L'Homme sans passé

De quelles servitudes l'homme souffre t-il ? Schopenhauer, philosophe allemand du 19ème siècle disait qu'une fois la liberté et le bonheur étaient perdus, on savaient vraiment ce que c'était. Ainsi seuls les prisonniers sauraient ce qu'est la liberté. Ces hommes sont privés de libertés mais alors de quelles types de libertés sont-ils victimes ? Ainsi que les hommes en général, dans quelles mesures peut-on se libérer de ses servitudes ? De ce fait, nous verrons dans un premier temps, les différentes

conclut enfin sur le rôle décisif de l’histoire pour l’humanité. Quelles conséquences l’ignorance de son histoire entrainerait-t-elle pour un peuple ? Quel pourrait être pour un peuple le bon usage à faire de l’histoire ? I. Une comparaison entre l’homme et l’animal a. L’instinct animal L’animal est caractérisé par son instinct, c'est-à-dire un ensemble de caractéristiques héréditaires, finalisées et propres à toute son espèce. Comme l’a montré Kant, dans son Traité de pédagogie, l’instinct est pour

L’alliance de l’homme et de la natureCe texte est extrait de l’essai sur le romantisme " De l’Allemagne" de 1810 de Madame de Staël . Après son voyage en Allemagne (où elle découvre le Romantisme), Madame de Stael est impressionnée par la poésie allemande. Elle donne un exemple d’une œuvre de Goethe "Le Pêcheur" qui parle d’un homme assis au bord d’une rivière qui contemple l’eau, la nymphe de cette rivière l’invite à plonger et l’homme attiré et fasciné, plonge et disparaît pour toujours. On trouve

Problématique : Marx se demande ce qui fait la spécificité du travail de l’homme. Thèse : l’homme est conscient du travail qu’il va réaliser. Plan : I. Acte qui passe entre homme nature II. Faux car purement instinctif ; travail animal III. Spécificité travail de l’homme ? la pré-visualisation par la pensée du futur résultat de son travail. L’homme utilise des outils L’homme peut apprendre n’importe quel travail La cueillette L’animal réalise un travail instinctif Marx se demande

dans lequel l’homme recherche sans cesse une source d’innovation lui permettant d’explorer toujours plus de domaine on peut se demander si la tradition ne perd pas de son importance devenant un poids trop lourd à assumer pour l’homme du présent ? Et dans le même temps il suffit de regarder autour nous, les civilisations, les cultures, les peuples pour voir que nous continuons tous à perpétuer des traditions ancestrales. On peut alors se demander qu’elle attitude doit adopter l’homme face à cette

résonner à travers les siècles : le temps s'écoule et précipite l'instant présent dans un passé qui n'est plus. Jeunesse , amis , amants ... les passions et les projets ne sont bientôt plus qu'un lointain souvenir , vague et effacé . Pourtant , l'absence est pesante .Le passé, irréversible,marque les coeurs et excite les désespoirs.Son silence semble toujours se faire entendre.La paradoxe est donc entier : ce passé qui semblait définitivement perdu n'est pourtant pas totalement absent.Pleurer ce qui

plus souvent occupés par ce qui a été ou pourra être au lieu de nous investir dans le présent ? Cette question, Blaise Pascal se l'était déjà posée au XVIIe siècle. Dans un extrait de ses Pensées relatif à notre rapport au temps,  il affirme que l'homme passe à côté du présent, et ainsi du bonheur, à force de nostalgie et d'espérance. Pour cela le texte est formé selon une logique d'approfondissement progressif et d'implication croissante du lecteur Ainsi, pour donner à penser notre rapport au temps

avant tout une conscience. Nous venons d'acquérir une certitude, l'homme est conscience, mais n'y en a-t-il pas d'autres natures ? Prenons par exemple un animal, nous qui existons sommes capable de le considérer et d'envisager son existence, c'est ce que soutiendra Emmanuel Kant dans son « anthropologie du point de vue pragmatique ». L'animal existerait donc et serait aussi capable d'action, bénéficierait-il, à l'instar de l'homme, d'une conscience ? Si tel est le cas, pourquoi chaque bête se comporte-t-elle

de la barbarie humaine, du racisme et de l'antisémitisme. Son passé historique, social et culturel l'a beaucoup influencé dans sa réflexion, tournée vers l'activité politique, le totalitarisme et la modernité. Elle assiste notamment au procès d'Eichmann en 1964 pour juger des crimes de l'humanité, ses pensées étant tournées vers les causes morales et politiques du nazisme ainsi que sur la « banalité du mal ». Dans « Condition de l'homme moderne » Hannah Arendt nous invite à réfléchir sur l'originalité

 La nature : Victor Hugo décrit dans ce poème le temps de manière positive,il met en avant la beauté de la nature,les consequences positives qu’a le temps qui passe sur la nature.Nous povons croire au vers10 lorsqu’il emploie l’adjectif « ridés » qu’il donne un aspect négatif de la nature mais il adoucie en quelques sorte ce terme,lui enlève cet aspect négatif en ajoutant à la suite »et non viellis »c’est un personification.Victor hugo dresse donc un portrait mélioratif de la nature , il l’a décrit