L Indémontrable

commander les choix d’un consommateur rationnel. Les axiomes sont des idées que l’on suppose acquises. Les principes de bases qui motivent les choix du consommateur sont des axiomes. 1. Principes de base (3 axiomes) : Un axiome désigne une vérité indémontrable qui doit être admise ; une affirmation considérée comme évident et qui n’a nul besoin de preuve. - L’agent est doté d’une relation de préférence : celle-ci lui permet de classer les paniers de biens les uns par rapport aux autres. 3 axiomes :

pour qu’une démonstration soit correcte, il faut établir que A découle de B et non inversement (pour éviter le cercle vicieux) et il faut montrer ou bien que B est évident par lui-même et donc indémontrable ou bien que B est démontrable en un nombre infini d’étapes à partir d’une autre proposition indémontrable. Un syllogisme est un raisonnement constitué de trois propositions, les deux premières sont appelées prémisses (majeure et mineure) et la troisième se nomme conclusion et est tirée des deux

d’ailleurs on ne peut guère connaître les choses car tout est différent • l’homme, pris entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, ne peut presque rien connaître • d’ailleurs toute vérité, même mathématique, part d’un principe premier indémontrable : la raison prend sa source dans le « cœur » : la raison reconnaît ses limites et laisse la place au cœur et à la foi • Pascal constate la diversité des lois, d’où un scepticisme quant au « droit naturel » • l’homme étant déraisonnable

d’affirmer et de nier en même tps un prédicat d’un sujet », Seconds analytiques, 11. Ce principe de contradiction est connu par soi, et est indémontrable car pour le démontrer, il faudrait supposer qu’il puisse exister et ne pas exister une chose en même tps et sous le même rapport. Il est la condition même du raisonnement. Aristote dit dc que s’il est indémontrable, la seule chose que l’on puisse faire c’est de réfuter le sceptique qui prétend ce principe : on ne peut faire qu’une réfutation négative

mais doit se garder d’émettre tout jugement de valeur. La science présuppose des règles formelles (logiques et méthodologiques, et elle présuppose également de l’importance du travail scientifique. Or cette dernière présupposition est indémontrable. Croire en l’utilité de la science constitue donc un jugement de valeur. La science est accessible à tous, sans distinction des orientations politiques, philosophiques et religieuses ; en effet, il suffit de saisir quels sont les présupposés de

« Le concept n’est autre que le résidu d’une métaphore. » (Lire: le columbarium des concepts, p. 129 du Livre du philosophe) b) N’y at-t-il pas quelque chose qui échappe à tout effort pour clarifier davantage ? Il y a déjà les axiomes : les indémontrables qu’il nous faut bien déjà poser pour parvenir à faire nos démonstrations : on obtient des théorèmes mais c’est toujours en ayant posé des éléments 1ers. Pourrait-on dire qu’il n’y a que le démontré qui importe puisqu’il faut poser des indémontrés 

parler les hommes, sinon, on ne saurait parle de la foi de Dieu, de la religion mais grâce à la raison qu’Il nous donne. C’est ce que prône la theologie apophatique d’accepter l’effort de la raison vers l’Absolu puisque ce Dieu que nous parlons est indémontrable et impercevable et que tous nos discours et toutes nos sciences ne peuvent s’elever en ce que Dieu est ; c’est en cette raison que Blaise Pascal, un des adeptes de la théologie apophatique, avant que « Dieu seul parle bien de Dieu ». Cette affirmation

humaines(Dieu...) selon Aristote. Plusieurs arguments sont possibles et logiques lors d'une argumentation. Les conclusions sont toutes logiques. c)Les trois familles de science. -Scineces axiomatiques ou formelles : incontestables, principes premiers indémontrables -Sciences dites dures ou nomologies : lois mathématiques qui décrivent des phénomènes réguliers. Elles aboutissent à des affirmations précises et exactes. -Sciences dites molles ou doxologies : sciences humaines... Pas de lois mais des thèses

produit d'une abstraction qui vide les formes de leur contenu empirique. Par ailleurs, à la base de toute construction mathématique, il y a des axiomes et des postulats. Les mathématiques reposent sur des hypothèses, indémontrables. Ainsi, les axiomes énoncent des propositions indémontrables mais évidentes par elles-mêmes, en vertu d'une intuition sensible. Des 4 axiomes d'Euclide tels que : « le tout est plus grand que la partie », ou bien «deux quantités égales à une troisième sont égales entre

Invisibilité, bonté, puissance, omniscience, ubiquité… Les lois de la nature, c’est Dieu ! D’ailleurs, le théologien est capable de raisonnements très abstraits, tout comme le scientifique est bien obligé d’accorder foi à des axiomes invérifiables, indémontrables, que rien peut-être ne justifie. Il existe une réelle similitude de comportements. (Et là on commence à comprendre le sens exact de « Dieu est mort ». Ce n’est pas seulement le « Dieu » chrétien, mais aussi, d’une manière plus générale, la