Intonation

I) La mise en abîme du théâtre dans le théâtre. Dès le début du texte, Genet tente de créer une incompréhension dans le public en faisant jouer aux bonnes une scène de théâtre dans le théâtre. Ainsi, Claire joue Madame avec une certaine intonation comme nous pouvons le voir dans sa première réplique : (l9-p15) ‘et ces gants’ […], mais encore il utilise beaucoup d’impératif afin à faire comprendre au lecteur ou au spectateur quel est son statut social sur scène. Ainsi, nous pouvons le

16 septembre Communication non verbale I. Introduction communication verbale: (écrit; LSF; picto) communication non verbale: paralangage; le regard; le visage (mimiques); postures; habits; contact/touché; distance; art/musique; intonation. Il y a deux variables qui est l'explicite et l'implicite. L'explicite c'est ce qui est directement accessible à la compréhension. L'implicite est un message inconscient auxquels on a pas directement accès. Chaque mot véhicule une émotion dépendant de notre

exclusivement au luxe et à l’exquis.  J’excuse cet exquis exploit et tu excuses cet exploit exquis. 2. La chanson du geste ! Mimez chacune de ces phrases en faisant le geste qui l’accompagne habituellement. Prononcez-les ensuite avec la bonne intonation. Terminez en joignant le geste à la parole :  Qu’il est doux.  Il est drôlement chaud ton café.  Ah ! Je tombe.  Passe-moi le sel.  Ah ! Michael Jackson (ton admiratif).  Ah ! Michael Jackson (ton dégoûté).  Accroche-toi au pinceau, je

Le rire va naître de l'exagération des angoisses de la maîtresse (:hyperboles) : les énoncés sont de plus en plus brefs. (vivacité de ton de la servante) L’absence de didascalies : on imagine les gestes et les attitudes de Cléanthis par son intonation. Rapidité avec laquelle elle mène le récit : vivacité renforcée par la parataxe. Double destination du théâtre : l'acteur s'adresse non seulement aux personnages sur scène, mais aussi aux spectateurs. On a donc une vraie mise en abyme : miroir

l’utilisation de mots trop négatifs, trop familiers ou encore trop techniques et en se montrant poli Contrôlant le ton de sa voix : l’impatience, l’embarras, la colère, l’indifférence s’entendent au téléphone, tout comme le sourire Adoptant une intonation et un débit de voix modérée et en articulant clairement Ecoutant activement son interlocuteur, lui laissant le temps de s’exprimer Etant attentif à sa posture (susceptible de modifier la voix), à ses gestes et à ses mouvements qui s’entendent

? (indignation) • LEXIQUE : GN ou adjectifs mélioratifs (= positif) ou péjoratifs (= négatif): inadmissible, formidable... Ex Ce livre est un chef-d'oeuvre. • ADVERBE : heureusement, sans doute, probablement, peut-être... Ex C'est trop bien ! • INTONATION à l'oral, ponctuation à l'écrit. Ex Vous ici ? Mais c'est une honte ! • TYPOGRAPHIE spéciale : gras, capitales, italique Ex Il est en retard... TRES en retard ! (exaspération) • FIGURES DE STYLE : antiphrase, ironie... Ex Tu as eu 5/20 ? Félicitation

metteur en scène organise le jeu des acteurs, choisit les décors, les costumes, les musiques, les lumières… ← Didascalie : indication textuelle qui concerne la mise en scène. Elle renseigne sur l’attitude des personnages, leur diction et leur intonation, leur position physique, les jeux de lumière, les décors, etc… Il s’agit donc d’une consigne de l’auteur qui n’est pas prononcée, mais qui est jouée par les acteurs, figurée ou représentée sur scène. La première didascalie, parfois longue, qui décrit

envie d’Elmire. C/ La sensualité Se révèle un sensuel : théatralise sa pudeur. Pas insensible au charme de Dorine et faiblesses qu’il devrait discipliner « fait venir de coupables pensées » « Hélas…volontiers » et « Viendra…bientôt » → intonations fortes, envie Elmire, oublie de jouer, attendre Elmire= plaisir, hypocrisie soulignée par le comique. II. Une concentration de procédés comiques A/ Comique de situation Spectateur voit Damis caché (v852 ou 1021), sait des choses que tartuffe

destinée à être regardée comme une représentation fictive de la vie ou d'un de ses aspects multiples, que l'auteur lui apporte une visée morale, critique, ou satirique. Elle met en scène des acteurs qui récitent et interprètent leur texte à l'aide des intonations de leur voix et des gestes de leur corps. Le spectateur voit ces personnages évoluer sur scène, il suit des yeux leurs mouvements et les expressions de leurs visages et écoute les mots que leur inspirent leurs passions fictives. C'est dans la relation

interview. IV. Trois canaux : multicanalité. 1. Le signe linguistique (les mots) 2. Le matériau vocal (sons) 3. Le corps (transmission) V. Les moyens de la communication orale : 1. Moyens linguistiques et prosodiques : sons, accentuation, intonation. 2. Moyens paralinguistiques : voix, mélodie, pauses, débit, respiration. 3. Moyens kinésiques : attitudes corporelles, mouvement, gestes, regards. 4. Position des locuteurs : occupation des lieux, espace personnel, distances. 5. Aspect extérieur :