...). - L'amour que Ruy Blas ressent pour la reine le pousse à se révolter contre Don Salluste. Cet amour se ressent dans sa tirade : points d'exclamation, questions rhétoriques, interjections... - Ruy Blas : anaphore de "vous osez" adressée à Don Salluste => montre l'offense de Don Salluste envers la reine. - Ruy Blas a souffert des mauvais traitements de Don Salluste : métaphores qui mettent en valeur la souffrance de Ruy Blas ("C'est

tons de l'interlocuteur (ex : réponse du Huron l.12 => variété et mouvement b) théâtralité - Voltaire anime l'échange comme une pièce de théâtre : > style personnalisé des répliques (femmes : sensible avec interjections : "hélas!"... ≠ Ingénu : ferme et modéré : sobriété l.4-5) + enthousiasme exagéré : répétitions "nous le baptiserons" => peut faire sourire => théâtralisation de la situation : plaisant à lire, on s'imagine la scène

d'important « soleil » Lou est comparé au soleil, elle lui est vitale, et elle rayonne Vers 5-6 « mon » « ton » « ma » « mon » pronom possessif II- Il exprime l'intensité de son désir afin de persuader Lou de continuer à l'aimer v9 « Haha » Interjection – Il exprime sa joie, son bonheur éveil des sens : il fait l'éloge et célèbre la beauté de la femme – idée de gourmandise - la vue «  te revoilà devant moi toute nue » - le goût «  hanches fruits confits » fruit méditerranéen, Lou était

L’opposition du monde paysan à celui des nobles a. L’opposition du langage - Pierrot + Charlotte : langage patois ( Dom Juan : langage noble comme Sganarelle (serviteur se place ds le camps des maitres) - Pierrot emploie nombreuses interjections : discours expressif ( discursif. - DJ pose son style soutenu + commente interventions de Pierrot( s’adresse a un interlocuteur invisible. Mépris accompagné d’un geste de violence physique. Propos de Pierrot révèle de l’impertinence ou sont

langage. On distingue les fonction de premier ordre (inhérent à tout langage): DESTINATEUR : locuteur → fonction expressive Centrée sur le locuteur en tant que celui qui transmet le message et ses sentiments à l'égard de celui-ci. Appel au interjections, onomatopées, aux jurons et autres formes exclamatives. L'intonation est importante (comme d'autres éléments non linguistiques de l'aspect du locuteur). DESTINATAIRE : allocutaire → fonction conative Centrée sur le destinataire, quelqu'un