Kant Le Penchant Au Plaisir

est désirable en soi et qui lui fait ressentir du plaisir et donc de l’amour pour son obligé, dans lequel sa noble action est insérée. En ce qui concerne au contraire l’obligé qui joue le rôle passif, il ne sent dans sa relation avec l’auteur du bienfait et avec le bienfait reçu, rien de noble en soi ; il y sent tout au plus qu’un rapport d’utilité. En outre, pour Aristote toujours, le plus grand plaisir est attaché à l’action présente, le plaisir accompagnant toujours la perfection de l’acte, et

Kant est l'auteur de Réflexions sur l'éducation, il est un philosophe allemand du 18ème siècle. Pour lui l'éducation comporte deux aspects : la discipline et l'instruction. La discipline est la partie négative de l'éducation, elle habitue l'enfant à supporter la contrainte des lois et l'instruction est la partie positive de l'éducation, elle est l'action de former et d'enrichir l'esprit par la transmission du savoir et l'étude. Nous allons voir en quoi le travail est un écho de l'éducation. Pour

La Moralité selon Kant I. Les paradoxes de la moralité Selon Kant la moral est une intuition évidente qui s’impose à chacun, aujourd’hui une évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique

Explication du texte de Kant extrait des « fondements de la métaphysique des mœurs. IntroductionAmorceThèse et thèmeProblèmePlan du texteDéveloppementPremière partieAnalyse de la notion de devoirExempleQu’est-ce qu’un devoir indirectMise en perspective de la thèse avec une thèse opposéeTransitionReformulation du problèmeRéférence qui permet d’approfondir la questionLa notion de plaisirRéférence à un autre texte de KantAnalyse de l’exempledernière partie ( analysée plus rapidement car elle

moyen de se purifier du mal. Aristote retient dans la tragédie l’idée de purification morale au travers de la catharsis. Ce n’est pas le spectateur qui est épuré mais les troubles que la pitié et la terreur font naître en nous en les transformant en plaisir. Sachant que ce sont la pitié et la terreur qui font naître le mal en nous, on comprend alors, que selon Aristote, la tragédie est à elle seule le poison et le remède au mal dans la mesure où elle suggère le mal ainsi que la manière de la dominer

s'accordent sur ce point : seule une vie juste et droite peut nous faire accéder au bonheur véritable, c'est-à-dire durable. Pour les épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs amènent plus de troubles que de réjouissances : il faudra les écarter, et se contenter des désirs naturels et nécessaires, parce qu'ils sont source de plaisir et faciles à satisfaire. Pour les stoïciens, le bonheur ne saurait être durable s'il dépend des circonstances extérieures : je dois discipliner ma

s'accordent sur ce point : seule une vie juste et droite peut nous faire accéder au bonheur véritable, c'est-à-dire durable. Pour les Épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs amènent plus de troubles que de réjouissances : il faudra les écarter, et se contenter des désirs naturels et nécessaires, parce qu'ils sont source de plaisir et faciles à satisfaire. Pour les Stoïciens, le bonheur ne saurait être durable s'il dépend des circonstances extérieures : je dois discipliner ma

FINO Devoir Maison de Philosophie. TES Maï-Lan Le texte étudié est un extrait d'une des trois Critiques rédigées par Emmanuel Kant. Il s'agit ici de « l'Analytique du beau », extrait de la Critique de la faculté de juger. Kant est un philosophe allemand mondialement reconnu, contemporain du XVIII ème siècle. Le thème de ce texte est la différence entre l'agréable et le beau. La thèse quand à elle avance que l'agréable est un sentiment personnel, et dépend

s'accordent sur ce point : seule une vie juste et droite peut nous faire accéder au bonheur véritable, c'est-à-dire durable. • Pour les Épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs amènent plus de troubles que de réjouissances : il faudra les écarter, et se contenter des désirs naturels et nécessaires, parce qu'ils sont source de plaisir et faciles à satisfaire. • Pour les Stoïciens, le bonheur ne saurait être durable s'il dépend des circonstances extérieures : je dois discipliner

parfois bon ? Etre moral est-ce contrarier ou suivre sa nature ? Le texte défend la thèse selon laquelle la moralité repose sur la raison. L’acte moral n’est pas spontanéité animale, mais volonté déterminée par la loi ou encore conformité au devoir. Kant oppose donc la sphère de la moralité à celle de la nature. La difficulté consiste à se prononcer sur ce qui fait l’humanité de l’homme, sur ses caractéristiques et sa destination. On peut distinguer trois grands moments dans la réflexion :