L Indémontrable

c’est un rapport de cause conséquence évident, mais celui-ci n’est logique qu’à partir du moment où l’on postule que l’homme est naturellement bon, ne connait aucun de ces vices à la base, ce qui est en rien prouvé par Rousseau, et certainement indémontrable par quiconque.

que je sois. Je puis douter de tout, je ne puis cependant douter de mon existence en tant que conscience, en tant que sujet qui, pour douter, doit du même coup être en train de penser. Cette vérité du cogito s’offre comme une évidence, certes indémontrable, mais pourtant certaine, car il m’est impossible d’en douter. La mettre en doute, c’est derechef la voir reparaître. Descartes fait de cette évidence le modèle pour toute vérité de base : l’idée claire et distincte est donnée par intuition et non

loi générale fondée sur l’argument d’autorité pour arriver au cas particulier, inquiétante car elle est fondée sur des préjuges, sur une idéologie fondée sur des principes qui ne sont pas fondés, c’est le postulat. C’est un axiome (une vérité indémontrable). Le « donc » v 30 présente le raisonnement du lion parfaitement logique, il laisse entrevoir son raisonnement comme un syllogisme sur la causalité et sur la conséquence de traiter le mal par le mal. C’est la satire du langage judiciaire assez

renonce à être accréditée. » (p.31-32) Les idées religieuses sont des illusions : idées religieuses et désaide :des illusions indémontrables, mais aussi irréfutables. L’introspection ne peut rien nous apprendre sur la réalité extérieure, seulement — éventuellement — sur notre vie psychique. Le sacré. Le « faux-fuyant »: le caractère irréfutable comme indémontrable des idées religieuses ne peut être un argument en leur faveur, ni permettre ainsi d’opposer une fin de non recevoir à la thèse

renonce à être accréditée. » (p.31-32) Les idées religieuses sont des illusions : idées religieuses et désaide :des illusions indémontrables, mais aussi irréfutables. L’introspection ne peut rien nous apprendre sur la réalité extérieure, seulement — éventuellement — sur notre vie psychique. Le sacré. Le « faux-fuyant »: le caractère irréfutable comme indémontrable des idées religieuses ne peut être un argument en leur faveur, ni permettre ainsi d’opposer une fin de non recevoir à la thèse selon

notre éducation à été basé seulement sur cette idée, et on ne nous a pas appris d’autres concepts. Il en est de même pour la vérité, elle est en quelques sorte un dogme reconnu depuis des millénaires. Ces vérités primitives sont évidentes, mais indémontrables. Il existe des vérités dont nous avons une certitude absolue de leur véracité. De plus nous sommes certains qu’elles sont véridiques où que nous soyons dans l’Univers, elles sont en quelques sorte une forme de langage commune à toute l’humanité

donc sont considérés comme faux (ex : théorème de Pythagore ) . De plus , pour que l’énoncé puisse être prononcé et compris il faut que l’on distingue les # types de réalité . Cette distinction permettra alors la pensée . Il existe des vérités indémontrables qui , pour être saisies , n’ont pas besoin d’être démontrées puisqu’elles sont connues de la raison –> axiomes . Aristote pense que une pensée est vrai grâce à la réalité . La réalité fait donc la vérité de la pensée , de la proposition .

réputation de César, rapportant qu’il aurait eu des relations sexuelles passives avec Nicomède, vice le plus méprisable aux yeux des Romains. Cette suspicion, qui peut être une lourde et classique plaisanterie entre soldats, plutôt qu’une réalité indémontrable, suivra César, depuis les commentaires insultants de ses adversaires jusqu’à son triomphe final24. Lors de la prise de Mytilène, César accomplit un exploit que les historiens ne précisent pas, mais qui lui vaut en récompense une couronne civique

ressenti, de notre intuition ? C’est ici le point de vue de Pascal, qui dit que les axiomes sont choisis par le cœur. Ainsi nous admettons par exemple les axiomes mathématiques non pas avec rationalité mais avec intuition car ils sont indémontrables, ils nous paraissent absolument évidents. Or l’évidence est bien un sentiment. Au même titre que le croyant serait illuminer par la foi, ce serait une vérité révélée a lui, quand bien même, il y trouvera un raisonnement rationnel en voyant,

|dimension religieuse |celle qui a une fonction |parce que l’homme | | |L’existence de Dieu est |spécifique. Chaque |sociale de préservation de|observait des phénomènes | | |indémontrable. La religion|religion n’est qu’une |la société à l’égard de |naturelles(ex les séismes)| | |nécessairement la religion|manifestation singulière |l’égoïsme et des intérêts |sans trouver les causes , | |