Kant Insociable Sociabilité

fluo rose. Agathe a toujours eu une âme d’artiste. J’ai envie d’aller à Berlin. Manger un burger king, boire de la bière au soleil. Danser toute la nuit. Note de dissert : bonne problématique, bien voir tous les aspects en jeu. « Insociable sociabilité » chez Kant : les hommes par eux-mêmes ne veulent pas l’unité, ni le bien commun. Ils ont besoin les uns des autres et en même temps ne peuvent pas se supporter. (Ungeselige geselichkeit ?). Nous oblige à nous activer => domaine économique, trouver

Pascal à nuancer. Popper : une théorie est provisoirement vraie. Lévi-Strauss, Race et histoire Idée du hasard + remise en question du progrès continu, qui va toujours vers un plus ou un mieux + « sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme » Kant, Idée d’une histoire universelle selon le point de vue cosmopolitique (1784), p 294 Synthèse : On peut croire au progrès de l’humanité, même si l’on connaît la nature humaine, deux conditions : - séparer le fait de la croyance : il ne faut pas attendre

dès lors que nous vivons en société. II) Kant met en évidence la tendance contradictoire de l'homme qui cherche à la fois à s'associer à d'autres hommes pour être plus fort, mais aussi à s'isoler pour rechercher son propre intérêt. Cette dernière le pousse à résister à autrui pour s'imposer. Ces forces contradictoires le mènent peu à peu vers la culture. Cet antagonisme en l'homme se résume dans cette formule kantienne : " insociable sociabilité ". Que signifie-t-elle ? Elle signifie que l'homme

la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A. Le contrat et la justice 7 1. Les lois constituent un contrat implicite (Platon) 7 2. La théorie du contrat social (Rousseau) 8 3. Le contrat social : une fiction régulatrice (Kant) 8 4. L’Etat réalise la justice (Kant, Hegel) 9 B. La force et la domination 11 1. La guerre comme fiction (Hobbes) 11 2. La guerre comme réalité de l’Etat (Weber, Foucault) 11 3. La structure du droit 12 III. Le marxisme 13 A. La philosophie de Marx 13 1. Le

Et parce qu'elle est réfléchie et collective, elle est un phénomène politique. D'où la formule célèbre: « la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens ». Emmanuel Kant: vers un "droit de la guerre" Cependant cette approche réaliste est philosophiquement très critiquable, et c'est ce que montre Kant dans Pour la paix perpétuelle (1795), trad. Française, Le Livre de Poche, où le philosophe met en lumière la contradiction entre la raison qui planifie la guerre et l'idée même de la

l'expression libre de nos désirs, mais, dans le même temps nous en libère. Nous serions donc plus libre sans l'Etat mais d'une liberté qui serait l'autre nom de la tyrannie des désirs rivaux qui animent trop souvent la sociabilité humaine (Kant parle d'ailleurs, à ce sujet, d'"insociable sociabilité" de l'homme). Pourtant, tout ce que nous venons d'évoquer se fonde sur une conception très discutable de l'humanité. La croyance selon laquelle les désirs de l'homme sont nécessairement rivaux ou même que l'homme

effet, le philosophe Kant disait “ nous sommes cultivés au plus haut degré par l'art et la science. Nous sommes civilisés jusqu'à en être accablé, par la politesse et les bienséances sociales de toute sorte. Mais nous sommes encore loin de pouvoir nous tenir pour déjà moralisés”. Entre en jeu alors la notion de morale. Par définition, elle désigne l'ensemble des normes et des conduites propres à une société donnée. Quel être humain peut alors s'estimer comme un être moral?Kant veut nous montrer par

(1) (a) Rousseau affirme dans Du contrat social (Livre I, chap.8) que le passage de l’Etat de nature (hypothétique) à l’Etat civil « fit d’un animal stupide et borné, un être intelligent et un homme ». De même Kant par la métaphore de l’arbre et de la forêt soulignait les effets positifs de la vie en société obligeant chacun à s’élever, à se dépasser, à se redresser, à se réaliser en luttant contre sa paresse naturelle. L’homme aurait donc un besoin naturel

ensemble en harmonie par l’instauration de règles à respecter. 2) L’Homme, animal social ? : Aristote écrit que l’homme est un « animal politique ». Cela signifie que l’home est naturellement fait pour vivre dans la cité ; autrement dit sa sociabilité est naturelle : la société est un fait de nature. Ainsi Aristote voit dans certaines structures sociales ou institutions une organisation « naturelle » des relations humaines : le pouvoir de l’époux sur l’épouse, ou des parents sur les enfants par

à sa liberté, c'est renoncé à sa qualité d'Homme" (Rousseau). La formation de la société implique donc de trouver une solution autre que l'acceptation de la domination de certains individus sur d'autres sans quoi ce serait un "monde de fous" selon Kant. Rousseau dira alors que, "puisqu'aucun Homme n'a une autorité naturelle sur son semblable, restent les conventions pour bases de toute autorité légitime". C'est donc à partir de là que l'on va comprendre la nécessité de l'établissement d'une autorité