La Causalité Juridique

Commentaire d'arrêt: Cour de Cassation, 17 novembre 2000, dit "Perruche" L’image simplifiée que l’on retient du juge est celle d’un magistrat qui ne statue que sur des questions d’ordre juridique et se tient au-dessus des contingences de ce monde. On l’imagine d’une objectivité et d’une neutralité sans faille, chargé de faire appliquer une loi d’airain. Cependant, il n’est pas rare que le juge se retrouve mêlé à un intense débat de société, quand sa décision vient à effleurer notre système de

------------------------------------------------- Introduction Toute obligation ne nait pas forcément de la volonté c'est-à-dire que toute obligation n’est pas forcément un acte juridique. En effet, il existe des obligations qui vont naitre sans qu’on les ait voulues : les faits juridiques. C’est l’article 1370 du Code civil qui donne la définition des faits juridiques « certains engagements se forment sans qu’il intervienne aucune convention, ni de la part de celui qui s’oblige, ni de la part de celui envers lequel il

recommandation x. De l’ivresse 5) Les causes d’exonération : i. L’exonération totale ii. L’exonération partielle 3 II. Le fait de la chose : 1) Les conditions et le régime juridique de la responsabilité du fait de la chose : I. Définitions. II. Le transfert de la garde de chose. III. Les conditions et le régime juridique de la responsabilité du fait de la Chose. IV. Les conditions d’exonération relatives à la responsabilité du fait de la chose. V. Le principe du caractère alternatif de la

« résultat » (art 1147): il doit atteindre le résultat (changement d’une pièce par un garagiste) B. Classification des obligations d’après leur force Obligation juridique (ou civile) : exécution de l’obligation sous peine de sanctions Obligation naturelle : obligation moralement contraignante mais non sanctionnable juridiquement Obligation extra-juridique : devoir social non sanctionné par le droit (répondre à une lettre) Section 3 : les sources des obligations A. Principales sources légales et réglementaires

sureté est tournée vers l’avenir pour éviter la survenance de l’infraction, alors que la peine elle se tourne vers le passé. II – Les rapports du droit pénal avec les autres disciplines A - Les rapports du droit pénal avec les disciplines non juridiques Droit pénal et morale : il exprime les valeurs fondamentales de notre société, pour autant, ils ne se confondent pas pour 2 raisons : Le droit pénal ne sanctionne pas les devoirs imposés par la morale, le critère c’est l’atteinte à l’ordre

DROIT Connaissances Juridique Fondamentale Le Droit est un ensemble de règles qui permettent la vie en communauté. Le Droit est comme une langue vivante : vocabulaire a s’appropriée et évolue (ex code de Hammurabi, roi de Babylone ou les droits des homosexuels) Le droit peut être objectif : Droit générale. Ou subjectif : Droit propre à notre personne La règle de droit est une prescription générale et impersonnelle, s’exprime en termes généraux et abstrait

droit de responsabilité se fond sur le principe selon lequel le dommage causé à une personne oblige son auteur à le réparer, il s'agit d'abord d'un principe de bon sens mais également d'un principe juridique que le retour faisant l'ensemble du système juridique que partout le législateur a mis à la charge de l'auteur du dommage.   le système de la garde des choses dans le cadre de l'article 88 et de produits de l'évolution jurisprudentielle

dommage par un lien de causalité. Ainsi la survenance d’un fait générateur de responsabilité entraînera une indemnisation du patient victime. Tout d’abord une faute, qui sera donc le fait générateur constitué soit par un fait personnel, soit par le fait d’une chose, soit par le fait d’autrui ; ensuite un dommage ou préjudice qui se défini comme une lésion c'est-à-dire la baisse du bien être d’une personne, un gain manqué ou une perte éprouvée ; et finalement un lien de causalité entre le fait générateur

* Dommage * Lien de causalité Il faut un dommage qui soit la conséquence du fait, il faut pouvoir rattaché le dommage au fait dont il est la conséquence par un lien de causalité. La jurisprudence semble privilégier la théorie de l’équivalence des conditions, toutes les circonstances qui ont conduit au dommage sont considérées comme équivalentes dans le dommage mais quelque fois on applique non pas l’équivalence des conditions mais la théorie de la causalité adéquate donc la on cherche

Disparition de la notion d’imputabilité morale.   Imputabilité morale = plus une condition de la responsabilité.   Certains auteurs continuent cependant à la défendre.   Ils affirment que l’on retrouve cette notion dans de nombreuses institutions juridiques. Ils invoquent la force majeure, la contrainte, l’état de nécessité ou l’urgence pour démontrer que sans conscience, la faute n’est pas imputable.   Etat de nécessité ou urgence = pas de faute.   Mais les effets de la doctrine sont voués à