L Universalisme Moral

Charte pè voulaient accomplir un acte fondateur constitutif d un nouvel ordre international fondé sur la prévalence du droit sur la force dans les fondé pré relations entre les États. Le style comme le contenu de la Charte manifestent l engagement moral, introduit dans la norme juridique, de renier les aberrations du passé pour passé engager l avenir sur des bases radicalement nouvelles. La Charte apparaît ainsi comme un « Livre fondateur » qui fixe la norme apparaî comme objectif vers lequel les

en s'attribuant les titres de calife (929), Amir al-Mu'min ("prince des croyants") et al-Nasir li-din Allah ("le victorieux pour la religion de Dieu"). Il est mort le 16 novembre 961 à Cordoue. Son filsAl-Hakam II lui a succédé.fin de idée de universalisme de l’islam. 969-fondation du califat fatimide- La dynastie fatimide tire son nom de Fatima, fille de Mahomet et femme du quatrième calife Ali, lui-même cousin du Prophète. Ses origines remontent aux Ismaéliens, chiites dont les partisans croient

étudier les populations et leurs territoires. c'est à cette époque ou se mettent en place la réflexion philosophique concernant la nature humaine et sur la raison. il y avait une idée précise sur l'universalité de la nature humaine, idée de droits moraux, et que tous ce qui relève de la vie en société est ce qui fait la diversité des hommes et enfin l'idée selon laquelle il fallait retracer l'histoire. Montaigne disait que: « la différence ne signifie pas pire mais autre ». B. Émergence de

d’étudier cette culture. « Apprendre à vivre ensemble, apprendre à vivre avec les autres »1 est devenu plus que nécessaire dans le contexte de mondialisation actuel. Cet objectif ne peut être atteint par de seules bonnes paroles et recommandations morales mais par des études sur la diversité socioculturelle menées par différents chercheurs. En effet, nous trouvons dans le domaine de la communication interculturelle de différents courants portant sur des études menées par des chercheurs dans ce domaine

l’OJ d’un Etat reconnaît comme titulaire de droits et d’obligations. Dans les conceptions juridiques occidentales = personnes physiques mais aussi institutions, des groupes, organismes que l’on considère comme des personnes et qui ont la personnalité morale –> entités qui peuvent répondre, engager leur responsabilité en contrepartie du droit. Notion de sujet de DI = que les entités qui tirent directement de l’OJI la reconnaissance de leurs droits et de leurs obligations -> confèrent à ces entités

audacieuse des croyances et des mœurs des Français à la fin du règne de Louis XIV, a formulé, après un voyage en Europe &endash; et plus particulièrement en Angleterre &endash;, une nouvelle philosophie de l'histoire: «Il y a des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent; tous les accidents sont soumis à ces causes» (Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, 1734). Autrement dit,

enfance ! Il n'a jamais été résolu. Le comportement de leur mère à leur égard était à l’exact opposé de la tendre compréhension qu’elle témoignait à ses frères et elle-même, mais plus encore, de tout ce qu’elle avait déjà pu assimiler de sa révérée morale ! Ses frères et elle – la “petite dernière” – étaient privilégiés, choyés et gorgés d’amour, tandis qu'elle menait la vie dure aux filles ! Les filles, c'est moins intelligent... et ça nécessitait alors qu'une éducation particulière pour appâter le

congrégations – Jésuites – alphabétisation – promotion sociale – instruction morale et civique Analyser un discours programme (Ferry) Décoder une illustration apologie du régime : repérer la propagande dans l’enseignement scolaire républicain 2. Les valeurs de la République Scientisme – progrès – laïcité – patrioAnalyser un texte de propagande tisme – militarisme 3. Une nouvelle place pour l’Église Universalisme – idéaux révolutionnaires – Ralliement à la République Étudier un texte de

Pour certains, pour la majorité peut-être, cette rupture constituait une émancipation par rapport à une tradition devenue opprimante. Pour d’autres, plus pessimistes, elle engendrait un nouveau type de société caractérisé principalement par une morale égoïste et par une vie sociale atomisée. Mais qu’ils considèrent le phénomène comme un progrès ou comme le signe d’une décadence, tous les philosophes, qu’ils soient de bords aussi éloignés que Bentham, Coleridge, Tocqueville, Marx, Spencer ou Taine

transposition aux problèmes du droit et de la justice des grandes doctrines philosophiques. Elle se distingue d’ailleurs mal des branches de la philosophie qui portent sur des notions liées au droit, à un titre ou à un autre, comme la philosophie morale ou la philosophie politique. Cette définition est surtout revendiquée par des philosophes qui estiment que la philosophie du droit doit s’occuper du « droit nature » et qu’elle a pour tâche de traiter de la « nature humaine » universelle comme enracinement