Kant Insociable Sociabilité

l'état juridique n'apporte que des améliorations. Mythe du bon sauvage. On vit dans un état d'instinct dans l'état de nature. Le passage à la vie en société va créer des problèmes qui n'existent pas dans l'harmonie naturelle de l'état sauvage. Kant (1724-1804) est professeur de philosophie. Son approche a pour originalité de prévoir 3 étapes. Pour lui, il y a d'abord un état de nature dans lequel tout est provisoire, il n'y a pas de garantie, pas de sécurité. Ensuite, il y a l'état social

et vers l’autonomie du jugement selon KANT. L’autonomie du jugement symbolise le courant des Lumières, qui lutte contre l’obscurantisme et le dogmatisme. Elle précédé l’autonomie de la volonté. Etre autonome dans son jugement: penser par soi même, ne pas dépendre d’un tiers pour penser. Dans le texte « Qu’est ce que les Lumières? » Kant écrit que c’est passer de l’Etat de minorité à l’état de majorité (être responsable de ses actes). Simplement grâce à Kant on voit que la philosophie morale rejoint

cherchait un critère immanent de reconnaissance de la valeur d'autrui. Un critère dégagé par Spinoza et développé par Kant, est celui de la raison (que Spinoza écrit Raison). Dans la raison, l'individu laisse s'effacer ses particularités, son moi, son altérité pour n'être que cette identité anonyme qu'est l'esprit rationnel. Mais pourquoi respecter l'être doué de raison? Kant rejette le critère d'utilité, toujours discutable. Il veut un critère indiscutable, c'est-à-dire tiré de la raison elle-même

pourrait rendre compte d'une manière ordonnée de l'infinie variété des actions. Car c'est le propre de la philosophie d'être un système (« La philosophie est le système de la connaissance rationnelle par concepts . »). Et, selon l'expression même de Kant dans la Critique de la raison pure , la raison s'assigne comme but « la systématicité de la connaissance, c'est à dire sa cohésion à partir d'un principe ». $2 Il n'est donc pas suffisant, pour tenter de comprendre ce cours absurde, de

assez simple o n pourrait dire que le problème pol que hobbes entrevoit ici : insociable sociabilité de l’homme (kant), on trouve cette expression dans idée d’une histoire universelle du pts de vue cosmopolitique , idée d’une histoire universelle d’un pts de vue cosmopolitique , quatrième proportion porte sur l'indissociable socialsibité -kant entrevoit qq chose d'intéressant et qui mérite le détour : insociable sociabilité, qq chose de paradoxal en nous on aurait besoin les uns des usn autres mais

son conjoint. Les bases mêmes de la société moderne sont à rechercher dans la religion monothéiste. I)Le sacré comme fondement de la vie sociale. 1)L’investissement du sacré dans l'organisation sociale humaine.Il n'y a pas d'instinct de l sociabilité. Opposition entre hérédité et héritage opposition entre naturelle et culturel « tradition externe » Marcel Gauche : « En dette de sens », tt ce que l'H. fait c'est par instinct. Il est en recherche de sens, de significations. Opposition avec

de toute compromission avec les ambiguïtés du réel, mais laisse le monde inchangé. Le politique « met les doigts dans les roues de l'histoire » (Max Weber) et s'il lui arrive de s'y salir, c'est souvent pour réaliser des fins ayant rapport à ce que Kant appelle notre vocation éthique : sortir de l'état de nature, instituer juridiquement le rapport de l'homme avec l'homme, bref dépasser la violence et incarner le droit. Hegel reprend pour disqualifier la belle âme, la formule de Montaigne, utilisée

approches permettent de saisir l’idée d’un développement culturel de l’homme au cours de l’histoire. Dans une perspective politique, on peut montrer comment la vie en société, par ses contraintes propres, éduque l’homme. Cette approche peut être optimiste (Kant, Hegel) ou plus prudente, voire pessimiste (Rousseau). Dans une perspective psychanalytique, Freud a essayé de montrer que la culture est fondée sur le renoncement pulsionnel qu’elle impose aux individus. A. La culture comme éducation de l’homme par

en sorte qu’il n’y a pas moins de répugnance de concevoir un Dieu (c’est-à-dire un être souverainement parfait) auquel manque l’existence (c’est-à-dire auquel manque quelque perfection), que de concevoir une montagne qui n’ait point de vallée. » Kant – Critique de la Raison Pure – Méthodologie Transcendantale, chapitre 2 « Tenir quelque chose pour vrai [la croyance] est un fait de notre entendement qui peut reposer sur des principes objectifs, mais qui suppose aussi des causes subjectives

détourner le cour d’un fleuve » : cela illustre les individus qui ont eu le courage d’agir. Ce mouvement individuel associatif, politique va alimenter une double critique, proprement philosophique et va s’en alimenter : - l’oubli du mal, de ce que Kant nomme « le mal radical » : Veut dire que le marxisme et le léninisme ect.., s’est convaincu de la réalité d’un mal exclusivement social, attaché au rôle économique et social des individus. Autrement dit l’idée est que le mal est une idée extérieur