Ishikawa 10 Commandements

il s’agit de l’aptitude d’un produit ou d’un service à satisfaire les besoins des utilisateurs » (2) La meilleure définition à notre sens ne peut provenir que de ceux qui sont considérés comme les pionniers du management de la qualité. Ainsi, pour ISHIKAWA la qualité ne peut se définir que dans les termes de celui qui la fait. Pour l’ouvrier : la qualité signifie « être fier de son travail ». Pour le manager de l’entreprise : la qualité signifie la réalisation de la production demandée. Pour le directeur

il s’agit de l’aptitude d’un produit ou d’un service à satisfaire les besoins des utilisateurs » (2) La meilleure définition à notre sens ne peut provenir que de ceux qui sont considérés comme les pionniers du management de la qualité. Ainsi, pour ISHIKAWA la qualité ne peut se définir que dans les termes de celui qui la fait. Pour l’ouvrier : la qualité signifie « être fier de son travail ». Pour le manager de l’entreprise : la qualité signifie la réalisation de la production demandée. Pour le directeur

Deuxième tactique Alors que, en réfléchissant tous les deux , ils pourraient limiter la casse : l'innocent, comme le coupable ____________________________________________________________ ________________________________________ PHILIPPE NORIGEON PAGE 10 LES FONCTIONS DE L’ENTREPRISE ____________________________________________________________ ______________________________ Albert, le coupable, ne parle pas Mérite Albert Bernard 5 0 Aura certainement 2 2 Pourrait avoir 5 0 Mais, Albert

tactique Alors que, en réfléchissant tous les deux , ils pourraient limiter la casse : l'innocent, comme le coupable ____________________________________________________________________________________________________ PHILIPPE NORIGEON PAGE 10 LES FONCTIONS DE L’ENTREPRISE __________________________________________________________________________________________ Albert, le coupable, ne parle pas Mérite Aura certainement Pourrait avoir Albert 5 2 5 Bernard

mais aussi un ensemble de relations interpersonnelles dans lesquels la notion de groupe apparaît cruciale. Ce constat a donné naissance à la création du courant des relations humaines qui se penche sur l’analyse du pouvoir et des styles de commandement. (1) Weber M., Histoire économique : Esquisse d’une histoire universelle de l’économie et de la société, Gallimard, 1992. Le courant des relations humaines au début du XX° siècle En effet, il semblait que l’homme ne réagissait pas

U295Optimiser l’environnement de travail des collaborateurs306 Afficheur numérique et de voyant327Exemple de convoyeur de drainage338Méthode ABC349Le processus de la logistique 4210Diagramme de description processus préparation (via Bizagi)4311Diagramme Ishikawa de la préparation4312Non normalisation des palettes4513Stock picking 4715Tableau de bord préparation56Sommaire Remerciements Résumé Abstract Liste des abréviations Liste des figure…………… …………………………………………………………………………… Liste des

combinent les structures d’autorité (définition des pouvoirs des uns et des autres). - un ensemble de règles d’évaluation de son activité. Ces éléments de contrôle mesurent la qualité de la relation de l’organisation avec son environnement. 10 écoles se sont succédées depuis le début du siècles : l'école classique, l’école des relations humaines, l’école mathématique, l’école des systèmes sociaux, l’école socio-technique, l’école néoclassique, l’école de la théorie des systèmes, l’école de

auquel se combinent les structures d’autorité (définition des pouvoirs des uns et des autres). - un ensemble de règles d’évaluation de son activité. Ces éléments de contrôle mesurent la qualité de la relation de l’organisation avec son environnement. 10 écoles se sont succédées depuis le début du siècles : l'école classique, l’école des relations humaines, l’école mathématique, l’école des systèmes sociaux, l’école socio-technique, l’école néoclassique, l’école de la théorie des systèmes, l’école de

combinent les structures d’autorité (définition des pouvoirs des uns et des autres). - un ensemble de règles d’évaluation de son activité. Ces éléments de contrôle mesurent la qualité de la relation de l’organisation avec son environnement. 10 écoles se sont succédées depuis le début du siècles : l'école classique, l’école des relations humaines, l’école mathématique, l’école des systèmes sociaux, l’école socio-technique, l’école néoclassique, l’école de la théorie des systèmes, l’école de

de production qui contrôlaient tout le système productif de A à Z. La rupture la plus radicale ne se produit pas en Europe. La solution s’imposant à partir des 70’s, 80’s est celle expérimentée depuis 50 ‘s chez TOYOTA qui fût conceptualisée par ISHIKAWA, mise en pratique par TAÏCHI OHNO = TOYOTISME = ohnisme (du nom de Taïchi Ohno : Le système Toyota). Le TOYOTISME = une optimisation du fordisme = application au Japon des contraintes du Fordisme. Cela induit un certain nombre de bouleversements