Kant Juge Intérieur

déterminisme est nier la liberté car pour Leibniz et pour Descartes, la liberté c’est se pouvoir de s’abstraire de tout déterminisme (externe ou interne). Mais est ce qu’on peut se déterminer à soi même sans aucune influence ? Au contrario pour Kant, c’est possible de concilier liberté et déterminisme. Parce que pour lui, toute action a deux interprétations, une lecture déterministe et une lecture morale. Un crime par exemple, l’interprétation déterministe chercherait les motifs (ou mobiles),

de ma déception en faisant un retour sur moi-même et en analysant mes propres réactions. La conscience dite psychologique se prolonge en conscience morale quand le sujet juge de la valeur morale de ses propres intentions ou actes. Pour ROUSSEAU, c’est par la conscience morale, «  principe inné de justice et de vertu », « juge infaillible du bien et du mal » que l’homme peut s’élever au dessus des bêtes et se rendre « semblable à Dieu ». II/ La conscience de soi (réflexive) Elle est exprimée dans

Leçon 55.   Les fondements du devoir           Devant les difficultés à trouver un critère sûr du bien et du mal, notre tentation la plus commune, est de nous replier sur notre sentiment intérieur du bien ou du mal. Ce qui revient à dire : "je fais ce que je sens être un bien », « je ne fais pas ce que je sens être un mal ». Ce sentiment du bien et du mal doit me rendre indépendant et m’émanciper à l’égard de toute autorité extérieure.     Seulement, comment savoir si ma conscience est suffisamment

Toute autre croyance apparaît illégitime. Croyance exclusive croyance inclusive (inclure l’ens. de l’humanité.) I – La découverte de la subjectivité Le Salut : fait d’être sauvé de l’état de péché, félicité éternelle. Il dépend de l’attitude intérieur envers Dieu, non plus d’une appartenance ethnique. Ce qui accompagne l’idée du monothéisme est l’idée que l’éternité est censée être une réalité éternelle. La foi est un principe subjectif. Conversion : retournement complet d’attitude (comme Saint

juridiques et morales très concrètes : peut-on considérer les gens comme un troupeau ? Un criminel a-t-il encore des droits ? Comment doit-on se comporter envers un ennemi ? Entre autres. Le respect est d’abord un devoir moral. Il consiste, selon Kant, à reconnaître dans l’homme une personne, c’est-à-dire à le traiter comme « un être entièrement différent, par le rang et la dignité, des choses ». Une personne est un être qui possède sa fin en lui-même, puisque, étant conscient et libre, il peut

l'art, dans le but de se sentir exister. En effet, notre monde et nous-même sommes les sujets principaux des créations artistiques. Par exemple, dans l'Antiquité, on prenait l'habitude de faire des représentations picturales (mosaïques) dans les intérieurs; on pourrait interpréter cela comme un moyen utilisé par l'Homme pour se sentir exister. Mais il est bien évident que cela est mauvais pour notre conscience d'existence, et nous nous chargeons de briser cette illusion car elle crée une grande confusion

on peut distinguer deux éléments : d’une part l’intention, le mobile qui a inspiré la forme de l’action, d’autre part les conséquences heureuses ou malheureuses, bienfaisantes ou néfastes, c’est-à-dire la matière de l’action. Pour la conscience qui juge de la valeur morale d’une action, ces deux éléments sont-ils d’une importance égale, situés sur le même plan, ou bien l’un l’emporte-t-il sur l’autre ? Dans les « sociétés primitives », quand un délit a été commis, on ses préoccupe seulement de l’étendue

de la multiplicité humaine des formes éthique des forme de vie e d’une forme éclairé de libéralisme : je conquière la liberté, elle l’a reprend a Kant. Etre autonome est différent que d’être indépendant. Hannah arrendt dit que par la création de nos propre idées nous parvenons a nos propre idées et être libre Lorsque je juge bien j’accomplie une part Kant dans la « mentalité élargie » le fonctionnement rationnel de l’esprit humain est porteur de l’enjeu moraux. Il dit que penser est différent de calculer

nature, cela veut dire que l’art est une transcendance de la nature. L’art permet à l’homme de transcender la nature. L’art permet de mieux comprendre les autres êtres humains et leur « monde intérieur », selon Junger, philosophe de l’herméneutique, la rencontre d’une œuvre d’art entre le monde intérieur d’une personne, qui renferme son imagination, et le monde extérieur, monde réel commun à tous, permet à ces deux mondes de s’élever. L’art permet de mieux connaitre la nature et de la rendre plus

censurer. Tels est l’idée proposée par Kant dans son ouvrage « critique de la raison pure ». Ainsi un choix qui impliquerait une décision raisonnée, ne doit pas se fier aux désirs personnels, car la bonté suggérait quelque part de faire preuve d’une sorte d’altruisme. La subjectivité est donc rayée de la notion de l’action morale, laissant place à une objectivité, qui ne laisserait le penchant égoïste de l’Homme être maitre de ses décisions. Ainsi concernant Kant, celui-ci va parler dans son ouvrage