L Ironie Le Nègre De Surinam

remercier dieu. -2ème paragraphe (cérémonie religieuse pour fêter la guerre. Voltaire insiste sur les costumes comme si c'était un carnaval. *Voltaire dénonce le mélange du meurtre et de la religion. 3) Ironie et hypocrisie religieuse -ironie: antithèse: le merveilleux/infernal; chef des meurtriers/bénir + invoque Dieu; exterminer/son prochain (li.2) -paroles débordante ou rien: (moulin à parole ou silence): quantitatif/qualitatif : 5chansons assez longue; tous parlent

religion, remise en cause par Candide de la philosophie de Pangloss). Cette cérémonie est un événement tragique, pourtant Voltaire a recours a des procédés comiques pour faire sourire le lecteur: Etudier et faire la différence entre Absurde, Humour et Ironie. Lecture comparée avec la fable:   »Les animaux malades de la Peste »de La Fontaine Les animaux malades de la Peste Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler

littéraire : Essai Type de discours : Argumentatif, plaidoyer registre : Ironie Organisation du texte : énonciation linéaire d'arguments d'ordre historique, économique, racial, religieux et politiques afin de déconsidérer la thèse des esclavagistes. Intro : Si de nombreux philosophes des Lumières se sont attachés à la cause des esclaves, comme voltaire dans le chapitre XIX de Candide avec le nègre de surinam, Montesquieu a lui dénoncé la cause des peuples africains non pas à travers un

corporels progressifs: fouet, mutilations, exécution, etc. 4/ Comment Bernardin de Saint-Pierre juge-t-il l’esclavage ? Justifiez. Réquisitoire (critiques, condamnation) de l’esclavage. Enumération des sanctions, jeux des oppositions (bonheur, malheur), ironie, cynisme, etc. Déclaration de marronnage Déclarations de marronnage : Le principal journal de la colonie de Saint-Domingue (Haïti), les Affiches américaines, publié entre 1766 et 1790, a publié des milliers « d’avis de fuite » dans lesquels

pessimisme tout aussi paralysant d’un personnage comme Martin. Les cibles de Candide : une violente critique du XVIIIe siècle Le progrès n’est possible que si le lecteur prend conscience de son époque.Voltaire va ainsi caricaturer et attaquer avec une ironie acerbe les traits et les institutions de son siècle qui, selon lui, s’opposent au progrès. Fidèle à la formule de Molière dans la préface de Tartuffe, « On veut bien être méchant, on ne veut point être ridicule », Voltaire cherche à faire perdre tout

vie) aux sergents recruteurs du chapitre 2. « Nous vous défrayerons, mais nous ne souffrirons jamais qu’un homme comme vous manque d’argent ». Argent = piège pour le naïf Candide. • Chapitre 19 : l’argent transforme les hommes en victimes : le nègre de Surinam a été vendu par sa mère (naïve ?) à des esclavagistes. Il fait d’abord la fortune de ses parents près de M. vanderdendur qui le fait travailler pour un salaire de misère : amère déception de l’esclave : « les chiens, les singes et les perroquets

mois, puis demandent à partir. Le roi leur fait construire une machine leur permettant de passer l’obstacle constitué par les montagnes, seule issue à cette contrée, et les charge de biens et de richesses. Candide et Cacambo finissent par arriver à Surinam, mais ils ont perdu au cours du voyage l’essentiel des richesses qu’ils transportaient. Après avoir appris que Cunégonde est devenue la maitresse du gouverneur de Buenos Aires, Candide envoie Cacambo la racheter. Ils conviennent de se retrouver

modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il c’est occuper d’affaires qui l’a rendues célèbres comme l’affaire Calas La réputation de Voltaire tient aussi à son style, marqué par l’élégance et la précision, et souvent au service d’une ironie mordante. Il quitte le collège à dix-sept ans et annonce à son père qu’il veut être homme de lettres, et non avocat ou titulaire d’une charge de conseiller au Parlement, investissement pourtant considérable que ce dernier est prêt à faire pour lui

religieux, et Candide pour avoir écouté. C’est donc une privation de la liberté de pensée et d’expression, dans une région où l’autorité religieuse domine, que Voltaire pointe du doigt. Enfin, après l’épisode de l’Eldorado, Candide rencontrera le nègre de Suriname, qui est un esclave (chapitre 19). Voltaire dénonce la deshumanisation des esclaves par leur maître. « Le pauvre homme » a certains membres coupés, « comme le veut l’usage ». Les paroles de cet homme prouvent sa soumission. Ici, c’est la triste

religieux, l'optimisme...), j'ai su apprécié l'oeuvre en la relisant une nouvelle fois. L'humour voltairien est fantastique, Volaire sait traiter de sujets graves avec ironie. Une sorte de complicité est installée entre l'auteur et le lecteur qui lit à travers les lignes. Le passage le plus marquant est pour moi celle du nègre de SUrinam. D'abord parceque nous l'avons eu en lecture analytique mais aussi pour l'horreur de l'esclavage si bien dénoncée, tous les responsables sont critiqués. Ce que je retiens