L Univers Narratif Du L Etranger

LE ROMAN ET SES PERSONNAGES, Fiche bilan 1/6 Définition : genre narratif apparu au XII° ; récit fictif en prose, qui se distingue de la nouvelle par sa longueur. Dans le roman, le narrateur relate l’histoire de personnages qui subissent des péripéties. I. Le langage romanesque Narrateur : Celui qui raconte l’histoire, qui prend en charge le récit. Il n’existe que deux types de narrateur : interne ou externe. Il est interne quand il est un personnage qui fait partie de l’histoire ; il

doit-il pas ncessairement seffacer comme vrai pour saffirmer comme artifice Cette caractristique nest-elle pas consubstantielle son essence mme Le roman ne peut nous placer devant une peinture exacte du rel, il nous fait ncessairement pntrer dans un univers fictif suscit par une suite de mots ou de phrases. Ds lors, dans la fiction, le comble de lexactitude mimtique ne serait en fait que le comble de lillusion. Le roman, par consquent, fonctionnerait en trompe-lil. Ainsi, selon Thibaudet le romancier

descriptif. Il ne comporte aucune représentation d'action; en revanche, il évoque plusieurs objets (maison, toit, volets) et les qualifie par des adjectifs. Il ne fait pas de doute que le second est narratif puisqu'il comporte deux verbes d'action qui s'appliquent à un sujet animé, mais est-il purement narratif? À y regarder de plus près, il comporte la désignation de trois substantifs (homme, table, couteau) qu'on peut déjà considérer comme des amorces de description d'une scène. La simple nomination

Nizan d) Ecritures de l’absurde : Giono, Sartre, Camus II – Les remises en question a) Le doute systématique : Sarraute, Barthes et Robbe-Grillet b) Le roman aléatoire : Queneau et Perec c) Qu’est-ce que le nouveau roman ? d) Un autre pacte narratif. Kundera. III –Impossible conclusion. Où en est le roman actuel ? A la lecture de ce projet, on pourra sursauter. Il serait facile de dresser une liste d’œuvres qui ne seront pas envisagées ici et les oublis sont d’autant plus nombreux qu’on

d’un endroit à un autre, les dialogues se font derrières une porte vitrée, le commentaire de l’acolyte de Mattei vise à montrer la connaissance du milieu du commissaire. Ensemble de séquences qui ne représentent pas un intérêt majeur sur un plan narratif. Leur fonction est de créer une ambiance. On voit des lieux et des personnages types : le bar, les prostituées, l’indicateur, la scène en voiture… ▪ Chez l’indic’, autre scène classique, celle du dialogue entre l’indicateur et le

décadence. On reprochait à l’Art d’être surréaliste ou dadaïste, à la musique d’être nègre, comme on reprochait aussi au roman d’être un roman de scandales. Il faudra dix ans pour reconstruire la France. On commencera, à cette époque, à faire venir des étrangers, des italiens et déjà des maghrébins. *l’automobile et la TSF (contribution à la communication) Ce sont deux aspects assez importants dans cette période dans la mesure où ils vont faciliter le déplacement et la communication. C’est l’époque de la

», 8 ; « maman Vauquer », 17 ; « des gars de la force de Poiret », 17), voire argotique (« flouent », 10), en rapport avec le stéréotype que peut véhiculer sa véritable identité. Surtout, les images violentes abondent, esquissant le tableau d’un univers impitoyable et, c’est la métaphore que j’ai évoqué dans l’introduction, d’une guerre sociale : « saigné » ( ), « arrachés » ( ), « soldats à la maraude » ( ), « acharnement du combat » ( ), « vous manger » ( ), « boulet de canon » ( ), « peste » (

pellicules/fragments-Récit en tableaux-Fixité de l’appareil mais mouvement est impliqué autrement-Intermédialité-Narratif-Expressivité : intervention manifeste, féérie inventivité-Filmicité : films de montages, films écraniquesSÉANCE 4 : GRIFFITH, MONTAGE ET IDÉOLOGIE-KKK né après 1865, guerre de sessession-1er grand succès du cinéma-1er long film-apparition d’un nouveau mode de représentation, Cinéma narratif Classique*Le montage n’est pas dépourvu d’une pensée – Eisenstein*Par découpage et montage, par la durée

Agrégé de lettres, il a choisi après quelques années de lycée d’enseigner à des enfants handicaps moteur, à la maison d’arrêt de Nancy, puis à l’université de Nancy II. Grand admirateur de Simenon et du Giono d’après guerre, il tisse avec maestria des univers où la simplicité, tente de dissimuler l’obscur des drames qui jalonnent nos existences .Il fait remonter son désir d’écrire aussi loin que sa mémoire. Il devient en 2004 en parallèle de son métier d’enseignant, directeur d’une nouvelle collection

ossuaire il associe ces édifices à la mort et aux spectres, il n'est pas étonnant que le mot "gothique" ait pu servir à désigner ce que d'autres nommèrent terrifiant ou noir. (Maurice Levy : Le roman gothique anglais) En effet, le fantastique propose un univers irrationnel propre à dérouter le lecteur et le premier roman fantastique est Le Vampire de Polidori en 1818. Pourquoi ce roman ? Parce qu'il offre un personnage, celui du vampire, donné comme légendaire mais aussi comme être irrationnel puisqu'il