La Compassion

avec pour exemple Quasimodo de V. Hugo où le monstre est bossu, ou à la famille des êtres démoniaques comme par exemple Dracula de B.Stoker qui était un vampire. Ces êtres avaient pour but de véhiculer soit une image de peur ou soit de compassion, en exemple de compassion l’histoire de Quasimodo est exploitable, en effet malgré son aspect physique négligé il tente de séduire Esméralda. Dans le sentiment de peur, le roman Dracula évoque le paranormal, l’enfer et la notion de mal, Dracula incarne les limites

des bohémiens ne lui ai pas indifférent (vers 10 : « redouble sa chanson »). Cette chanson est peut être la manifestation de l’envie d’appartenir à cette tribu, forme de sympathie (sym : « avec » ; pathie « souffrance » : partager la souffrance, compassion) b) Voyances : Le lien le plus évident entre les bohémiens et le poète est le don de voyance dont ils sont doués. Les bohémiens étaient connut pour lire l’avenir dans la paume d’une main. « Les bohémiens en voyage » est un titre a double

appartiennent donc tous trois au mouvement naturaliste. Il s'agira ici d'étudier comment dans ces différents récits le lecteur se laisse attendrir par l'héroine. Ces trois textes semblent différés en leur manière de créer une héroine attirant la compassion du lecteur. Tandis que le texte A ( extrait de « Madame Bovary » ) et le texte C ( extrait de « La Parure » ) mise sur l'aspect pitoyable et déplorable de l'héroine, le texte B ( extrait de « L'assommoir » ) au contraire semble mettre en valeur

Toutefois, Édouard, le père de Joseph, démontre à plusieurs reprises qu’il souhaite apporter de l’aide à son garçon qui le déçoit chaque fois, à son grand malheur. Cette persévérance prouve que ce personnage ne peut s’empêcher d’éprouver de la compassion pour son fils, malgré le fait qu’il se fait entrainer un peu plus dans sa déchéance et qu’il est « assez vieux pour savoir qu’on rend pas service à un gars comme (lui) » (ligne54-55). Par contre, à force de travailler en vain, le père a finalement

n'as jamais abandonné un enfant qui crie au secours, Mère dont les mains travaillent sans cesse pour tes enfants bien aimés, car elles sont poussées par l'Amour divin et l'infinie Miséricorde qui déborde de ton coeur, tourne ton regard plein de compassion vers moi. Vois le paquet de "noeuds" qui étouffent ma vie. Tu connais mon désespoir et ma douleur. Tu sais combien ces noeuds me paralysent. Marie, Mère que Dieu a chargée de défaire les "noeuds" de la vie de tes enfants, je dépose le ruban de ma

vietnamiens, chan, zen, lamaïsme), l'Amour est l'une des quatre qualités d'être que le pratiquant doit développer, l'un des « Quatre Infinis » ou « Quatre Incommensurables » : l'amour, la compassion, la joie et l'équanimité. Les tibétains définissent l'amour comme un souhait du bonheur de l'autre ; la compassion, comme un souhait de cessation de la souffrance de l'autre ; la joie, comme une participation à son bonheur ; l'équanimité comme le fait d'être attentif de façon semblable à tout être et toute

empathique : C’est lorsque que l’auditeur écoute avec soin et chercher à comprendre les propos du locuteur. Il est respectueux et il ne porte pas de jugement. * L’écoute compassionnelle : C’est lorsque l’auditeur a pitié et fait preuve de compassion à l’égard du locuteur. Ce dernier sentira alors que son récepteur est touché par ce qu’il dit. Selon notre livre, il est beaucoup plus efficace de pratiquer l’écoute active empathique, car elle convient à un plus grand nombre de conversations

Comment comprendre cette tentative de « se mettre à la place de l'autre? A au niveau affectif Tenter de se mettre à la place de l'autre, c'est renoncer au narcissisme, qui nous fait n'éprouver d'amour que pour nous-m^mes. Passage de la pitié à la compassion B au niveau intellectuel Il faudrait concevoir un abandon de l'égocentrisme. J'ai toujours trop tendance en effet à juger les choses et les autres de mon point de vue. Je dois donc m'efforcer d'adopter des manières de voir qui ne sont pas habituellement

question de compassion. Lorsque nous éprouvons de la compassion envers quelqu'un, cela signifie que nous éprouvons un certain sentiment de sympathie envers les maux d'une autre personne, que nous la comprenons et que nous sommes désireux de l'aider. Selon Schopenhauer, il est nécessaire que nous nous mettions à la place d'autrui afin de ressentir son mal comme si c'était le notre, dans le but de pouvoir tout faire pour le satisfaire, pour l'aider, et agir de manière totalement morale. La compassion serait

"je ne me fais pas", est un présent de vérité générale. Cependant la valeur de présent, qui domine dans le passage, soulignée par l'adverbe "quelquefois" est un présent d'habitude. 3. a. Dans les vers 35 à 38, Le Bret éprouve de la pitié, de la compassion à l'égard de Cyrano, qu'il plaint : "tu pleures ?". On pourrait imaginer Cyrano s'effondrant, la tête entre les mains, ou se détourner du public et de son ami pour prononcer ces phrases d'une voix tremblante. 3. b. Il faudrait mettre en valeur