Intériorisation

conformisme : complaisance (acquiescement), identification, intériorisation Kelman, 1961 * Complaisance : se conforme pour éviter des ennuis ou en tirer des avantages en présence du groupe = conformisme public, de surface. * Identification : l’individu veut établir et maintenir une relation désirée avec le groupe majoritaire -> modification de ses croyances et de ses comportements qui affectent son domaine privé et public * Intériorisation : l’individu est persuadé que les valeurs du groupe

selon Jung une transmission, de génération en génération d’archétypes psychiques, évoqués sous la forme de symboles et d’images. Cette conception héréditaire a été critiquée et parfois remplacée par une conception de l’inconscient collectif comme intériorisation des réalités économiques et sociales. 5) Les critiques de l’inconscient : Sartre a refusé le geste freudien faisant de l’inconscient une substance, un autre moi car cela revenait, selon lui, à évacuer la question fondamentale de la liberté. Popper

mois. Résolution de la crise. Les efforts de rapprochement s’atténuent. Mécanisme d’intériorisation de l’objet séparé du self de plus en plus fonctionnel. Apparition du pronom « moi ». Apprentissage propreté, apparition précurseurs du surmoi (intériorisation des demandes parentales).Début identité sexuelle Toujours rôle crucial de la mère. Doit à la fois faire preuve d’une disponibilité émotionnelle et pousser doucement l’enfant vers l’indépendance. Pour les malheriens : la phase de rapprochement

on code les contenus, on balise, on encercle au plus près cette sexualité infantile « précoce, active, permanente » constatée…p.40 On contrôle, il ne s’agit pas tant de punir la déviance mais de la corriger et surtout de la prévenir, il y a intériorisation de « la norme », le pouvoir pénètre dans l’intimité de la vie, et également dans l’intimité de la vie des enfants. A partir du XVIIIe et du XVIIIIe, d’autres « foyers » entrent en activité : « la médecine d’abord, par l’intermédiaire des maladies

selon l'auteur d'un sentiment social et non individuel, qui se forme lorsque la société investit de ses peurs certains plaisirs. En un mot, ce que Norbert Elias cherche à monter à travers toutes ces illustrations, c'est qu'il s'est produit une intériorisation des contraintes extérieures, qui sont devenues automatiques. C'est ce qu'il nomme le processus de civilisation des moeurs. Sur le fond, les critiques que l'on peut adresser à l'ouvrage sont de plusieurs ordres. Tout d'abord, Norbert Elias

progressive du ca au contact de la réalité - Simultanément le siége de la conscience mais aussi de manifestation inconscient il est régi par le principe de réalité Le surmoi : - Différentiation du Moi - Se forme par intériorisation de l’Idéal du Moi et des interdits parentaux et sociaux - A l’origine de la conscience morale - Instance refoulement L’idéale du Moi : (Modèle idéalisé auquel le sujet cherche à se conformer, résultat de l’identification

que celui qui exerce cette contrainte veut que je fasse. A cause de la contrainte, je ne fais donc pas ce que je veux mais ce que je ne veux pas. Cette contrainte peut s’exercer sur nous de deux façons : de l’extérieur ou de l’intérieur (par intériorisation). La première est visible, facile à déceler ; la seconde plus insidieuse. (1) Donnons un exemple du premier cas : l’esclave. L’esclave n’est pas libre car son maître le contraint à travailler pour lui. Cependant cet l’esclave peut prendre conscience

plus jeune que la Zazie d'origine. Asexuée, habillée à l'image d'une fillette d’Épinal, elle renvoie à un archétype d'enfant avant de signifier un personnage à part entière. Dans le livre comme à l'écran, Zazie ne connaît pour ainsi dire aucune intériorisation et n'a pour tout passé connu qu'un fait divers douteux. C'est son statut d'enfant et la question qu'à lui seul, il pose aux adultes, qui constituent l'utilité narrative de la fillette. La question de la nature des adultes, en effet, devient latente

par ses propres lois, de déterminer librement les règles auxquelles on se soumet. L'autonomie n'est donc pas l'absence de règles. Ce qui serait l'autonomie, c'est l'intériorisation de règles. L'approche psychanalytique de ce que serait cette intériorisation laisse moins de liberté, tout au moins sur le registre inconscient, à la détermination du choix de ces règles que n'en précise la définition du dictionnaire. Pour elle, l'autonomie c'est ce qui s'oppose à la dépendance comme lien primordial à

remémoration ou à l’association libre dans le conflit psychique refoulé est la marque de l’aménagement défensif moïque. 3.3 Le Surmoi Classiquement le Surmoi est défini comme « l’héritier du complexe d’Œdipe » (1923). Il se constitue par intériorisation des exigences et des interdits parentaux ; il ne s’agit pas d’une identification aux parents eux-mêmes mais aux interdits et aux règles morales des parents. Dans « Deuil et Mélancolie », Freud en 1915 écrit « le surmoi de l’enfant ne se forme