L Imaginaire Sartre

Pour grandir l'enfant doit ce détourné du père, donc l'humanité doit abanonné la religion pour évoluer. Il met en relation aussi pratique et rite religieux à des TOC. *Nietzsche quand a lui, pense qu la religion ignore la relalité, c'est une monde imaginaire , un monde de fiction qui a pour orgine un malaise enfoui. Il a aussi proclamé que « Dieu est mort ». *Pour finir, Bergson, pense que la réligion est une abération pour l'Homme qui est un etre de raison. Hegel, lui, pense que lorque que la philosophie

Du Bellay) Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite Mlle de Scudéry, Mlle de Sablé - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte - Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre - Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire - Blaise Pascal , Pensées XVIIIe Les Lumières - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. - combat contre l’irrationalité, la superstition et

devient son autobiographie du possible, ce quaurait pu tre sa propre vie. En premier lieu, nous pouvons convoquer la psychanalyse qui a su montrer ce quavait dillusoire la prtendue autonomie des personnages. Pour la psychanalyse, les productions dun imaginaire, les cratures fictives sont strictement dtermines. Freud, dans la cration littraire et le rve souligne la tendance de lauteur scinder son moi par lauto-observation en moi partiels, ce qui lamne personnifier en hros divers les courants qui se heurtent

Le langageI ) Une spécificité humaine?Commençons par quelques définitionsLe langage désigne  la  capacité  qui  permet  à  chacun  d'entre  nous  de communiquer  et  d'interagir  avec  les  autres  Hommes. Le  langage  désigne  une  capacité,   la  langue   désigne  un  outil  permettant  de  communiquer.  La langue  n'est  pas  commune  à  tous  les  êtres  humains  mais  seulement  à  un  groupe  de  personnes.  Il  faut  donc  être au

l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière, il s’agit de « corriger les hommes en les divertissant » (Molière, « Premier placet au roi au sujet de Tartuffe »), en

plan psychologique que littéraire ou social. C'est ce que l'on peut observer dans la querelle qui opposa François Mauriac à Jean-Paul Sartre. C’est lorsqu’il publie, en 1939 dans le numéro 305 de la Nouvelle Revue Française son article intitulé Monsieur François Mauriac et la liberté que le jeune philosophe alors inconnu s’attaque au romancier déjà consacré. Sartre reproche le manque de liberté des personnages de La Fin de la Nuit, leur manque de vie, le déterminisme héréditaire ou social trop présent

de ressemblance avec un être réel, les auteurs du roman doivent introduire le doute de la véracité du personnage, autrement il s 'agit d'un livre d' histoire. Kundera dit : « Le personnage n’est pas une simulation d’un être vivant. C’est un être imaginaire. » Malgré les protestations des auteurs, les personnages sont jugés d’après les critères du réel. Puisqu’ils imitent la personne humaine, on veut que leur comportement soit cohérent et vraisemblable. L’aveu de la Princesse de Clèves suscita un

une part de danger et de courage : celui qui s’engage contredit la doxa, alimente un contre-pouvoir. Et bien que dans un sens étroit, la littérature engagée ne désigne qu’une étape de l’histoire littéraire du xxe siècle où écrivains et philosophes (Sartre, Camus, Beauvoir, avant eux Aragon et Malraux) firent de leurs mots les porte-voix d’une lutte politique, la littérature tout entière ne doit son histoire qu’à des transgressions, à la critique des limites qu’on lui pose. La littérature engagée suscite

riches touristes qui visitent son pays. A 16 ans, ses parents l'ont mariée à son patron de 50 ans d'âge. "C'est pour l'honneur de la famille", lui a-t-ont dit. Depuis ce jour, Alisha se sent salie quand son mari la touche, et s'enfouit dans un monde imaginaire chaque nuit, où sa vie semble être un véritable conte de fée. Contrairement à Sophie, Alisha sait, aussi bien qu'Albert Camus, qu'il n'y a pas de bonheur sans dignité, et qu'aucun rêve n'est possible sans liberté. Si Sophie semble bien plus

Au XXe siècle, le plus populaire parmi les mouvements d’avant-garde fut le théâtre de l’absurde. Héritiers spirituels de Jarry, des dadaïstes et des surréalistes, influencés par les théories existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, «l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959) et par