Intertextualité

ne devient-il pas ironique? «Dans aucune mesure. Quand on dit le mot eldorado, on sait bien que ça n’existe pas. Pourtant, ça ne nous empêche pas d’y croire. On a tout un eldorado en soi. C’est la part précieuse du désir», conclut Gaudé. -     Intertextualité : Sans doute inconsciemment, Laurent Gaudé s ‘est inspirée de «Candide» de Voltaire(chapitre 18), dans le sens ou, son roman est une critique de la société européenne, de la naïveté des voyageurs (les voyageurs n’ont qu’une vue superficielle et

apparaissent sous formes d’intertextualités, de références, de ressemblances ou même d’idées directrices ou de problématiques. Exemple avec Magnus de Sylvie Germain qui joue même avec ce mélange des réalités en multipliant les références et les intertextualités avec la Bible, les poèmes de Rimbaud ou de Baudelaire… Mais plus encore que les histoires rangées dans la mémoire, c’est l’Histoire rangée dans les mémoires qui marque au fer blanc les romans. Ainsi la forme du roman importe autant que son

d'énonciation (apostrophe à l'arbre et forme dialogique), induisaient également l'existence d'un lien, et donc la nécessité d'une confrontation entre ce poème et celui de Valéry. Cette relation n'est d'ailleurs pas fortuite, et correspond à une intertextualité explicite et voulue, Ponge ayant déclaré avoir écrit « Le platane » en réaction et en opposition à l'éloge composé par Valéry, dont il critiquait le caractère abstrait et le style ampoulé. On pouvait également établir un parallèle entre « Au

Courtes, J. Intertextualité sémiotique : Dictionnaire raisonné de la théorie du langage, paris, classiques, Hachette, 1979. • Rabou, S. Linter textualité, paris, Flammarion, 2002. • Riffaterre, M. La production du texte, paris seuil, 1979. • Riffaterre, M. La trace de l’intertexte, paris, La pensée, 1980. • Angenot, M. L’intertextualité, enquête sur l’émergence et la diffusion d’un champ national, Revue des sciences humaines, n° 189, Janvier – Mars, 1984. • Arrivé, M. Intertexte et intertextualité chez

brièveté de la vie humaine. ● Thèmes secondaires : - émerveillement devant la beauté de la nature ; - révolte devant le caractère éphémère de la vie ; - invitation à profiter des joies de la vie. V. Intertextualité. ● Sources : L’ode du poète latin Horace À Leuconoé, où est énoncée la célèbre formule « carpe diem » (= « cueille le jour », c’est-à-dire « profite du moment qui passe »). ● Relations avec d’autres œuvres de l’auteur : Un autre poème

51-68. Hayes, E. Bruce, Rabelais’s Radical Farce: Late Medieval Comic Theater and Its Function in Rabelais, UK : Ashgate Publishing Limited, 2010, p. 101-138. Jeanneret, Michel, « Polyphonie de Rabelais : ambivalence, antithèse. La farcissure. Intertextualités au XVIe siècle », in : Littérature, 55, 1984, p. 98-111. Hunt, Tony, « The art of concealment: La Châtelaine de Vergi», French Studies, 47:2, 1993, p. 129-141. Khedija, Blaïech-Ajroud, « L’heure fatale panurgienne », in L’instant fatal, Actes

coucher sur le papier le rapport officiel qu’on lui à demandé : " Je pars dans tout les sens les mots viennent dans mon cerveau comme la limaille de fer sur l’aimant et je les verses sur la page sans plus me soucier de quoi que ce soit. "   - Intertextualité: Référence à la doctrine nazie lorsqu’il nous parle des camps de concentration, ainsi que de leur inhumanité.     Prie de notes annexe:" l’Anderer" est au centre de l’oeuvre ela signifie l’étranger ou l’autre. C’est d’abord un personnage. Il suscite

polyphonique. Et, c’est là que réside le néologisme de signifiance que nous aurons à démontrer un peu plus loin dans notre étude. C’est dire que le texte n’est pas un espace clos. Il est un lien d’échange ou de permutation de textes. C’est donc une intertextualité c'est-à-dire que dans l’espace d’un texte, plusieurs énoncés pris à l’intérieur d’autres textes se croisent tout en se neutralisant. C’est donc un terreau propice à l’éclosion de nouveaux discours. Mais, si les anti ou post structurales ont glané

paramètres de définition : prêt à porter de la pensée. Ce sont des rigidifications culturelles. * Critères quantitatif : fréquence, répétition. Il faut que cela se répète à un grand niveau. * Critère historique : caractère inoriginé et intertextualité. L’origine du stéréotype n’est pas très bien délimitée. Exemple : expressions à la mode : c’est TROP mignon, c’est TROP chouette. * Critère sémantique : abstraction, caractère schématique * Critère formel : figement

imaginaire, ont été à Polanski autant d’avantages pour s’écarter des sentiers battus d’avance. »[24] G.V. Pour lire la suite, commander l’ouvrage sur le site de l’éditeur en cliquant sur la première de couverture ci-dessous. “ Lunes de fiel : Intertextualité romanesque et cinématographique ” in Roman Polanski, l’art de l’adaptation, Paris : L’Harmattan, 2006, (ouvrage collectif), p.157 à 168. BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE A) Ouvrages : BRUCKNER (P.).- Lunes de fiel, Paris : Seuil, 1981.