Kant La Fin Justifie Les Moyens

dans lequel se trouvent les hommes, abstraction faite de tout pouvoir et de toute loi), les hommes sont gouvernés par le seul instinct de conservation ; ils sont égaux puisqu’ils ont les mêmes désirs, les mêmes droits sur toutes choses, les mêmes moyens d’y parvenir. Cette égalité naturelle se transforme naturellement en rivalité, de sorte que l’état de nature, c’est l’état de la « guerre de tous contre tous ». L’homme est ainsi « un loup pour l’homme ». C’est, en définitive, l’angoisse de la mort

liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 22 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 Quelques illustrations 26 Sujets de dissertation 27 Introduction La liberté… Quel joli

et détresse. (Il développe ainsi dans Le Banquet le mythe de la naissance d’Eros, l’Amour (qui est également le Désir) : « Etant le fils de Grands Moyens et de Misère, voici la condition que le sort lui a imposée : d’abord, il crie toujours misère, et il s’en faut pour qu’il soit tendre et beau… »). Le père d’Amour serait donc Expédient, « Grands Moyens », et sa mère serait Pénia (la Pauvreté). Toutefois, Platon estime que l’Amour ou le Désir, en tant qu’il nait du manque, oriente l’être humain vers

science naturelle. A. Kant : Une géographie scientifique Document 1 : André-Louis Sanguin, professeur de géographie notamment à Paris IV jusqu’en 2008, rappelle le rôle fondamental de Kant (1724-1804) philosophe mais aussi géographe dans la mise en œuvre d’une « géographie scientifique moderne ». Kant a affirmé la place de la géographie, distincte pour lui de l’histoire et de l’anthropologie en affirmant son objet d’étude : l’étude des phénomènes naturels. Kant a par ailleurs enseigné cette

un moi singulier (le sujet s’affirme en s’opposant à tout ce qui n’est pas lui-même). 2 Situation et conséquences du cogito cartésien La pensée présente à elle-même Pour échapper à l’erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute « hyperbolique ». Il met fin à ce dernier en découvrant la première vérité indubitable : le « je pense donc je suis ». L’existence humaine est ainsi capable de se saisir dans la conscience qui accompagne chacune de ses pensées (vraies ou fausses, peu importe). Le sujet est dès

Dans le 1er cas, l'œuvre d'art est l'objet d'une création, et elle a pour but le plaisir esthétique, i.e qu'elle n'a aucun but pratique ; l'objet technique ( l'outil) est l'objet d'un production et il a une fonction pratique : il est subordonné à une fin extérieure à lui. Dans le 2ème cas, l'art produit un effet esthétique i.e qu'il s'adresse aux sens et à l'imagination; la science et la philosophie chacune à sa manière, visent en principe la connaissance et s 'adressent à la raison. Dans le 3ème

était légal. Il est parfois juste de répondre à la violence établie par la violence révolutionnaire. S’opposer à certaines lois devient un devoir. Le droit juste est toujours un droit courageux et respectueux de la personne humaine. La fin ne justifie pas les moyens. Les droits de la conscience sont absolus. Aucun ordre juste et durable ne peut être imposé par la violence. Transition : Peut-on être libre en respectant les lois ? Est-on vraiment libre si l’on vit dans une société sans lois ? Comment

–nous pas surtout assurés de ne pas sortir de nos représentations , si cohérentes soient-elles ? Qu’est-ce qui nous garantit qu’en pensant le vrai on atteint le réel ? La découverte d’un tel critère ne nous imposerait-elle pas une régression sans fin ? Qu ‘est-ce qui nous garantirait que ce critère serait le bon et qu’il n’aurait pas besoin à son tour d’être assuré , « vérifié » ? Ne serait-il pas plus juste d’admettre qu’indépendamment, du travail réflexif des hommes nous avons une intuition de

la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A. Le contrat et la justice 7 1. Les lois constituent un contrat implicite (Platon) 7 2. La théorie du contrat social (Rousseau) 8 3. Le contrat social : une fiction régulatrice (Kant) 8 4. L’Etat réalise la justice (Kant, Hegel) 9 B. La force et la domination 11 1. La guerre comme fiction (Hobbes) 11 2. La guerre comme réalité de l’Etat (Weber, Foucault) 11 3. La structure du droit 12 III. Le marxisme 13 A. La philosophie de Marx 13 1. Le

certain niveau social, telles que la vertu de justice, dans certaines de ses acceptions, ou celle de libéralité[6]. Mais plus profondément, Aristote réfléchit en éthique en tentant de déterminer la fin que poursuivent les hommes, puis d’y ajuster les moyens qui permettent de l’atteindre. Cette fin générale de l’action humaine, c’est le bonheur, accessible et durable[7]. La vie morale devra donc proposer une forme du bonheur préférable aux autres, mais ne s’opposera pas au bonheur en tant que tel;