L Indémontrable

par le « théorème » de Pythagore sans que les autres résultats de la géométrie soient modifiés. Les statuts d'axiome et de théorème de ces deux résultats sont alors inversés : le « théorème » de Pythagore devient un axiome (une vérité de base, indémontrable, sur laquelle s'appuie la théorie) et l'« axiome » des parallèles devient un théorème, qui peut être démontré à l'aide de Pythagore. Dans d'autres géométries, l'axiome des parallèles est remplacé par un autre qui le contredit, et le théorème de

plusieurs droites peuvent passer par deux points (expérience de pensée de Poincaré avec les êtres plats à la surface d’une sphère) Pascal : il faut atténuer les prétentions de la raison à vouloir tt démontrer et tt prouver : certains principes indémontrables se sentent par le cœur. Aristote : enthymème : nouveau moyen de raisonnement qui s’appuie sur l’argumentation (atteint le domaine du vraisemblable et du probable mais pas celui du vrai). Descartes : discours de la méthode : règle de l’évidence

et pleinement réalistes », qui est la base d'une politique sceptique, mais en rejette en grande partie les moyens d'y arriver. Il faut d'abord « rejeter tous les postulats », c'est à dire les causes premières des faits, preuves évidentes mais indémontrables sur lesquelles se basent les sceptiques. Il est ensuite donné justement l'exemple d'un postulat sceptique, selon lequel « les hommes se conduisent toujours sottement, dominés par le passé et par les causes extérieures, ou menés par quelques habiles

lequel l'homme tenterait de s'évader de la tension propre à sa condition? L 'homme peut-il résoudre cette tension en faisant la preuve de la transcendance de l'intelligence ou doit-il rechercher l'apaisement dans une foi ou une croyance par nature indémontrable? Ou encore, peut-il tenter d'assumer existentielle ment cette tension en choisissant un moyen terme entre une preuve impossible et un apaisement illusoire ? D'autre part le fait de poser que l'intelligence transcende la matière n' entraÎ ne-t-il

il existe, en spécifiant le domaine topologique où il se réalise comme réseau." Axiologie : Science ou théorie des valeurs philosophiques, esthétiques ou morales visant à expliquer et à classer les valeurs Axiome : proposition ou principe indémontrable, mais vrai. Aujourd'hui, synonyme d'hypothèse, de postulat. B- C B  Biopouvoir : Pouvoir qui s'exerce sur la vie : la vie des corps et celle de la population Biopolitique : Forme d’exercice du biopouvoir qui porte sur les populations

ces objets, par exemple, D1 « un point est ce qui n’a pas de partie » D2 « une ligne est une longueur sans largeur » - Les axiomes (9). Ce sont les propositions évidentes qui sont vraies sans démonstration et servent à démontrer. Leur vérité est indémontrables mais également indiscutables. Exemples cités plus haut. - Les postulats ou demandes (5). Ce sont des propositions qui sont acceptées comme vraies bien qu’elles ne soient ni évidentes, ni démontrées. Le plus célèbre exemple de postulat dans le

communique de manière nécessaire par inférence à la conclusion . Pour démontrer on a besoin de principes. Mais peut on démotrer ces mêmes principes. Il faut donc remonter à des vérités encore plus forte. On arrive ensuite aux premières vérité indémontrables Est – ce une épreuve de faiblesse ou de force L'esprit les reconnaît en voyant leurs évidence. C'est pourquoi on utilise l'intuition en philosophie : j'ai comprit par ce que j'ai vu. *intuition : acte ou l'esprit saisie une vérité par

inconscients et sociaux des conduites, etc. l’intégration de ces savoir de la partialité complète les étudeLa psychologie (du grec psukh, âme, et logos, parole1) qui désigne l'étude scientifique des faits psychiques la connaissance empirique ou indémontrable des sentiments, des idées, des comportements d'autrui et des siens, l'ensemble des manières de penser, de sentir, d'agir qui préciser une personne, un animal, un section ou un personnage. divisée en de nombreuses branches d’étude, ses disciplines

d’ailleurs on ne peut guère connaître les choses car tout est différent * l’homme, pris entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, ne peut presque rien connaître * d’ailleurs toute vérité, même mathématique, part d’un principe premier indémontrable : la raison prend sa source dans le « cœur » : la raison reconnaît ses limites et laisse la place au cœur et à la foi * Pascal constate la diversité des lois, d’où un scepticisme quant au « droit naturel » * l’homme étant déraisonnable

au moins une croyance, voire une foi, la foi en la raison. Dès lors, n’y a-t-il pas un domaine légitime de la croyance ? La foi n’a-t-elle pas sa légitimité propre ? On peut penser que les principes, c’est-à-dire les propositions premières, indémontrables et vraies qui fondent l’exercice de la raison, sont connus autrement que par la raison. En effet, la raison humaine ne peut tout démontrer. Démontrer, c’est dériver une proposition qui est la conséquence nécessaire d’autres propositions. Tout