Justice Protagoras

fondamentale entre la justice et le recours à la loi du plus fort : C’est que la loi de la nature ( du plus fort ) s’oppose à la loi établie par convention humaine (la justice : la loi instaurée par les humains ). Ainsi, que c’est toujours le plus fort qui commande et qui établit ces lois dans son propre intérêt, alors que le plus faible obéit par crainte de représailles. Par conséquent, il est normal que chacun agisse dans son intérêt personnel sans tenir compte d’autrui. La justice n’est que l’intérêt

Une société sans foi est-elle envisageable? Philosophie et rationalité 1ère session 29 octobre 2013 Une société sans foi est-elle envisageable? Toute communauté se démarque par ses différences, sa culture, son langage, sa justice et ses croyances pour ne nommer que ces éléments parmi une multitude de disparités. Pour quelques peuples de par le monde, la base de leur société reste fondée sur des mœurs religieuses établies depuis plusieurs siècles. Pour certains, l’application de ses pratiques

est un problme souvent soulev. Mythes Hsiode (VII-VIIIme sicle avant JC) Il fait se succder cinq races de mortels race dor, dargent, de bronze, des hros, puis de fer ( dcadence apparente. En ralit, les races font alterner la justice et la transgression de lhybris (or, hros justice argent, bronze plus proche de lhybris fer le choix nest pas encore fait, hsitation de lhumanit) Lgende de Promthe Eschyle (Vme) un des trois grands tragiques grecs. Auteur du Promthe personnage intermdiaire entre lhomme et

pouvaient révéler leur doctrine immorale à tous, mais la réservaient à leurs disciples qui payaient cher leurs leçons. Leurs textes « officiels » les présentent plutôt comme des ancêtres de l'humanisme (« l'homme est mesure de toute chose » soutenait Protagoras). C'est Platon qui les fait parler dans ses dialogues et révèle le fond de leur doctrine, mais certains universitaires estiment aujourd'hui que Platon les a injustement calomnié. C'est pourquoi il faut bien préciser que nous présentons la pensée

tous pour leurs différends privés … », « Il y a bien sur la liberté politique, la liberté de parole, aussi bien à l'Assemblée qu'au théâtre » ou encore « On peut comparer ces idées aux théories de Protagoras, disant que tous les hommes sont doués du sens de la justice, mais que ce sens de la justice peut être plus développé chez certains suite à leur éducation : il est donc bien équitable que les charges soient réparties, chacun selon ses possibilités.» - Dictature : La dictature est un régime

Il pense qu’il y a une dualité dans la manière de penser le monde : le « lieu intelligible » et le « lieu sensible », lieu = topos en grec. Platon ne s’exprime jamais en son nom. On distingue parmi ses oeuvres, les oeuvres de sa jeunesse : Ion, Protagoras, Gorgias, Ménon, L’Apologie de Scorate et Criton; et les oeuvre de sa maturité : Phédon, Le Banquet, La République, Phèdre, Le Sophiste, Les Lois… • Sujet du livre : Platon met en scène et fait parle Socrate lors d’un dialogue entretenu lors

Dans la vie quotidienne nous sommes confrontés à la diversité des opinions. nous pouvons la rencontrer En politique notamment avec les divers partis, qui se revendique d’opinions différents ou contraires. Protagoras disait « a chacun a vérité » L’opinion peut être influencé par l’expérience vécue de l’individu, ou d’une reflexion menée personellement. Ainsi, outre qu’en politique, les opinions sont relatives à chaque individu ; chacun possède ses propres opinion .Une opinion est un avis propre

"L'homme est la mesure de toute chose" reflète toute la pensée sophiste d'avant Platon et en particulier celle de Protagoras, auteur de l'ouvrage Aléthéia. Derrière cette phrase du célèbre sophiste, on comprend la dimension relativiste, l'idée que chacun, voit, juge le monde à sa manière, rejetant ainsi le concept de morale ou de raison universelle. Mis en relation avec la notion de Cité, cette vision apporte un questionnement fondamental. Plusieurs débats s'ouvrent ainsi à nous. L'opposition un/multiple

suivant : 1. L’apologie de Socrate, Criton, Phédon 2. Cratyle, Théétète, le sophiste le politique 3. Parménide, Philébe, le Banquet Phédre 4. Alcibiade, 2éme Alcibiade, Hipparque, les Rivaux 5. Théages, Charmide, Laches, Lysis 6. Euthidéme, Protagoras, Gorgias, Ménon 7. hippias majeur, Hippias mineur, lon, Ménéxéne 8. Clitophon, La république, Timée, Critias 9. Minos, Les Lois, Apinois, Lettres II. Résumé Le Ménon est probablement l'un des premiers dialogues de Platon, avec la conversation

(le commun) et de l'autre côté tout ce qui concerne les affaires de la maison (affaires privées : l'éducation des enfants, faire prospérer), la politique est plus importante que les affaires privées car cela concerne le grand les grands comme la justice. Les domaines de la maison est le moins important et on appelle cela l'économie. L'argent sert juste à s'impliquer en politique. L’économie sert pour l'esclavage. Le travail et la recherche d'argent est tellement inintéressante que on la laisse aux