Justice Oreste

d’une autre France, Moi, dont la liberté n’allaita pas l’enfance, Rougissant et fier à la fois, Je ne pus retenir mes bravos à tes armes, Et j’applaudis des mains, en suivant de mes larmes L’innocent orphelin des rois ! Tu reposais dans ta justice Sur la foi des serments conquis, donnés, reçus ; Un jour brise dans un caprice Les nœuds par deux règnes tissus ! Tu t’élances bouillant de honte et de délire : Le lambeau mutilé du gage qu’on déchire Reste dans les dents du lion. On en appelle

chef des Huit, conseil du gouvernement de Florence chargé du pouvoir judiciaire. Il est particulièrement ironique qu’il accuse d’être dangereux l’esprit de L, à la fois assassin et retors et qu’il se pose comme défenseur de l’ordre et garant de la justice quand on constate qu’ à l’acte III cet organe est à la solde des desiderata d’Alexandre, philippe Strozzi ( 3, III p 130) «  Si le saint appareil des exécutions judiciaires devient la cuirasse des ruffians et des ivrognes et que la hache et le poignard

historique au Droit Plan : Leçon introductive : Les racines du droit en Europe : une question grecque. Section I. - La source littéraire du droit en Grèce § 1er. - L’apport de la poésie : Homère et Hésiode A – Thémis ou le droit B – Dikê ou la justice § 2. - L’apport de la tragédie : Eschyle et Sophocle A – La Polis comme accès à la Dikê B – La distinction entre Dikê et Nomos Section II. - La source politique du droit en Grèce § 1er. - Les institutions politiques athéniennes. A – Les quatre

animaux…) Ex : saisons (Persiphone, proserpine…) tremblement de terre (Poséidon) course du soleil (Hélios, Phaeton…) Récit qui donne des réponses aux différentes difficultés de la vie. Ex : Œdipe (inceste, parricide…) Oreste (justice, vengeance…) Des cultures très différentes (comme la Grèce et les pays nordiques) proposent parfois des mythes très ressemblants. Ex : Thor et Zeus 800 – 700 aCn : mythes pas écrit par Hésiode, Homère 570 aCn : Xénophane de Colophon

plusieurs ministères, membre de la commission de réforme du Code de Procédure Civile. Il préside l’association française de philosophie du droit. Selon F. Terré : « Ce mot ‘droit’ à plusieurs sens, souvent on confond ce mot avec la seule et pure justice. Il correspond à une nécessité inhérente à toute vie en société. » Il rappelle qu’il y a des système juridique dans lesquels la signification du mot droit est unique et sert à désigner des règles qui gouvernent la vie des hommes en société (comme

Chapitre 6 : Justice et droit Introduction La vie sociale ne semble pas aller sans une exigence forte et partagée de justice : les uns dénoncent le mal, le tort qu’ils ont subi et réclament la justice. Les autres dénoncent les inégalités sociales, économiques, politiques dont ils sont les victimes et réclament justice. Mais qu’est-ce que la justice ? La justice procède-t-elle d’un sentiment subjectif, personnel ? Mais cette conception subjective et donc relativiste de la justice ne risque-t-elle

plus abject pour protéger le corps entier. Mais qu’elle est le mal supportable et le mal punissable, encore une frontière à définir et encore plus de complexités à rajouter à une vie déjà trop compliqué. Ce n’est pas seulement une question de Justice, c’est aussi une question de société ou le religieux et le profane s’affrontent durement. Faisons alors le décompte des morts directes ou indirectes, combien de morts produits une société «anti-mort» et combien de mort produit une société qui promeut

l’engagement intellectuel p.8 2. Camus et Sartre : Modèles de l’engagement p.12 DEUXIEME PARTIE : Deux hommes de gauche au service du théâtre. 1. 2. p.25 Sartre et le Théâtre de Situation p.25 Camus : le Théâtre de l’absurde, de la justice et de l’antip.39 terrorisme 2 TROISIEME PARTIE : Le théâtre de Camus et Sartre : Une œuvre passé ? p.48 1. 2. Sartre et Camus : Un débat d’idées qui continuent ? Sartre et Camus : Un Théâtre actuel ? p.48 p.58 CONCLUSION

république aristocratique » Le roi : La fonction est non héréditaire, il est proposé par le sénat après consultation des dieux et élus par l’assemblée des 30 curies (les commis curiates). Le roi est le chef viager de la religion, de l’armée, de la justice et du sénat. A partir du VIème siècle, les insignes royaux sont ceux des dieux cet a dire la toge pourpre, la couronne d’or, le sceptre, la chaise curule et les faisceaux portée par 12 licteurs. Le sénat : conseil d’anciens composés des chefs ou

d’être tour à tour gouvernant et gouverné. Même le mot de Churchill sur la démocratie comme le pire des régime à l’exception des autres ne fait que refléter sa connaissance de l’œuvre d’Aristote qui ne dit pas autre chose dans la Politique. Quant à la justice, le fait de n’exécuter personne sans procès, « mèdéna akriton apokteinai », est un droit pour les citoyens de la cité athénienne. De la même manière, quand Démosthène définit la différence fondamentale entre Sparte et la démocratie athénienne, comme