Juste Milieu Aristote

question de la justice dans les échanges13. Ces pages, aussi obscures qu’extraordinairement suggestives, n’ont cessé de stimuler la pensée économique moderne, jusqu’à Marx, Menger et au-delà14. Toutefois, chaque interprétation qui cherche à lire Aristote en fonction des problématiques de la science économique moderne est contrainte d’expliciter le texte en introduisant des concepts qui en sont absents15. Le prototype de cette opération est précisément celle qu’a menée Albert le Grand, à Cologne,

« souverain bien » Aristote, Ethique à Nicomaque Aristote est formé par la pensée platonicienne, très vite il devient un disciple dissident, il a été le précepteur d’Alexandre le Grand. « Si nous posons que l’homme doit vivre un certain genre de vie, c'est-à-dire des actions accompagnées de raisons, c’est donc que le bien pour l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu et cette excellence ou cette perfection fait de lui un homme heureux » Aristote veut dire qu’il existe

colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui, de mutations en mutations, ont évolué vers des êtres plus complexes : les animaux (dont l’homme).L’évolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés à leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes. Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple plus de poils que ses congénères, aura plus de chance de survivre dans un environnement

fréquente les milieux littéraires, fait la connaissance de Proust et s'essaie à la poésie en composant une Ode à Marcel Proust. Définitions des termes : homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

est déjà parfois assez difficile que pour mettre notre plaisir en cage. De plus que l'ironie nous aura déjà sorti plusieurs fois de situations délicates, demandez à Voltaire. Il existe un juste milieu à énoncer. C'est lorsque nous parlons des clowns d'hôpitaux et des magiciens, que l'on retrouve le juste milieu à ce "Peut on rire de tout" de Desproges. Les partisans du rire tels que ceux-ci, donnent le plaisir, le divertissement, ils font rire mais ne rigolent pas du malheur des autres. Il font

la fin du Moyen Âge et de son influence sur la réflexion politique en Occident dans Aubonnet2 1991, CXLVI-CXCVI. Kentron, no 19, 1-2 – 2003 08 Lacore.fm Page 144 Mercredi, 16. septembre 2009 12:04 12 Statut et image du corps philosophes – Aristote aussi bien que Platon – pour des raisons très différentes, est lui aussi négatif. Chez les orateurs Isocrate présente, il est vrai, un exemple de cette métaphore mais l’image des citoyens constituant un corps n’apparaît ici que de façon indirecte

punir les trois personnes qui lui on fait du mal. Cette punition, qui est surtout une vengeance, semble pourtant plus légitime que la première punition, cette fois-ci légal, qu’il a connu. Ainsi, on en vient à se demander si la punition est forcément juste ? Si sont objectif est de faire en sorte que l’accusé change pour ne plus commettre de crime ou si elle cherche plutôt à protéger le reste de la société de lui en l’enfermant ? Ou bien, est ce que la punition cherche avant tout à venger la victime 

(Ricoeur, 1990). Ces dispositions sont les vertus (Aristote, 1972 ; MacIntyre, 1997). L'éthique est une réflexion qui vise à déterminer les règles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives à des situations déterminées. Pour cela l'éthique requiert de la part de l'individu la mise en œuvre des vertus, qui sont les dispositions individuelles à bien agir ou les principes d'action, grâce auxquels l'individu cherche à agir de façon juste et efficace. Les jugements d'évaluation sont dans le

de sa propre réalité. Il y a aussi, cependant, l'homme qui préfère rester dans l'ignorance , par crainte ou refus de la vérité. Pourtant la vérité reste un sujet dont tous les hommes se soucient, ils sont épris de la volonté et du désir de savoir. Aristote a dit que tous les hommes naissent et possèdent naturellement le désir du savoir, de la vérité. Peut-on donc vraiment ne pas vouloir rechercher la vérité et rester dans l'ignorance plutôt que de satisfaire sa curiosité et avoir la tranquillité d'esprit

Xénophon le pragmatique invente le terme « économie ». Il publie « L’Economique » et « Le revenu de l’attique ». D’un coté c’est la microéconomie, de l’autre la macroéconomie. Il parle de la terre qui permet de créer la richesse. Aristote le libéral est le disciple de Platon. Ses premiers écrits vont concerner Platon, ou il le critique. Pour lui le communisme est impraticable, il ne correspond pas à la nature humaine. Il défend l’idée que seule la propriété privée responsabilise