Kant Mal Radical

devrait exister, à une norme de référence qui indique comment la réalité devrait être. Il y a 2 facultés humaines dans l'être humain : -La raison : permet de distinguer le vrai du faux dans le domaine de la connaissance, départager bien du mal dans la moral, et le juste de l'injuste dans le droit. -Sensibilité : parle de ce que l'on ressent. Pour Aristote, l'homme se distingue de l'animal en ceci qu'il ne se laisse pas conduire par ses besoins, l'homme se gouverne lui-même. Il est donc

accordent la même autorité à la nature qu’à Dieu, il convient de juger le comportement des individus selon sa conformité à la nature humaine. Pour le rationalisme, enfin, qui s’en remet aux facultés intellectuelles de l’Homme pour distinguer le Bien du Mal, les choix moraux doivent être dictés par la raison humaine. Certains principes moraux ne font pas appel à des valeurs fondamentales, car les adeptes du relativisme moral sont convaincus que toute tentative d’établir de telles valeurs est vouée à l’échec

Sous l’influence de Descartes et plus tard de Newton La pensée scientifique : on s’appuie sur l’expérience, les faits, les preuves. On compare les témoignages et les croyances Se libérer de la théologie et de l’autorité pour penser Emmanuel Kant : Qu’est-ce-que les Lumières 1784 Citation : « aie le courage de te servir de ton entendement » Les domaines d’investigation de la raison : Religion/Croyances Fontenelle : Histoire des oracles 1686 S’en prend à l’obscurantisme d’une pensée

qu’il s’était seulement absenté et que son retour ne tarderait pas. - La réflexion inquiète et trouble par les questionnements incessants, les doutes qu’elle fait naître. Ainsi, « pourquoi j’existe ? », « la mort est-elle pur néant ? », « pourquoi le mal existe-t-il ? »… autant de questions angoissantes, qui donnent le vertige, et auxquelles il apparaît bien difficile de répondre. Comment ne pas être tenté alors de se divertir, de s’agiter en tous sens, pour n’avoir pas à y penser ? (Voir Pascal, Les

est capable de s’étonner non de telle ou telle chose en particulier mais de son monde en son entier, du fait que le monde soit alors qu’il aurait pu aussi bien ne pas être. L’énigme de la contingence du monde et d’ailleurs ravivée par le problème du mal : pourquoi est-il plein de tant de misère ? Au lieu d’être seulement vécu celui ci apparaît comme une énigme, comme la figure d’une question et c’est en se sens que Aristote a pu dire que «la philosophie est fille de l’étonnement ».Aristote métaphysique

sphère privé de ses intérêts. En s’y repliant l’individu se détourne des affaires publiques. Ce détournement est la source de deux maux mettant en péril la société : _un mal politique pour la cité : distension de rapports et effondrement /disparition du citoyen au profit de l’homme ( le consommateur par exemple). _c’est un mal moral pour la cité : l’égoïsme, cet amour de soi et de toute chose pour soi est allié à un amour-propre  1ere csq : l’individualisme démocratique desserre le lien social

L'AUTORITÉ et l'EDUCATION Extrait d' Olivier Reboul, Philosophie de l'Education (PUF, Que sais-je ?, ed.1997 pp. 69sais6977) refus radical de toute autorité. Et nous ne pouvons esquiver le problème : l'autorité éducative est-elle légitime? Si oui, comment la fonder? Si non, par quoi remplacer... l'éducation ? Les Figures de l'autorité définissent à partir de ce qui les rend légitimes. La première, la plus rationnelle de toutes, est celle du contrat, où chacune des parties est liée par son

Descartes, ou de cogito husserlien, après lui. Sommaire [masquer] 1 Le cogito cartésien 1.1 Origine 1.2 Dans la philosophie de Descartes 1.3 Portée 2 Postérité 2.1 Un principe à inscrire dans son contexte 2.2 Une métaphysique oubliée ? 2.3 Kant 2.4 Auguste Comte 2.5 Nietzsche, structuralistes 2.6 Husserl 3 Cogito ergo sum et concepts philosophiques 3.1 Concepts philosophiques apparentés 3.2 Le sujet 3.3 Cause première et causalité 3.4 Cause finale 3.5 Cogito et substance 4 Citations

de l’humanité qui vaut pour tous les hommes. On retrouve dans ce passage un thème Kantien. Pour Kant l’universel, fondé sur la raison, est le critère de la moralité. Si je veux savoir si un acte est moral je dois alors me demander si mon acte est universalisable. Si en l’universalisant je tombe dans une contradiction je dois en conclure que cet acte n’est pas moral. Mais, à la différence de Kant, pour Sartre il n’y a pas de nature raisonnable de l’homme. La raison, l’universel, doit en conséquence

jouer, ni jongler.   Ce qu'on juge —très légitimement dans un concours de recrutement de professeurs— c'est la capacité à communiquer sa pensée  se mettre à la place du lecteur lutter contre la prétendue "incommunicabilité" qui n'est radicale qu'autant qu'est radicale la paresse humaine. penser sans arrêt à autrui. C'est l'essence même de la sociabilité et de la moralité délicatesse et ordre. Il ne faut pas considérer que la communication avec autrui est donnée, mais qu'elle est conquise Toujours