Kant Logique

science est le lieu de vérité absolue. Conception dominante en vigueur jusqu’en 1960. 1.2. Quelles sont les limites de la conception inductiviste de la science a) Le point de vu logique Est-ce que l’induction, pensée comme le passage d’un ensemble d’énoncés particulier à la généralisation est une nécessité logique ? NON. C’est pas prcq on observe 500 fois un phénomène qu’à la 501ème fois on va l’observer aussi. Ds le processus inductif il y a une rupture de continuité. Quand fait ça, on

ne pas apparaître, du fait qu'elle est la conséquence logique de tout ce qui précède. Ainsi chaque point de la démonstration est justifié par les précédents. C'est ce qui fait son objectivité puisque ce n'est jamais moi – sujet – qui décide de ce qui adviendra : l'enchaînement se fait malgré moi. On comprend ici que on ne va pas se concentrer sur les propositions mêmes qui forment une démonstration, mais sur leur enchaînement logique. Peu importe au fond ce qui est dit, c'est la manière

: la troisième phrase sera logique et véridique. Par exemple : « Tous les hommes sont mortels. Socrate est un homme. Donc Socrate est mortel ». Mais ce procédé possède des limites. Elles sont poussées à l’extrême dans le livre Rhinocéros de Ionesco, lorsque le logicien, s’enfermant dans un mode de pensées avec un raisonnement si efficace, qu’il en oublie le rapport à la réalité : « Tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat.». La logique est un critère nécessaire pour

problème de la logique : ce que Leibniz nomme « résolution » renvoie aux liaisons logiques entre des connaissances données. Si on veut produire des vérités nouvelles, il faut obéir à une logique qui constitue la liaison entre les vérités connues et acquises. Quel est le statut des vérités mathématiques ? On affirme souvent qu’elles sont vraies car adéquates à la réalité concrète ; les sciences physiques le confirmeraient puisque les phénomènes naturels obéiraient eux-mêmes à une logique mathématique

questions de cette discipline selon Kant (1724-1804), un philosophe allemand né en Prusse. La première de ces questions, extraite de Logique (1800), est « Que puis-je savoir ? ». Il s'agit d'une question épistémologique soit concernant l'étude de la science. Ensuite, « Que dois-je faire ? » ; cette question appartient au domaine de l'éthique (réflexion sur les actions). L'homme cherche donc à savoir si ce qu'on va faire va nous rendre heureux. Pour bien vivre, selon Kant, il faut faire son devoir. Un philosophe

Introduction : Définition : La philosophie est un héritage de la Grèce Antique. A l’époque de Périclès. Le mot n’apparait qu’au 5ème siècle. A l’époque, la philosophie et les sciences ne se distinguent pas, donc la philosophie est une morale, une logique, une physique. La philosophie n’est pas une théorie mais un mode de vie. Philosophie = recherche de la sagesse On réfléchit, on fait un retour sur soi. On ne possède pas le savoir, on le recherche. Ce sont les questions qui sont essentielles

stipulent les relativistes, qui portent sur un même objet et ce malgré leur diversité, revient à poser que «la même chose peut, à la fois, être et n'être pas» (Aristote). Ce courant de pensée contredit donc le principe fondamental de tout raisonnement logique: le principe de non-contradiction, selon lequel «il est impossible que le même attribut appartienne et n'appartienne pas en même temps, au même sujet et sous le même rapport». D'autre part, les sceptiques voudraient quant à eux réclamer la démonstration

dépasse vers un type d’objet ayant des propriétés spécifiques .toutes la difficulté est alors de dégager la spécificité du jugement esthétique par rapport à d’autre jugement possible On peut envisager différentes sortes de jugements, le jugement logique (tel proposition est-elle cohérente ou non contradictoire ?) Le jugement d’objectivité pour les énoncés les plus simples vérifier l’adéquation entre ce qui est dit et ce qui est décrit ( réalité extralinguistique )Pour les énoncés les plus complexes

l’âme vers le monde INTELLIGIBLE que permet la philosophie. Le soleil qui apporte la clarté est analogue chez Platon au bien qui apporte la vertu. Caverne moderne = les écrans, les technologies du divertissement. Aristote Fondation de la logique : Logique > logos = langage, raison. Syllogisme  Suite de 3 propositions établissant la nécessité d’une conclusion à partir de 2 propositions déjà connues, que l’on appelle les prémisses. 2 types de syllogisme :

notion connexe, celle de preuve, qu’il ne faut pas confondre avec la démonstration, puis au rôle dans la démonstration de cette donnée subjective qu’est l’évidence. Nous serons alors conduits à traiter du rôle capital dévolu à la démonstration dans la logique et les sciences déductives au 20ème siècle. Pour conclure, nous nous intéresserons à ce que l’on peut appeler les limites de la démonstration en exposant notamment la conception de cette dernière comme pratique (comme un « faire » plus qu’un « connaître »)