Krugman

industrielle et politique commerciale : Selon Krugman il existe trois étapes dans l’éviction des firmes américaines par les européennes et nippones : choix du secteur en fonction des effets d’entraînement et combinaison de subventions et protection ; conquête des marchés extérieurs ; monopole à l’échelle mondiale. Cette conception justifie une riposte. Plus récemment, mise en évidence de la PCS dans des secteurs à concurrence imparfaite. Krugman développe l’exemple de l’aéronautique ; sans subventions

Ouverture de la concurrence à l’international. Au fil des siècles, depuis les mercantilistes ce sont opposés les partisans et les adversaires du libre échange. Dans les années 80 la nouvelle théorie du commerce international développée par Paul Krugman porte un regard renouvelé sur les échanges. I. Fondements de l’ouverture internationale à la concurrence. L’ouverture internationale à la concurrence ou libre échange. Le libre échange c’est à la fois une théorie économique et une politique

une perte de crédibilité pour le pays. Quand la B.C n’a plus de réserves de change pour soutenir le cours de sa monnaie, elle est obligée de dévaluer sa monnaie. Ce sont des problèmes en termes de fondamentaux et d’équilibre de la balance. (Krugman. Si les investisseurs anticipent une dévaluation, ils vont vendre la monnaie ce qui va précipiter la dépréciation. C’est une anticipation autoréalisatrice. Il faut éviter la dévaluation car souvent le FMI doit donner son accord et va imposer

leur compétitivité augmenter suite à des dévaluations. Dans un premier temps en janvier 2000, le pays a dû recourir au FMI tout en refusant de dévaluer. Finalement, le pays avait dû dévaluer et faire défaut sur sa dette. C'est le scénario que Paul Krugman privilégie Le 9 mai 2010, le président Barack Obama préoccupé des répercussions à l’internationale de la crise, annonce que les États-Unis voulaient une « action résolue ». C’est pour cela que le même jour Fed (Federal Reserve system) avait ouvert

ne pas perdre leurs clientèles, elles prennent plus de risques => Quand crise (faillite bancaire) = répercussions au niveau mondial et phénomène de crédit crunch : banques prêtent de moins en moins aux entreprises et aux ménages Critique de Krugman : rôle pro-cyclique des banques, allocation non efficiente des ressources car capitalisme de copinage (ex Asie) multiplication des créances douteuse alimente les bulles financières qui finissent toujours par éclater - Développement de l’épargne

protectionnisme La nouvelle théorie du commerce international a suffisamment modifié les fondements de l'analyse des échanges mondiaux pour introduire certaines ambiguïtés sur les avantages du libre-échange. Profondément libre-échangiste, Paul Krugman démontre que « Même si le protectionnisme n'est pas une calamité atroce », il ne peut être envisagé comme une politique répondant de manière adéquate aux problèmes rencontrés aujourd'hui par les pays développés. A) Les différentes formes du protectionnisme

musical (CD, etc...) : il ne fait que faciliter la diffusion d'un plus grand nombre d’œuvres, qui n'auraient pas été achetées autrement. 2) Le progrès technologique et le manque de préparation des majors. Ainsi, certains économistes comme Paul Krugman, prix Nobel d'économie, estiment que depuis le développement de l'informatique, les moyens de diffusions de la musique ont évolués, et que le consommateur privilégie désormais une offre dématérialisée qui se doit d'être plus compétitive que les CD

continue du commerce mondial sous l’impulsion des grandes institutions libre-échangistes telles que l’Organisation mondiale du commerce (OMC), la Banque mondiale ou le Fonds monétaire international (FMI). Pourtant certains économistes comme Paul Krugman ont décrit ces institutions comme guidées par un « mercantilisme éclairé », qui ne cherche pas à promouvoir les principes du libre-échange, mais à favoriser les concessions commerciales mutuellement avantageuses42. D’autres économistes radicaux vont

Lorsque les ménages constatent un déficit public, ils anticipent que les impôts vont augmenter et donc qu'ils doivent épargner. Cela crée un lien entre le déficit public et le comportement d'épargne des ménages et donc un lien avec le solde courant. Krugman, en tant que ricardien, mais keynésien, dit qu'il n'y a pas de lien entre déficit public et déficit de la balance des paiements courants. Il dit que tout dépend du contexte. Ce lien peut être une relation positive, comme une relation négative. Ce

l’économie mondiale. SOURCES : 1. Petit vocabulaire économique, Pierre-Marie Combe et Pierre-Marie Cusset 1974 2. Statistique Canada : La richesse et le revenu 3. Macroeconomics, Study Guide and Aplia Activation Card, de Paul Romer avec Paul Krugman et Robin Wells.