Kant Le Rire

d’étudier Dieu n’est pas en train de trahir la promesse d’une science universelle? Le discours n’a pas basculer d’une science universel vers une science ultra-particulariste. En effet, Aristote a alors un coup de génie qui marque la philosophie jusqu’à Kant: il ne trahit pas a promesse parce que il fait une philosophie première qui touche un être éminent et cette philosophie est universel parce que première. Le tournant philosophie se produit dans ces termes = au lieu que je connaisse la généralité des

vérité en mathématique, ou à son opinion sur la formule du benzène ou du chloroforme ? Là où la réponse est affaire d'expérimentation et de raisonnement, il n'est plus de place pour l'appréciation personnelle. Il se trouve pourtant que ce qui prête à rire dans le domaine des sciences a été et est fort pratiquée dans le domaine de l'information politique. Censure, langue de bois, menaces et oppressions, tout est bon à qui veut travestir la vérité. C'est ainsi qu'au nom de calculs politiques douteux,

disposerait d'un libre arbitre, ils le mettent en accusation. Selon leurs vues il appartient à l'homme d'être un commencement absolu dans l'ordre des choses, une condition inconditionnée. C'est cette philosophie, en vérité très soumise à la théologie, que Kant tente de rendre cohérente dans la Critique de la raison pratique. Tout en reconnaissant la validité du principe du déterminisme, il prétend le cantonner au niveau des apparences phénoménales et maintenir au niveau des choses en soi le libre arbitre

en premier lieu le corps objet de la connaissance scientifique, mais le corps vécu : notre conception de l'être est une abstraction de notre rythme physiologique. Toute connaissance, comme Kant l'avait déjà établi avant Nietzsche, doit prendre pour point de départ la sensibilité. Mais, au contraire de Kant, Nietzsche tient, comme Arthur Schopenhauer, que les formes de notre appréhension de l'existence relèvent en premier lieu de notre organisation physiologique (et de ses fonctions : nutrition

peuples par les auteurs. Les romanciers et conteurs seraient alors les « professeurs des peuples » car mettant devant eux la transfiguration du réel en sorte qu'ils voient, pour les bons lecteurs en tout cas, les idées et enjeux de l'œuvre. Or « rire est le propre de l'homme » dit Rabelais. Il faut donc tenter de faire passer des idées par le biais de la comédie ou de l'ironie mais aussi par toutes sortes de récit puisque le but est d'instruire en divertissant. Ainsi, en tant que procédé étendu

opposée aux espérances les plus douces et les plus flatteuses dont il pourrait se bercer." (Denis Diderot / 1713-1784 / rapporté dans "Mémoires pour servir à l'histoire de la philosophie au XVIIIe siècle, de Jean Philibert Damiron) "Il faut à la fois rire, vivre en philosophe, diriger sa propre maison, et encore nous servir de tout ce qui nous est propre, et ne jamais cesser de prononcer les formules issues de la droite philosophie." (Épicure / 341-270 avant JC / Sentences vaticanes) "Les théologiens

sont des conditions subjectives ..... 59 Le temps est la forme de tous les phénomènes .............. 60 Texte 12 : E. KANT (1724-1804) .................................... 61 Pour mieux comprendre le texte ......................... 63 Texte 13 : E. KANT (1724-1804) .................................... 64 Pour mieux comprendre le texte ......................... 66 3 Texte 14 : E. KANT (1724-1804) .................................... 67 Pour mieux comprendre le texte ......................... 69

|10. a) Qu’est-ce qu’Eichmann | |Questions |2. a) D’après cet |recommandation le |blanche » qui signe ce |selon ce texte : un synonyme de |appelle le « serment de | |d’analyse |article, de quoi un |philosophe Kant donne-t-il|tract ? |« point final », de « valeur » ou|loyauté » ? | | |enfant a-t-il besoin pour|à propos de l’éducation ? |6. Que demande ce tract|de « conséquence »  ? |b) De quoi se justifie-t-il 

à cet ordre symbolique en inventant de nouvelles règles ou bien en composant avec celles déjà existantes, en jouant avec elles. Exemple : les musiciens ont non seulement toujours su jouer avec des règles existantes (Beethoven et Bach), ou du jazz. Kant définit le génie « comme le don ou le talent de donner de nouvelles règles à l’art ». (Invention du clair/obscur par De Vinci) Une règle n’entrave pas la liberté mais l’inspire : sans le solfège le musicien ne pourrait pas progresser dans son art,

expériences. Or, lorsque nous faisons face à une œuvre d’art, nous sommes confrontés à un objet qui a déjà été délivré de l’usage par l’artiste, afin de susciter une émotion esthétique chez le spectateur. Quelle est la nature de cette émotion ? Kant distingue trois types de satisfaction parmi ce qui peut procurer un plaisir : l'agréable, le bon et le beau. Ces trois choses ont en commun de nous procurer des satisfactions et c'est pourquoi il est courant de les confondre. Mais ce n'est pas parce