Intertextualité Et Réécriture

musicale. Recherche sur le sonore et le rythme. Texte cherche un effet entraînant et provoque le rire « ah ah » -> le poète prévoit le rire. Graphie, sonorité et sens (joue sur ses 3 dimensions). II- Une chanson triste. a) Sur un thème de Ronsard Réécriture ludique des deux poèmes de Ronsard. Dernier vers 39 // identique fin du sonnet. Thème commun : fuite du temps. Référence constante / pressante au temps. « durer toujours », « saison des amours », «  les beaux jours de fête ». Argumentative : convaincre

Festin de Pierre, Molière (1665) Tirso de Molina, dramaturge espagnol, a créé le personnage fictif de Dom Juan (attention à l’orthographe, les Italiens l’écrivent Don Juan) à partir d’un personnage réel. Des auteurs italiens en ont proposé des réécritures. Molière, dramaturge du XVIIème siècle, s’est inspiré de ces textes afin de donner sa propre vision, perdurant un nouveau mythe littéraire. ACTE I, Scène première SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE, tenant une tabatière: Quoi que puisse dire

d’écriture que constitue la parodie, il s’apparente à une sorte de pastiche lexicographique. La contestation langagière fait partie de la stratégie littéraire iconoclaste de Jarry mais elle n’en est qu’un aspect, autrement dit un cas particulier de la réécriture. Jarry ne se contente pas d’inventer une injure, il choisit un mot (grossier) répandu et le déforme en lui ajoutant une lettre. Le procédé porte un nom savant en linguistique : on parle de phénomène d’épenthèse, et l’on sait que Jarry inventait

établir un pont entre l’oralité et l’écriture dans L’honneur de la tribu et comment ce modèle d’écriture permet à cet écrivain de la «néo-narrativité » la possibilité d’exprimer son identité et sa différence à travers le retour au conte oral et la réécriture fidèle (le pastiche sérieux) du modèle ancestral. Nous émettons alors l’hypothèse que la culture orale répond à une volonté d’exprimer une origine, une altérité à travers un genre-le roman. C’est pour cette raison que nous pensons que l’écriture

épidictique : l'éloge et le blâme chapitre 13 – L’argumentation indirecte : le conte philosophique et la fable Production et récePtion des textes p. 60 p. 66 p. 72 p. 77 chapitre 14 – L’écrivain au travail chapitre 15 – Les différents procédés de réécriture Le guide PrAtique p. 78 p. 84 p. 91 les mouvements littéraires L’essentieL du cours REPÈRES une LAngue oFFicieLLe ? Pour simplifier la gestion administrative du royaume de France et assurer sa centralisation, François Ier promulgue

gardant des traces de ces moments, l’œuvre est l’évènement, la suite que le récit *Gina Pane, Autoportraits : mise en condition/ contraction/ rejet - se coupe la langue avec lame, sang, lait -diff. possibilités de présentation (= réécriture de l’œuvre) explicité par l’artiste (photos + evtl mouchoir, lames + evtl texte) LE TEMPS COMME MATERIAUX Au moment artistique s’oppose le moment de son récit, qui va produire un succédané de l’œuvre (anticipé p. ex. par Gina Pane par un

ronde, en 2004, dans la collection « Folio ». En effet, d’après Emmanuelle Baumgartner (1992), l’écriture des deux œuvres est simultanée, et on relève dans Yvain plusieurs intertextualités, et l’entrelaçage des deux romans ébauche le futur cycle des chevaliers de la Table ronde. Est-ce que l’édition met en avant cette intertextualité ? L’édition est donc une édition spéciale, elle comporte 32 pages pour en savoir plus, la couverture est très colorée. La traduction date de 1970, la préface de

lexamen : 1. Identifiez les mythes qui sactualisent dans les romans Mémoires dHadrien de Marguerite Yourcenar, Lorsque jétais une œuvre dart dÉric-Emmanuel Schmitt et dans La chaussure sur le toit de Vincent Delecroix. (au choix) 2. Analysez la réécriture du mythe dans le théâtre de Jean Giraudoux. La lecture intertextuelle Nathalie Piégay Gros, Introduction à lintertextualité, Paris, Dunod, 1996. Lintertextualité est la perception par le lecteur de rapports entre une oeuvre et dautres, qui lont

deux mentions (Lettres et LCE) qui président à la spécialité, et se décline en objectifs précis : S’adapter aux situations et aux circuits de communication propres à une organisation et à ses partenaires ; Maîtriser les différentes pratiques de réécriture : révision, reformulation, traduction en langue étrangère, rewriting, note de synthèse, etc. ; Lire et s’approprier des documents de nature diverse, en faisant preuve d’esprit critique quant à ses sources, ses objectifs, sa structure ; Mobiliser

en faire deux parties de la pièce (1636/37), car elle était très longue. L’emprunt, tel qu’il est pris par le Cid, va être l’objet d’une réadaptation. Les différences : Voir comment l’emprunt a été retravaillé ? Quelles sont les techniques de réécriture de l’emprunt en fonction du contexte et du genre adapté ? CORNEILLE va respecter ces deux points : le genre et le contexte. Quel était le genre de Corneille ? La tragédie classique. Elle avait ses règles et ses normes. La règle des trois unités :