Kant Logique

vérité c’est la logique, càd l’art du discours rationnel. Fondateur de la logique c’est Aristote. (Eleve de Socrate par Platon). o Les sophistes vont dire que ce qui conduit à la vérité c’est la rhétorique, càd l’art du discours communicatif. Les grecs posent les problèmes de communication : différence entre communication et raison. Fondateur : Gorias.  Les philosophes ne nient pas la rhétorique, elle conduit au vraisemblable mais pas au vrai.  Les sophistes ne nient pas la logique mais disent

Άλήθεια, Alétheia, « Vérité »[1] sont demeurés constants pendant toute l'époque classique et associés au domaine de la logique, de la géométrie et des sciences déductives en général ; aussi bien Platon recourt à ces matières comme outil pédagogique pour illustrer sa théorie des Idées censées contenir toute vérité intelligible. Aristote, sur un registre très différent, développe la logique comme moyen d'investigation du discours, utile aussi dans l'investigation du réel en ce qu'il permet d'organiser les

conformité d'un jugement avec le réel, la vérité est avant tout un rapport authentique de l'homme avec le savoir et la recherche de celui-ci. L'exemple de la rhétorique montre qu'on peut utiliser la connaissance des passions humaines, ainsi que de la logique, à mauvais escient. Ainsi, il existe une éthique de la recherche scientifique, dans la mesure, d'abord, où la vérité n'existe que dans un rapport intérieur au savoir (Kierkeggard), mais surtout dans la mesure où l'usage de la vérité participe de cette

porte de sortie à cette ignorance ? Soit grâce à une multitude de questionnements permettant de répondre à une ignorance sachant que d’autres s’en suivent. Tout en prenant conscience de ses erreurs en se défaisant de ses illusions par raisonnement logique, n’est-ce pas une première forme de liberté ? Contrairement à l’ignorant profond qui lui ne va pas chercher à avoir la connaissance mais qui va suivre ses illusions pour le restant de sa vie car il ne prendra jamais conscience de cette ignorance.

l’illusion d’échapper à l’opinion avec un catalogue d’idées dont les parties se résument à « oui », « non », « peut-être » ou « ça dépend ».or un cheval bon marché est rare donc un cheval bon marché est cher. ». En fait cela ressemble à un raisonnement logique mais cela part d’un préjugé très discutable que « Ce qui est rare est cher ou se paie cher ». Il y a des choses rares qui n’ont pas de prix tel que savoir apprécier la beauté lorsqu’elle se présente. Ce type de raisonnement est un SOPHISME. Un sophisme

c'est-à-dire les normes précisant ce qui fait qu’un discours est vrai. Mais il y a plusieurs manières pour un énoncé d’être vrai, qui correspondent à plusieurs à plusieurs types de vérité. Premièrement la vérité logique consiste dans la cohérence interne d’un discours ou d’une théorie. La relation logique entre les énoncés est primordial, par exemple la démonstration d’une conclusion à partir de prémisses. Les philosophes, notamment ceux intéressés par la force des démonstrations mathématiques, ont valorisé

manière que les paragraphes ou phrases de transition, ainsi que les termes et locutions de liaison (« en effet », « par exemple », « mais », « cependant », « en dépit de ce que nous venons de voir », etc.), indiquent suffisamment clairement la suite logique et l’enchaînement de vos idées et de votre analyse ; il n’y a pas à craindre, en général, de faire trop lourd sur ce point. De même, nous avons ajouté au texte ci-dessous quelques explications en note, parce qu’il ne s’agit pas ici seulement de montrer

philosophie critique de Kant) ou qui constitue la négation permettant de dépasser la thèse (dans la pensée dialectique de Hegel et de Marx). 3. L'antithèse de : l'opposé de. apocope (du grec apokoptein, retrancher)  nom féminin PHONÉTIQUE Chute d'un ou de plusieurs phonèmes à la fin d'un mot (ex. : ciné pour cinéma apodictique (grec apodeiktikos, propre à convaincre)  adjectif PHILOSOPHIE Se dit d'un jugement ou d'une démonstration caractérisés par la nécessité logique et l'universalité (par

formelles et des sciences humaines, auxquelles elle est intimement liée par son histoire, la philosophie ne se donne pas un objet d'étude particulier et unique. On trouve toutefois au sein de la philosophie des domaines d'étude distincts, tels la logique, l’éthique, la métaphysique, la philosophie politique et la théorie de la connaissance. Au cours de l’histoire, d’autres disciplines se sont jointes à ces branches fondamentales de la philosophie, comme l’esthétique, la philosophie du droit, la philosophie

résultat, de le prouver. C’est par le pouvoir de la seule raison que le philosophe/ métaphysicien prétend dire comment est le monde. Alors que le scientifique, lui, a toujours recours à l'expérience. Ses preuves ne sont pas de style strictement logique ou mathématique, mais expérimentales. Usage de la mesure, d'instruments.   B- La philosophie comme métaphysique : historique (Aristote) Bilan des textes étudiés : La métaphysique est un style de discours qui prétend dire comment est le monde