L Hérédité Des Offices

sacres par anticipation afin d'assurer une légitimité à leur dynastie. Ils vont tous se faire sacré ainsi jusqu'à Louis Philippe et ce n'est qu'au 12éme siècle que l'on considére que l'hérédité supplante l'election. Le royaume ne s'acquiet pas par hérédité mais par noblesse de sang et sagesse d'esprit. La primogéniture : Robert Le Pieux avait deux fils, et ces derniers se disputaient le Royaume de France, et Robert décida que ce soit l'ainé qui lui succédera, afin de ne pas diviser le pouvoir.

revient donc, au maire du palais. * Minorité : Les rois mérovingiens décède jeunes. Laisse des enfants mineurs, ils doivent Régnier. Ils n’ont pas l’autorité est l’expérience. Pendant leur minorité, ce sont les maires du palais qui gouverne. * Hérédité des fonctions et stabilité fonction du maire du palais n’es plus démembré. Il y a un seul maire du palais pour tous les royaumes mérovingiens. Et cette fonction est héréditaire, ce qui permet une stabilité. * Soutien des grands, des aristocraties

sont partagés. Mais ce qui enlève à la discussion une partie de son intérêt et de sa portée, c’est que ces banquets communs, plus ou moins périodiques, et les distributions qui les accompagnaient souvent tenaient lieu de secours et faisaient l' office d' une assistance indirecte. De toute manière, les malheureux savaient qu’ils pouvaient compter sur cette subvention dissimulée. -comme corollaire de ce caractère religieux, le collège d’artisans était, en même temps, un collège funéraire, unis

vue de pouvoir bénéficier des avantages liés à cet état. Par exemple dans une affaire d’héritage, il est important de prouver que l’on est le fils ou la fille du défunt. On doit produire un acte de naissance pour que soit délivré un jugement d’hérédité. Pour avoir certains papiers, comme la carte d’identité nationale, il faut produire un acte de naissance. 1.2.2. Acte de mariage 1.2.2.1. Définition Tout mariage, célébré à la mairie, à la mosquée, à l’église ou en tout autre lieu, doit

Moyen Âge, qui est ensuite complétée au 16e siècle, et qui porte alors le nom de Lois fondamentales du royaume. 5 grandes règles nées durant l’époque médiévale, les régissent : hérédité, aînesse, masculinité, indisponibilité, continuité. A. Les règles de transmission de la couronne dégagées au Moyen Âge 1. Hérédité En juin 987, Hugues Capet est élu roi de France par une assemblée de grands, à Noyon. Bénéficiaire du système électif, il prend immédiatement des dispositions pour que ses descendants

part, les clercs n’ont pas une moralité louable, donc au XI, mise en place d’une réforme, « la réforme Grégorienne » (par le Pape Grégoire VI). L’Eglise est réorganisée : moral stricte, interdiction mariage des prêtres, interdiction du commerce des offices ecclésiastique. o La réforme Grégorienne : le Pape se considère comme supérieur au Roi et veut diriger les Rois, alors que Philipe le Bel règle ce point par un conflit. Le Roi voulait imposer des impôts, mais le Pape n’était pas d’accord, donc le

pas se référer à la fonction militaire. Les rois avaient concéder des bénéfices. Le bénéfice accompagne la charge → évolue en office. Les droits et les lois attachées définies de matière immuables. Les titulaires qui se succédaient ayant les mêmes fonctions, prérogatives. Un officier était nommé par des lettres de provisions qui ne précisaient même pas leur pouvoir (office de juge de Dijon de grenier à sel …). Tout le monde savait ce qu'était la fonction. L'office était permanent à l'égare du titulaire

règle d’hérédité : lorsque robert devient roi en 996, il désigne également son fils Henri 1er qui lui succèdera en 1031. Henri 1er désigne son fils Philippe qui lui succède en 1060. On parle d’un miracle Capétien : transformation de l’élection en hérédité. Le principe d’hérédité est rétablit définitivement. Corolaire de ce miracle : désormais les capétiens s’affranchissent de la tutelle des grands du royaume car les grands n’ont plus le pouvoir de faire ou de défaire le roi. Mais ils acclament

décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité, que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions. Il n'y a plus ni vénalité, ni hérédité d'aucun office public. Il n'y a plus, pour aucune partie de la nation, ni pour aucun individu, aucun privilège, ni exception au droit commun de tous les Français. Il n'y a plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers. La loi ne reconnaît

(entre la ligne 25 et 40), c'est d'ailleurs cet extrait que nous allons vous commenter. « Le roi sera à l'autel et il enlèvera sa robe » marque tout d'abord le rite de séparation qui est la phase initiale du rite de passage qui transforme un roi par hérédité en un roi par consécration religieuse. Ainsi ce passage est symbolisé par l'abandon des vêtements du roi. « Ces choses ainsi faites et le chrême mis à l'autel sur une patène consacrée, l'archevêque doit préparer la sainte ampoule sur l'autel, et