L Hommage Féodo Vassalique

honneurs à la noblesse, pour s’assurer de la fidélité des aristocrates. Il peut distribuer ses filles pour entretenir une amitié avec les familles. Objectif de nouer et de maintenir des relations d’amicitia avec les familles. 2. Les relations féodo-vassaliques. Relations non nouvelles car s’inscrivent dans le prolongement de la vassalité de l’époque carolingienne. Reconnaissance d’une dépendance personnelle par un noble à l’égard d’un autre plus puissant que lui. Vassal, se reconnait Fidel. Vassal

paysans et leur terres, qui sont soumis à la sujétion seigneuriale dont les relations sont féodo-vassalique(s) qui s’établissent à la suite d’un contrat passé entre deux hommes libres, par lequel le plus faible des contractant appelé le vassal, entre au service du plus puissant, appelé le seigneur féodal, et il se place sous sa protection. Et c’est ainsi qu’à la suite d’un rituel appelé l’hommage, et grâce à cet hommage l’homme (le vassal) devient l’homme de son seigneur. Et ce contrat fait naître des obligations

Le vassal place ses mains dans celles du roi pour montrer qu’il se place sous sa protection (hommage au Moyen Âge). La seconde cérémonie est un serment de fidélité, il jure fidélité au roi. Le premier exemple connu de vassal est Tassilon III, duc de Bavière, qui se recommande à Pépin le Bref en 757. Après Tassilon III, les Carolingiens vont beaucoup développer ce type de liens personnels (liens vassaliques) pour fidéliser ses comtes et ses ducs (administration locale). Ainsi, les vassaux royaux se

prééminence seigneuriale. Ordre féodal, s’estompe à partir du 13eme siècle et disparait à partir du 15eme siècle. Le roi récupère ses prérogatives puissance publiques et on retrouve donc un roi souverain en France. Section 1 : Les relations féodo-vassaliques Uni des hommes qui font partie d’un même groupe social. Ya une différence entre ces nobles, différence puissance militaire, et économique. Certain bien que noble, on besoin d’une protection physique, aussi de biens, bien plus important. Ces

Dieu, comme David et Salomon. Les rois carolingiens se prétendent les élèves des rois qui ressemblent le plus à l'Ancien Testament, Charlemagne est souvent comparé à David qui a combattu Goliath. « Roi par la grâce de Dieu », formule à la fois hommage à la divinité reconnue comme seul pouvoir terrestre, et légitimité de ce pouvoir voulu par Dieu, nécessité pour tout régime de se légitimer. Ce sacre débouche assez naturellement sur la théocratie : le gouvernement de la cité par ceux auxquels Dieu

Le vassal place ses mains dans celles du roi pour montrer qu’il se place sous sa protection (hommage au Moyen Âge). La seconde cérémonie est un serment de fidélité, il jure fidélité au roi. Le premier exemple connu de vassal est Tassilon III, duc de Bavière, qui se recommande à Pépin le Bref en 757. Après Tassilon III, les Carolingiens vont beaucoup développer ce type de liens personnels (liens vassaliques) pour fidéliser ses comtes et ses ducs (administration locale). Ainsi, les vassaux royaux se

de la puissance royale. Il proclame « le Roi est au sommet de la hiérarchie féodale ». Cette suprématie est restée limitée parce que le Roi de France n’exerçait son pouvoir que sur ses vassaux directs. Il étend sa supériorité sur toute la société féodo-seigneuriale, puis sur tous ses sujets. On assiste au passage de la suzeraineté à la « souveraineté royale » §1 : La Suzeraineté royale Pour que la suzeraineté soit totale, le Roi ne doit en aucun cas apparaitre comme dépendant, il ne doit

poésie, ou encore l'ensemble des rites que pratique l'empereur le premier jour de la première lune, à savoir : bain de purification dès le réveil, trois coupes de sake, l'empereur invite ensuite les hauts fonctionnaires de la cour à lui rendre leurs hommages, tout ça suivi d'un banquet où chacun est placé selon son rang dans la hiérarchie. Inutile de préciser que ces banquets tournent souvent à la beuverie généralisée. On appelle l'ensemble des rites le nenjûgyôji. Ces célébrations ponctuent toute l'année

la noblesse d’épée, en opposition à la noblesse de robe. Ceux qui sont entrés dans la chevalerie par le rite de l’adoubement acquièrent la condition de noble. Sont considérés comme nobles ceux qui possèdent un fief, dans la mesure où le contrat vassalique implique une dimension de pouvoir. De sorte qu’à la fin du 12e siècle, la notion de noblesse, à l’origine une notion de fait, devient une notion de droit. La noblesse se ferme et l’hérédité devient le seul moyen d’accéder à cette condition juridique

société féodale sont l’effacement du pouvoir centrale pour la réalité du pouvoir aux mains des puissants locaux. La société féodale n’est pas désorganisée, émiettement n’est pas synonyme de désordre. La société est structurée autour du système féodo-vassalique. C’est une société d’ordres, divisée en ordres sociaux identifiés. Cette réalité perdurera jusqu'à la fin de l’ancien régime. « Ordre » est un terme médiéval qui signifie classe sociale, un groupe d’individus qui ont les mêmes intérêts, les mêmes