Kant Le Rire

Candide de Voltaire………………………………………………….…06 Texte 2 : Lettre XXIV, Lettres Persane de Montesquieu……………………….….. 07 Texte 3 : Prière à Dieu, Traité sur la tolérance de Voltaire………………………..08 Texte 4 : « Qu’est-ce que les Lumières » d’Emmanuel Kant…………………….09 Séquence 2 Objet d’étude : Théâtre. Texte 1 : Scène I, L’ile des esclaves de Marivaux ……………………………………. 12 Texte 2 : Scène II, L’ile des esclaves de Marivaux…………………………………... 14 Texte 3 : Scène III, L’ile des esclaves de Marivaux…………………………………

Lecture du Rire d’Henri Bergson, chapitre III Lecture du Rire d’Henri Bergson, chapitre I.1, I.2 et chapitre III Notions du programme en jeu : la société, la liberté, la raison et le réel, la matière et l’esprit, la vérité, l’art, le langage, le vivant, le désir Chapitre I – Du comique en général. Le comique des formes et le comique des mouvements. I.a) §1 - Position du problème et enjeux . Qu’est-ce que le rire ? Un mouvement spontané et incontrôlé du corps manifestant une sorte de

• Synthèse précaire entre la raison et la foi de Saint Thomas d’Aquin : élévation via la raison et révélation via la foi. • Nom de la Rose, d’Umberto Eco : redécouverte de la Poétique d’Aristote consacrée à la comédie. Le danger : rire de tout même de Dieu or rire c’est prendre une distance libératrice envers tous les préjugés y compris des traditions ancrées dans une histoire sacralisée. Le pouvoir fondé sur la tradition est l’autorité de l’éternel hier (Weber), il crée un monde enchanté. La

pût parler de toute chose, par tout le monde et en toute langue." Joachim du Bellay (1522-1560) "Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition." Michel de Montaigne (1533-1592) "Mieux est de ris que de larmes écrire, Pour ce que rire est le propre de l’homme." François Rabelais (1494-1553) "C’est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant que l’homme." Michel de Montaigne (1533-1592) "Que rien ne te soit inconnu." François Rabelais (1494-1553) "Ce qui distingue

» : (opposé à Kant et Descartes) L’homme s’invente des raisons de vivre alors qu’il n’en a pas besoin car l’instinct de survie le guide. Paradoxe : l’homme veut faire en sorte que cela arrive par sa volonté, car il s’en ai fait un but dans la vie. Il va jusqu'à inventer une seconde vie qui justifie la première. (Ex : adultes âgés (1e vie) disent faire des enfants par amour (2e vie). La vie humaine passe de la tragédie à la comédie, un cycle infini. Une double tendance : le rire et le sérieux

convergence entre la philosophie et le droit. John Austin « philosophie of positiv law » en 1832. Livre qui pense le droit sans s’arrêter sur la justice. Remarque : Cette apparition d’une vraie philosophie du droit appliquée est nouvelle. Kant a conceptualisé à la fin du 18ème siècle cette distinction absolue entre le droit positif et l’idée de justice. « Principe métaphysique de la doctrine du droit ». Il fait une distinction, contre laquelle réagira Hegel, en considérant que le droit

(ou de castes) héréditaires, introduisant ainsi les valeurs de liberté et d’égalité qu’affirmera la République à la fin du siècle.  De manière générale, c’est le triomphe de la raison sur la foi et de la bourgeoisie sur les nobles.  Emmanuel Kant donne des Lumières la définition suivante :  « Les Lumières c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle (surveillance) est l’incapacité de se servir de son entendement (raison) sans

ensemble de principes éthiques premiers et généraux. Un petit nombre de normes qui ont pour principaux destinataires des législateurs. Ceux-ci promulguent la loi. Les sujets sont tenus d’y obéir, même si les lois leur paraissent injustes. Pour Kant, le droit naturel fournit les préceptes de la droite raison que le droit positif doit appliquer. Le droit naturel est péremptoire, prescriptif. Le droit positif l’applique et au besoin punit : le droit positif est provisoire. Nous y reviendrons plus

ce titre, il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale philosophique et religieuse, même si certaines formes de mensonges sont légitimées par quelques philosophes – comme Benjamin Constant, dans son célèbre débat avec Emmanuel Kant sur le « droit de mentir ». Ainsi, certains mensonges sont punis par la loi, comme l'usage de faux, le non-respect des contrats dans le commerce, ou la fausse déclaration en justice L'opposition vérité et mensonge est courante. La vérité étant une

vrai. C’était le passage de l’un à l’autre qui était difficile à expliquer au sein d’un même ordre de discours, le seul possible, où il n’y a que le répondre qui soit dicible. D’où la démarche d’un Kant, par exemple, qui dissociait le discours objectif du subjectif, déjà objectif mais pas tout à fait. Kant a fait de la subjectivité quelque chose qui permettait objectivement (c’est ce qu’il appelle la subjectivité transcendantale) d’accéder à l’objet, objectivement, c’est-à-dire a priori et universellement