La Centralisation Et La Concentration

ministère. 2.2 – Organisation : Figure 1 : Organigramme de la TGR La TGR compte 5681 collaborateurs et elle est structurée selon l’organigramme suivant : Au niveau central, la TGR comprend la Direction de la Comptabilité Publique et de la Centralisation « DCPC », la Direction du Pilotage des Métiers et de l’Animation du Réseau « DPMAR », la Direction du Contrôle et de l’Exécution des Dépenses de l’Etat « DCED », la Direction de l’Appui et de la Gestion des Ressources « DAGR » et l’entité chargée

élément «impur» ou «inapte à vivre» (Juifs, Tsiganes, malades mentaux, etc.), elles procèdent à d’arbitraires arrestations et condamnations, à des tortures et des assassinats dans les prisons et les camps de concentration. Dès leur arrivée au pouvoir en 1933, les nazis créent des camps de concentration où la Gestapo impose la détention à de nombreuse catégories de personnes : communistes, socialistes, religieux catholiques ou protestants, Témoins de Jéhovah, Juifs, Tsiganes, etc. Les SS administrent

globale peut-il articuler facilement les noyaux dense entre eux à travers les vides, ce qui n’était pas le cas aux temps des caravanes, qui avaient besoin de d’escales régulièrement disposées. D’où une concentration : le monde de la globalisation est un monde de concentration, de toutes les concentrations : la moitié de l’humanité réside sur 3% des terres émergées, et la moitié de richesse mondiale est produite sur 1% des terres, notamment dans « les grandes iles de l’archipel métropolitain mondial »

guerre Nazie. On observe tantôt pour l’Allemagne ainsi que l’Urss une centralisation des pouvoirs et une totale main mise sur les pouvoirs décisionnels. Le politburo soviétique dirige le pays. Aucune autre pensée contraire n’est autorisée. Le parti au pouvoir est le seul capable de redresser le pays il faut donc le suivre sous peine d’être déporté dans les goulags, ces camps de travail terribles ou bien dans les premiers de concentration ( Dachau dès 1933). Le 30 juin 1934, pour assoir sa domination, Hitler

hiérarchiques existant entre les entités, …) Organisation voulue de l’entreprise, doc extrêmement important qui permet de donner la manière dont l’entreprise est structurée (mais toutefois, il ne dit pas tout) 1.3. Le degré de centralisation Centralisation : Concentration de l’ensemble du pouvoir de décision au sommet de la ligne hiérarchique. Toutes les décisions concernant l’entreprise sont prises par la direction générale. Décentralisation : Dispersion du pouvoir de décision vers le bas de la

conditions de production (input). Dans ce cas, l’activité exercée, les qualifications, les contraintes techniques et les séquences temporelles, vont constituer la base des départements. Cela implique une structure hiérarchique relativement forte et une centralisation des décisions. L’un des problèmes majeurs est l’impossibilité de définir avec précision les performances à atteindre. Dans une seconde perspective, la départementalisation repose sur les produits et marchés (output), et se fonde sur un type de

appréhendées sous l’angle économique et sous l’angle juridique. Dans le premier cas il y a autant de formes de fusion qu’il y a de stratégies industrielles : On peut parler de fusion expansion par le truchement d’une OPA, ou encore d’une fusion concentration pour amoindrir les concurrences inutiles ou d’une fusion compression qui modifie généralement l’agencement des filiales. Pour les juristes il existe principalement deux formes : La fusion par absorption L’absorbée disparaît et la société absorbante

exemple comme ou il sera impossible de conclure à un excès de position dominante ou à une entente si on ne définit pas clairement ce qu’est une entreprise. Les articles 81 et 82 du traité ainsi que le règlement sur les concentrations 4064/89 du 21 décembre 1989 (concentration en entreprises) reposent sur ce concept. En effet, selon l’article 82 du traité, il cite qu’il est « est incompatible avec le marché intérieur et interdit, dans la mesure où le commerce entre Etats membres est susceptible

1. Le rôle de la proximité dans la centralisation de la gestion des PME Le mode de gestion de la PME est fortement centralisé, voire exclusivement incarné en la personne du dirigeant-propriétaire. S'il est généralement admis que le niveau de centralisation est fonction de la taille de l'entreprise, du caractère du dirigeant et de la valeur de ses subordonnés, il est aussi dépendant des conditions de l'entreprise (Kalika, 1984). En effet, la forte centralisation du pouvoir du propriétaire-dirigeant

régionalisation politique avec le cas de l’Italie. A. La centralisation C’est un mode d’organisation qui consiste à assurer dans un pays une unité de décision tant sur plan politique qu’administratif. En France c’est par ce processus que la monarchie à progressivement réaliser l’unité nationale autour du roi. Il apparait alors deux types de centralisation complémentaire : la centralisation politique et la centralisation administrative. 1/La centralisation politique, on a assisté à l’édification d’un pouvoir