Je N Ai Aucune Expérience Du Moi Hume

"répondre" à une question dans une dissertation de philosophie, mais plutôt d'explorer des pistes de réflexions et de noter sa démarche sur feuille en y donnant des exemples, pour enfin trouver une ouverture décente. La question "qui suis-je" ne peux en aucun cas être exacte, puisque le terme même est profondément en contradiction avec la notion de personnalité (par définition changeante) Posons nous donc les quelques questions suivantes : Nous sommes en constante évolution, pouvons nous dire que nous

comparer avec ce que nous étions avant. Même si nous évoluons, nous avons l’impression que notre identité qui constitue le moi est invariable et permanente. Dans Eléments de Philosophie, Alain identifie la pensée au moi. Le moi est celui qui réuni nos expériences pour en faire une seule. On ne peut pas réellement penser « je suis deux », car c’est le même « je » qui pense ça. On dit « je change », « je vieilli », mais en sommes, c’est toujours le même « je » qui parle, et il n’a pas changé. Il subsiste à

compris les principes rationnels de la connaissance. Ex: Hume pense que toutes nos connaissances dérivent de l’exp. = habitude. Hume en vient à dire qu’il n’y a aucune certitude de rien = sceptique. *rationalisme: caractérise toutes doctrines qui attribuent à la raison humaine la capacité de connaître et d’établir la vérité, elle suppose que la raison n’a rien avoir avec l’expérience sensible. *hors, le démarche scientifique doit lier expérience et raison. B/ Le criticisme de Kant. *questions métaphysiques

que mon esprit soit plus souvent dans l'erreur que dans le vrai. La conscience de soi n’est pas la connaissance de soi : « je est un autre » (Rimbaud) Les difficultés de la connaissance de soi Texte de Hume : je n’ai aucune expérience de moi (texte 2 page 42) Pour Hume, en dehors des sensations immédiatement présentes, le reste de nos déductions n’est que probables. Les actions automatiques sont les réflexes, les instincts, ce que l’on a acquis à force de répétitions. Ces actions

de tel sorte qu’ils exercent l’un sur l’autre une action réciproque réelle. Le parallélisme (Leibniz) considère également que l’esprit et le corps sont deux réalités distinctes. Par contre Leibniz soutient qu’il n’y a entre eux aucune relation d’interaction et de causalité, mais uniquement un lien de correspondance : à chaque état psychique correspond un état organique, sans que l’un soit la cause de l’autre. Le monisme (Spinoza, James, Mach) considère que l’esprit

La conscience est la connaissance que l'homme a de ses pensées, de ses sentiments ou de ses actes, en rapport avec son entourage. Quand on dit "Il reprit conscience après son accident" ou "J’ai eu conscience qu’il pleuvait", aucune évaluation d’ordre moral n’est concernée, il est simplement dit que la conscience était en état de fonctionner. Aussitôt qu’elle le fait, que nous le voulions ou pas, elle se retourne continuellement sur nous-mêmes en vue d’un jugement sans appel "Ai-je raison? Ai-je tort

homogénéité et de différences ( tout ce que vit un individu ne se ressemble pas). Dès lors si l’on peut parler du temps d’imaginer c’est au sens de ce temps vécu quand on imagine : le temps étant alors une modalité de la conscience , toutes les expériences temporelles sont possibles : le temps du joueur dans un monde virtuel, différent du temps réel qui s’écoule parallèlement, le temps de la lecture qui suspend le temps réel : si on est totalement « pris » par notre lecture on vivra au rythme de

qu’on ne se trompe pas ? Quand on évoque la connaissance scientifique par exemple, on parle de "certitudes" qui paraissent tout à fait fiables, suffisantes, notamment parce qu’elles reposent sur des preuves. Or, une fois que l’on a fait toutes les expériences et démonstrations possibles, on peut sans doute se permettre d’être certain. Sinon, que demander de plus ? Ainsi, le problème est de savoir si la certitude est un critère nécessaire et suffisant de la vérité : en existe-t-il d’autres ? Et sinon

moralement mais aussi parce que c’est mieux pour tout le monde et nous permettent de vivre en harmonie. Les gens, le plus souvent, ne réfléchissent pas à ce qui est bien lorsqu’ils respectent les lois, mas ils font ce qui est mieux pour eux. David Hume admet que la justice vient en convention entre les hommes, si on parle évidemment de convention du sens de l’intérêt commun, ressentit par tous les hommes. D’ailleurs, les gens respectent aussi la loi parce qu’ils souhaitent qu’autrui en fasse autant

pensée, l'empirisme, notamment soutenu par Locke ( 1632-1704 ) et Hume ( 1711-1776 ) qui affirme que nos connaissances ne proviendraient seulement du simple enregistrement passif de nos données sensibles. De même, Montaigne en son temps ( Essais ) puis Voltaire ( Micromégas ) et Maupassant ( Lettre d'un fou ) ont insisté sur le fait que nos connaissances ne reposent que sur nos sensations. Il suffirait alors de contracter des expériences personnelles et par les données ou impressions des sens qu'elles