Kant Le Rire

masculin et pouvoir féminin XX Parures XXI Vénus marine XXII Piété filiale XXIII Charité XXIV Sentiments réels XXV Les âges et les passions XXVI Le ventre XXVII Sursauts XXVIII Colère XXIX La colère et le besoin XXX Le prince-trop-fort XXXI Le rire XXXII Le bègue XXXIII Le bègue et le sourd XXXIV Grandet XXXV Profondeurs vides XXXVI La sibylle XXXVII L'homme sans tête XXXVIII La tête sans l'homme XXXIX Âme et corps XL Adam XLI L'humeur XLII Les méchants XLIII Amour et haine XLIV

en premier lieu le corps objet de la connaissance scientifique, mais le corps vécu : notre conception de l'être est une abstraction de notre rythme physiologique. Toute connaissance, comme Kant l'avait déjà établi avant Nietzsche, doit prendre pour point de départ la sensibilité. Mais, au contraire de Kant, Nietzsche tient, comme Arthur Schopenhauer, que les formes de notre appréhension de l'existence relèvent en premier lieu de notre organisation physiologique (et de ses fonctions : nutrition

Nietzsche en premier lieu le corps objet de la connaissance scientifique, mais le corps vécu : notre conception de l'être est une abstraction de notre rythme physiologique. Toute connaissance, comme Kant l'avait déjà établi avant Nietzsche, doit prendre pour point de départ la sensibilité. Mais, au contraire de Kant, Nietzsche tient, comme Arthur Schopenhauer, que les formes de notre appréhension de l'existence relèvent en premier lieu de notre organisation physiologique (et de ses fonctions : nutrition

s'intéressent à moi obligé de deviner la signification de mes comportements en formulant sur eux des hypothèses plus ou moins complexes. Ainsi peuvent-ils se méprendre sur mon attitude lorsque je ris jaune, alors que je sais d'un savoir immédiat ce que mon rire dissimule. La présence d'autrui ne semble donc pas pouvoir apporter quelque chose d'essentiel relativement a la conscience que j'ai de moi-même. Pourtant, en certaines circonstances, autrui parait plus clairvoyant que moi sur mon propre compte: chacun

autre source, plus positive que l'homme, c'est-à-dire de Dieu. 3) KANT et l’innaccesible noumène. Il remet en doute le système de Descartes qui ne fonctionne qu'avec des phénomènes. (et ça ne s’arrangera pas avec les philosophes qui suivent, avec lesquels les phénomènes deviennent centraux). Kant remet en question la réalité avec sa manière de procéder : distinction entre Noumène et Phénomènes. Selon Kant, on ne connaît que les phénomènes, on ne connaît pas/on ne peut pas

offerte par Descartes s’avère évidente. Tout au plus, si l’affaire a encore pu sembler discutable à certains contemporains de Descartes, la critique kantienne de l’argument ontologique paraît avoir tranché la question qui, à vrai dire, fait plutôt rire aujourd’hui. Dans la mesure où la « preuve » de Dieu constitue de toute évidence une étape cruciale de son argumentation, nous ne saurions nous étonner du fait que l’épistémologie cartésienne semble être un cas désespéré, même si l’action consistant

qui conduit à une vie plus heureuse, il est évident qu'il se doit d’accorder une importance à la joie. La morale, elle, n’a pas besoin d’en tenir compte, car ce qui lui importe, c’est que chacun se conduise en bonne sociabilité avec tous. Ainsi, pour Kant le devoir est fait d’obligations qui nous sont imposées, mais le seul fait de les suivre ne nous conduit pas à une vie heureuse. C’est toute la différence avec l’éthique de la Joie que l’on rencontre chez Spinoza.   1) Dans l’Éthique, la joie apparaît

son ordre dans l’univers conscience = grandeur place dans l’univers = sa misère (« l’homme est le plus faible de la nature ») => c’est par la conscience de notre misère que nous pouvons nous élever et progresser // pensée existentialiste & Kant le savoir de notre fragilité fait notre noblesse bien pensée repose sur une conscience de notre petitesse - critique de la raison pratique : dualité entre l’univers (ciel étoilé) / pensée de l’homme (loi morale) écriture à postériori du courant

qu’il y a d’amalgames douteux par cette conception de la science, en précisant de quelle science il s’agit par l’ajout d’un qualificatif douteux : sciences de la nature, sciences humaines… Revenons à des conceptions plus traditionnelles, comme Kant, qui distingue la connaissance rationnelle, et la connaissance historique. La connaissance rationnelle se fait à partir de principes : il y a des propositions dont la vérité est indéniable. À la fois leur contraire est impossible, et ils ne peuvent

elles-mêmes et ne rien prouver. Mais, en contrepartie de cette gratuité, le roman demeurait assez ambigu: comment fallait-il comprendre ce personnage, qui, au lendemain de la mort de sa mère, « prenait des bains, commençait une liaison irrégulière et allait rire devant un film comique », qui tuait un Arabe « à cause du soleil » et qui, la veille de son exécution capitale, affirmant qu'il « avait été heureux et qu'il l'était encore », souhaitait beaucoup de spectateurs autour de l'échafaud pour « l'accueillir