Interjection

quelle situation, on le dit pour tout, ce qui n’ pas de sens pour nous les espagnols car nous utilisons cette expression pour dire ‘bravo’. Autres expressions sont le ‘ay !’ et le ‘homme’ dans toutes les conversations. Tous les deux utilisés comme interjections, sans sens. Dans la première scène César passe revue et les ibères parlent. Apparemment ils ne comprennent pas ce que César fait. Ils alludent aux ‘corridas de toros’. Dans la scène où les romains enlèvent l’enfant du chef des ibères, lui, il

désir de ne pas être dérangé (fermeture de la fenêtre) b- amour égoïste (couple replié sur lui-même, plus de contact avec le monde extérieur ) bonheur assombri l’imminence de la séparation a- irruption de la réalité brutale marquée par 1 interjection "Oh!"( marque du lyrisme) b- association pluie/larmes ("ce bruit d’eau qui pleure" souligné par chiasme 1e/dernier vers de 4e strophe) pluie élément de bonheur, éruption de la réalité tristesse. c- sons plaintifs expriment l’angoisse de la

retiré tout seul dans ce bois depuis dix ans ») Ermite Consacre son temps à la prière pour les autres (« De prier le Ciel tout le jour pour la prospérité des gens de bien qui me donnent quelque chose. ») Réaction de D.J. Colère (« Eh ! » = interjection + réplique bref) Montre sa méchanceté, insolence Réaction de Sganarelle Gêné par la provocation de D.J. = excuse D.J -> Rappel son athéisme (non croyant) et son rationalisme (réf : Acte III scène 1) D.J. veut démontrer l’inutilité de

des lettres est incompatible avec l'esprit des affaires » --> il écrivait des énigmes aux journaux, faisait des bouquets à Chloris Le personnage du comte se moque de Figaro et critique : didascalie « riant », « qui tuaient les sujets du roi » interjections « oh ! Grâce ! Grâce ami ! » « je me souviens qu'à mon service tu étais un assez mauvais sujet » « paresseux, dérangé » Personnage qui à l'air décalé, effet comique accentue la tonalité humoristique accumulation qui donne l'impression d'une course

candide semble prendre une décision, Candide est un personnage, alors que le nègre fait figure de non personnage (Candide ne répond pas à son interrogation). « Qu'est ce qu'optimisme, disait... » :Verbe à l'imparfait, répétition. « Hélas », interjection de la plainte. Voltaire parle par la bouche de Candide. « La rage », comme la colère, semblable à la folie, contraire à la raison.

tirade sur le personnage de Don Juan ? I-Une éloge paradoxale de l’inconstance : un maître du langage. 1) Une réponse au portait de SG -Un texte polémique : DJ répond aux accusations de DJ. Registre polémique. Interrogations rhétoriques + interjection, ironie (antiphrase), ponctuation expressive, « non » Texte = réfutation. -Dialogue se transformant en soliloque : réponse aux accusations de DJ (2ème pers du sing), DJ parle de lui-même, singularité par rapport aux mœurs de son temps. 2)

immédiatement dans le registre lyrique il est la confidence « je » du poète qui exprime son ennui, sa désolation. La multiplication des tournures exclamatives «  Fuir ! » «  Ô nuit »  « Je partirai » appartiennent au chant lyrique, tout comme les interjections  « hélas », « ô mon cœur ». Enfin l’interpellation «  Steamer… lève l’ancre » où le poète semble s’adresser à lui-même, impression qui se confirme dans le dernier vers «  ô mon cœur, entends le chant des matelots ! » est encore signe du lyrisme

domaine de ce qui n’existe pas - Baroque = expression de l’excès, de la profusion verbale - Matamore s’approprie la parole pendant 20 vers - Ponctuation expressive - Nombreuses exclamations : « Mon armée ! », « Ah poltron ! » - Nombreuses interjections : « Ah », « Veillaque » - Matamore = pers. qui parle haut et fort - 13 vb d’action = soulignent l’excès (v22…) - Excès souligné par énumération (v34) - Gradations = on peut même parler d’hyperboles - Matamore = Excès incarné = Expression par

conséquences que ce geste impliquera, se sacrifie dans l’espoir de sauver sa ville. Lorenzo est un héros romantique philanthrope. Enfin, on note que Lorenzo s’exprime par de nombreuses phrases exclamatives nominales, et utilise à quatre reprises les interjections « Ô !» ou « Ah ! ». C’est une manière poétique et romanesque de s’exprimer, qui complète la dimension romantique de la scène

présentés par Ivan DJOMEGNI En grammaire, les connecteurs logiques sont des morphèmes (adverbes, conjonctions de coordination ou de subordination, parfois même interjections), qui établissent une liaison entre deux énoncés, voire entre un énoncé et une énonciation. Ils regroupent des connecteurs logiques et des connecteurs argumentatifs comme «mais», c'est-à-dire des mots qui, en plus de leur rôle de jonction, insèrent