Kant La Fin Justifie Les Moyens

1 Immanuel Kant : « Qu’est-ce que les lumières ? » Kant : 1724 - 1804 1781 : Critique de la Raison pure 1784 : Réponse à la question : « Qu’est-ce que les Lumières ? » 1778 : Critique de la Raison pratique 1790 : Critique de la faculté de juger Introduction • Le contexte Politique : une situation assez favorable au développement des idées nouvelles ; Frédéric II : Roi de Prusse de 1740 à 1786 ; un prince « éclairé » ; il défend les intellectuels ( ≠ de l’obscurantisme antérieur)

absolue serait une justice pure, sans compromission. L’absolu signifie donc pour une réalité ou pour un idéal sa réalisation complète, son achèvement parfait. La question est alors de savoir si l’absolu renvoie à une simple existence de la raison (Kant) sans pouvoir jamais rencontrer une réalisation concrète (la justice absolue n’est qu’une valeur vers laquelle il faut tendre mais qui ne désignera jamais qu’un idéal), ou si l’histoire des hommes ne constitue pas la réalisation progressive de cet

Il convient de commencer par établir l'existence de "fonctions" dans l'Etat. Le terme de "fonctions" renvoie au vocabulaire de la biologie. La fonction est la fin de l'organe, ce "pour quoi" il travaille. Or, cette analogie paraît convenir dans le cas de l'Etat : l'Etat est un système complexe de fonctions, hiérarchisées entre elles. Kant, dans la Critique de la Faculté de Juger, privilégie d'ailleurs cette analogie. L'Etat conforme à son essence est analogue à un corps vivant, l'Etat despotique

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

sceptique de Pyrrhon d’Elée en montrant que l’esprit humain ne peut atteindre avec certitude aucune vérité. Il faut donc suspendre tout jugement. En effet, s’il est au départ un moyen en vue d’une fin c'est-à-dire la recherche honorable d’une vérité une et indivisible, il devient rapidement une fin en soi. Pour justifier que la vérité ne peut être atteinte, les sceptiques énoncent des tropes, arguments, qui apportent la preuve matérielle de la suspension du jugement telle que la contradiction des

milieu.  Partisan des régimes modérés et tempérés, où la classe moyenne joue un rôle important. Il craint les gouvernements dirigés par des personnes très riches ou très pauvres pour leur « excès ». Chapitre 2 : Qu’est-ce que la philosophie ? Jeu de la vie et de la théorie. La philo doit dire ce qu’elle est = justifier son existence. Cette justification doit vaincre 4 obstacles : 1° On ne se pose pas la question  on a l'habitude.

centre du monde) découverte par Copernic quelques décennies plus tôt (en 1543). Galilée a dû se rétracter, de peur de subir le même sort que Bruno. Il a finalement été réhabilité par l'Eglise... en 1992 ! Mais ces conflits ne sont pas limités au Moyen Age : aujourd'hui des luttes intenses ont lieu, par exemple aux Etats-Unis entre créationnistes (qui pensent que Dieu a créé le monde et l'homme) et évolutionnistes (qui pensent que l'homme est le fruit d'une évolution naturelle et qu'il descend du

Francis Fukuyama écrit en 1992, La fin de l’histoire et le dernier homme, livre très controversé pour ce qu’il implique. Pourtant, il n’est pas le premier à avoir imaginé une fin de l’histoire. Dans la première partie de son livre Fukuyama en vient à la conclusion fort simple, par une série d’observations des régimes au cours de l’histoire, que la fin de l’histoire est en fait la démocratie libérale. Les autres régimes ne peuvent survivre par manque de légitimité, tandis que les principes de la démocratie

défendent en faisant usage de tous les moyens dont ils disposent. .Peut il y avoir alors un devoir du conflit? A une autre échelle, la présence de conflit est-elle bénéfique dans une société Il est encore ici question de circonstances particulières .Mais on peut se questionner sur la notion de moyens, même en cas légitime les moyens utilisés peuvent être illégitime (ex peine de mort). Peut-on donc affirmer comme machiavel que la « fin justifie les moyens » La reconnaissance réelle se voudrait