Julia Kristeva

C'est un outil méthodologique au croisement de la critique des sources et d'une critique qui cherche à situer le texte dans un horizon culturel. Intertextualité= tout texte est fait d'autres textes. Cette notion est forgé par une critique : Julia Kristeva, à partir d'un autre critique : bakhtine. Livre fondateur: Séméiotiké. "Tout texte se construit comme une mosaïque de citations, tout texte est absorption et transformation d'un autre texte". Permet de s'attaquer à la figure de l'auteur. Pour

charge, un travail poursuivi sur soi-même en rapport avec d’autres consciences. 7 Aime l’autre qui en toi engendre l’esprit. 8 Vous m’avez beaucoup appris et ça m’a donné du plaisir. 9 1 Friedrich Hölderlin - 2 Elisabeth Caillet, inédit 2000 - 3 Julia Kristeva, Sens et non sens de la révolte, Fayard, 1996, pp. 22-23 - 4 Alain Jaubert, Palettes, Gallimard, L’infini, 1998, p. 12 - 5 Catherine Clément, La nuit et l’été, ministère de la Culture et de la Communication, 2002, p. 70 - 6 Michel Onfray, Le désir

mythes grecs dans le théâtre français contemporain », Bulletin de l’association Guillaume Budé, Juin 1952. pp. 62-80. Kane Sarah. Phaedra’s Love, 1996 ; L’Amour de Phèdre, traduction française de Séverine Maglois, Paris, L’Arche, 1996. Kristeva Julia, Pouvoirs de l'horreur: essai sur l'abjection. Paris: Seuil, 1980. Langridge Natasha, Stephenson Heidi, Rage and reason. Women playwrights on playwriting. London, Methuen, 1997. Larrington Carolyne (sous la dir. de). The Feminist Companion

pensée de Judith Butler vient boire à la source de ce qu'on appelle la French theory. Même si ce mouvement est avant tout une construction américaine, il s'inspire abondamment des travaux de Claude Lévi-Srauss, Michel Foucault, Jacques Lacan, Julia Kristeva et Monique Wittig. Bien qu'il se focalise sur les traditions sociologique et anthropologique anglo-américaines des études de genre, ce livre offre un melting-pot conceptuel et intellectuel qui permet à des auteurs de correspondre subtilement et

deux entités ? A priori non puisque cela a été refusé. L’UE : comment combiner unité et diversité ? Ce qui caractérise la société postmoderne est ce bricolage d’identité, on est composé de pièces différentes, ajoutées les unes aux autres. Julia Kristeva développe la thèse que la société échappe à tout déterminisme culturel absolu. Il y a la possibilité de choix culturel. Cela dit, il existe dans toutes les populations, ce qui s’accélère, une conscience unifiée, liée, des origines réelles ou

des études qui contiennent des analyses de personnages féminins dans certains ouvrages orientalisants du XVIIIe siècle, mais elles ne se concentrent pas sur la représentation fictive de la figure de la femme. C’est le cas de l’analyse exhaustive de Julia Douthwaite21, qui propose une vision féministe et anthropologique de la femme exotique en général. La recherche de Colette Juilliard22 passe en revue la production orientalisante du XVIIIe siècle pour esquisser le cadre de son analyse portant sur les

Filosof´a y Letrası o o ı o Universidad de Buenos Aires 25 (1999): 75–80. See Georges Bataille, Visions of Excess: Selected Writings, 1927–1939 (Minneapolis: University of Minnesota Press, 1985). On the topic of fascism and the abject, see also Julia Kristeva, Powers of Horror: An Essay on Abjection (New York: Columbia University Press, 1982). 25. Basically the argument that fascism was anti-religious, or anticlerical in nature simply fails to describe the fascist reality of the past. Fascism was characterized

Cayouette (1) L'examen des lois sociales, historiques et politiques. Références : Michèle Aumont, L'aventure Hommes-Femmes, Ed. Marne, Paris, 1993, 193p. Colette Gullaumin, Sexe, Race et pratique du pouvoir, Ed. Côtéfemmes, Paris, 1993, 239p. Julia Kristeva, Les nouvelles maladies de l'âme, Ed. Fayard, Paris, 1993, 351p. L'art des femmes a-t-il un pouvoir? Depuis les années 1970, tant au Québec, au Canada, aux États-unis, en France, l'art des femmes n'a jamais cherché de critères d'excellence

lieu, Grasset, 1985) L’intertextualité 1 – Définition - La notion d’intertextualité naît dans les années 1960, et se fonde sur une idée : on ne peut pas envisager un texte sans penser à ceux qui ont été écrits auparavant. C’est ainsi que Julia Kristeva, dans Sémiotikè̀ (Le Seuil, 1969), définit l’intertextualité comme une "permutation de textes" : "Dans l’espace d’un texte plusieurs énoncés pris à d’autres textes se croisent et se neutralisent". Ainsi, l’auteur construirait son texte en exploitant

indique œ que l'adolescent tente d'écarter pour vivre. IIse retrouve alors a la limite de ce qu'il peut accepter en tant qu'être. Chateaugué ne semble pas signifier la mort ; elle semble représenter la menace réelle, la vie contaminée par la mort. Julia Knsteva aborde, dans un essai & t suivante : Le cadavre (cadere,tomber), ce qui a irrémédiablement chuté, cloaque et mort, bouleverse plus violemment encore l'identité de celui qui s'y confronte comme un hasard fragile et fallacieux. [..-] Si l'ordure