Ironie Voltairienne Candide

qu’il a pu faire à travers l’Europe. Rappelant la diversité des usages qu’il a pu constater, il souligne combien il est sensible à cette variété et affirme qu’il a toujours fait en sorte de l’expérimenter au cours de ses voyages. Il se moque avec une ironie cinglante de ceux qui, parmi ses compatriotes, redoutent et fuient la différence quand ils sont hors de chez eux. « J’ai honte de voir nos hommes, enivrés de cette sotte humeur, de s’effaroucher des formes contraires aux leurs », et il ajoute : «

-Gargantua : publication, composition, réception -L’incipit de l’œuvre : titre, poème liminaire, prologue -Formes et enjeux du comique dans Gargantua. 2)Textes et documents complémentaires -RABELAIS Pantagruel La naissance de Pantagruel -VOLTAIRE Candide ch 3 « La guerre des Bulgares et des Abares » -KUNDERA «L’invention de l’humour » dans Les testaments trahis. 3)Corpus  tiré du manuel : ambitions et limites de l’humanisme. Extraits de MONTAIGNE «De l’expérience » (p448), D’AUBIGNE Les Tragiques

développe chez Cosette et son lecteur. Chapitre 1 – La question sur le corpus (séries technologiques) Fiche 1 – Confronter les textes du corpus pour organiser sa réponse 1 – Lire le corpus pour trouver des éléments de réponse p. 470 a. Les deux textes voltairiens sont d’origines différentes : le premier est extrait d’un dictionnaire et le second, d’un conte philosophique. Pourtant les deux sont des textes narratifs dont le but est argumentatif. b. La condamnation de la guerre passe dans le premier texte

développe chez Cosette et son lecteur. Chapitre 1 – La question sur le corpus (séries technologiques) Fiche 1 – Confronter les textes du corpus pour organiser sa réponse 1 – Lire le corpus pour trouver des éléments de réponse p. 470 a. Les deux textes voltairiens sont d’origines différentes : le premier est extrait d’un dictionnaire et le second, d’un conte philosophique. Pourtant les deux sont des textes narratifs dont le but est argumentatif. b. La condamnation de la guerre passe dans le premier texte

dire : ne parlez pas à là bête qui est dans cet antre. » (p.36) Quand il s’agit de traiter des problèmes de l’actualité politique et sociale ou bien de la misère humaine, nous l’avons vu, Hugo recourt à l’ironie. Dans ce roman, son ironie est toute voltairienne, comme dans la description de la communauté guernesiaise, à travers laquelle il stigmatise les préjugés des habitants et leur tendance à la superstition et dénonce, au nom des Lumières et de la raison, l’obscurantisme des préjugés et

choisi de mettre, année après année, nos pas dans ceux de Voltaire. En 2008, nous avons suivi le philosophe lors de sa première et brève visite dans ce qui n’était encore qu’un bourg de « quarante sauvages », Fernex. En 2009, nous avons vu naître Candide et inventorié le nouveau domaine de son créateur, vaisselle, haras et livrée des domestiques. En 2010, nous voici auprès de Voltaire, 66 ans, qui met déjà un point final à ses Mémoires. L’éternel mourant ignore, bien sûr, que le destin lui réserve

l’ordre chronologique des textes; ils sont répartis selon la position narrative occupée par le personnage féminin. Ainsi, je commence par Voltaire au lieu de Montesquieu, qui est nettement son prédécesseur. D’ailleurs, certains passages des contes voltairiens montrent que l’auteur s’est inspiré des Lettres persanes de Montesquieu. 2 - La perception des femmes de Voltaire n’inclut pas son amie Mme du Châtelet, qu’il considérait comme une femme exceptionnelle à cause de son intelligence et de ses connaissances

merveille. Qu'en sort-il ? Baal meurt, l'ours fuit devant l'abeille, Soit. On lutte, on s'acharne, assaut, mêlée à mort ! Et la science pique et la sagesse mord ; Que reste-t-il au coeur, la bataille finie ? Hélas ! la nudité d'une immense ironie ; Tous les profonds instincts glacés et grelottants ; Kant, ce n'est pas cela que de l'homme j'attends. L'esprit triomphe. À bas le vieux dogme ! on l'écrase, Il tombe ; le passé s'effondre ; table rase ; Bien. Plus je suis vainqueur, plus

représentant de la bourgeoisie (incarnation de la bonne fortune), quant à la droite, elle le traite de démagogue, de socialiste. Sur le plan idéologique et religieux : d'un côté, il est voué aux Gémonies par les catholiques : penseurs rationalistes, voltairiens. Des gens représentants de la libre pensée le considèrent comme bigot, bienpensant et représentant d’un âge ancien. Donc, Hugo est un personnage à prendre avec des pincettes. Préjugés politiques, idéologiques et esthétiques. III) Hugo et la tradition

baguette » et « le gobelet »). Commençant par une apostrophe aux spectateurs (« Écoutez donc... »), la dernière réplique de Raoulet témoigne d’un enrichissement du ton : plus agressif qu’il ne l’a jusqu’ici été du côté de Raoulet, il s’empreint d’une ironie mordante à travers le rapprochement sémantique du patronyme de « Connart » et du grossier substantif homophone « connard », visant à tourner son interlocuteur en ridicule. L’allusion grivoise présente, via l’étymologie de « connard », dans : « les